Yves Sancey, photographe. Direction régionale des Affaires culturelles de Franche-Comté puis Région Bourgogne-Franche-Comté, Service Inventaire et Patrimoine. 1973-2013
- patrimoine industriel, patrimoine industriel du Doubs
- (c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
Dossier non géolocalisé
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Aire d'étude et canton
Pays horloger (le) - Morteau
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Hydrographies
dérivation du Sauron
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Commune
Morteau
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Adresse
1-4 rue de la Brasserie
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Cadastre
2017
AB
115-118, 284, 301-304, 308
;
1816
E
344-349
;
1816
C
8
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Dénominationsbrasserie
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Appellationsbrasserie Chopard, brasserie de l'Aigle
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Destinationscave d'affinage, logement, bureau
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Parties constituantes non étudiéesatelier de conditionnement, atelier de fabrication, atelier de réparation, bureau, entrepôt industriel, laboratoire, magasin industriel, réservoir industriel, glacière, logement, garage, entrepôt commercial, quai, écurie, grange, ferme, logement patronal, jardin d'agrément, cour
Une brasserie, profitant de l'eau du Sauron, est attestée au Moulinot au tout début du 19e siècle (1804). Elle correspond peut-être à la maison de François Xavier Routhier figurée sur le plan cadastral de 1816 (E 348), accolée au battoir à écorces (E 349) du tanneur Pierre Joseph Bidal. Ce battoir avait été construit sur un terrain communal concédé le 31 décembre 1790, sur lequel s'était peut-être élevé autrefois un moulin appelé le Moulin dessous. Ces constructions sont acquises (la maison avant 1830 et le battoir en 1838), avec la ferme de Jean Jacques Tournier (E 345), par François Philippe Chopard (1788-1853), tailleur de pierre (qui sera maire de Morteau en 1840), et son petit-cousin François Alexis Singier (1793-1872), notaire (et maire en 1828). Tous deux substituent en 1833 à la maison une brasserie, rapidement dirigée par François Alphonse Chopard (1817-1846), fils de François Philippe. A son décès prématuré en 1846, il est remplacé par ses frères : Eugène (Pierre Eugène, 1820-1881), horloger à La Chaux-de-Fonds (Suisse), qui s'associe avec Alexis (Alexis Ferdinand, 1828-1891), futur banquier, pour former en 1848 la société Chopard Frères. D'après la matrice cadastrale, deux corps de bâtiment sont édifiés vers 1859 et 1867. Peut-être l'un d'eux est-il en relation avec la demande présentée en 1840 par François Philippe pour être autorisé à établir une roue hydraulique destinée de moudre le malt (à l'extrémité de l'ancien battoir) et à prélever l'eau nécessaire au lavage des cuves et autres tonneaux de la brasserie. Cette autorisation a été obtenue en 1854 et une visite des lieux, en 1867, atteste la présence d'une roue en-dessus de 4 m de diamètre, alimentée par une conduite en fonte et poterie, qui entraîne "un moulin à écraser l'orge destinée à la confection de la bière". Une importante campagne de construction a lieu de 1886 à 1888 : la grande remise accolée à la brasserie à l'ouest est remplacée par un bâtiment de brassage (fourneaux au rez-de-chaussée, cuves au 1er étage, filtration au 2e, stockage et broyage du malt dans le comble) tandis que sont édifiés grenier à houblon, atelier de tonnellerie, cave et glacière (alimentée par la glace récoltée sur le Doubs en hiver), écurie et remise, hangars. Modernisé (et doté d'une machine à vapeur pour produire son électricité), l'établissement devient en 1891 Brasserie de l'Aigle, avec la marque Adlerbräu. Il est exploité par Eugène Chopard (1861-1920), fils de Pierre Eugène, également banquier, associé avec son frère Alphonse (1859-1939), architecte à Paris, qui établit les projets de reprise ou construction de bâtiments, notamment la transformation de la ferme en logement patronal et son agrandissement vers 1905. Sont aussi partie prenante leurs cousins, enfants d'Alexis : Apolline (1867-1908) et Philippe (1869-1933), responsable de la production. De nouvelles caves (voûtées) et une glacière sont édifiées à l'ouest en 1902-1903 tandis que les façades sont remaniées ; vers 1907, les bureaux sont agrandis vers l'ouest en remplacement de l'ancienne tonnellerie ; un bâtiment avec quai de chargement est construit à l'est, vers la route, puis agrandi vers 1930 (au long de la route) avec un corps destiné notamment au traitement des fûts en bois (revêtement intérieur par une pellicule de poix). Au décès d'Eugène, son fils André (1888-1966) lui succède, rejoint en 1922 par Jean (1897-1938), fils d'Apolline. La société en nom collectif Chopard et Cie est créée en 1922 puis transformée en Sarl en 1926. André, qui en restera seul gérant à la fin des années 1930, arrête les activités bancaires pour se consacrer à la brasserie, dont la production n'a cessé d'augmenter (240 hl de bière en 1833, 1 000 en 1855, 1 500 en 1880, 2 500 en 1890, 5 000 en 1900, 11 000 en 1920, près de 20 000 à la fin de la décennie 1930). Il diversifie les activités avec le négoce d'aliments pour bétail et d'engrais, ensuite élargi au fuel (il fait construire vers 1933 une maison près d'entrepôts au nord). Il est rejoint en 1948 par son fils Jean (Eugène Jean, 1921-1975), auquel il cédera la place en 1957 lors de la transformation de la Sarl en SA. La brasserie est l'une des trois dernières de Franche-Comté en 1957 (avec celles de Besançon et de Sochaux) mais elle cesse sa fabrication en 1968 (elle est alors la dernière brasserie franc-comtoise indépendante en activité). La société se convertit au commerce et à la distribution de la bière (produite par les brasseries de Kronenbourg). Elle loue aussi à partir de 1970 ses caves à Guy Rième, fromager aux Suchaux (commune des Fins), qui y affine du comté ; il quittera les lieux en 1980, ayant construit ses propres caves d'affinage sur la commune de Grand'Combe-Châteleu. Le site connaît ensuite plusieurs affectations, abritant notamment de 2006 à 2012 la fabrique de pendules comtoises Jean-Claude Alonet (entreprise implantée au Bizot et fondée par Alonet en 1975) et actuellement le groupe Publipresse (auparavant installé dans l'ancienne imprimerie Genre, au 5 bis Grande Rue).
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Période(s)
- Principale : 2e quart 19e siècle , daté par source, daté par travaux historiques
- Secondaire : 4e quart 19e siècle , daté par source, daté par travaux historiques
- Secondaire : 1er quart 20e siècle , daté par source, daté par travaux historiques
- Secondaire : 2e quart 20e siècle , daté par source, daté par travaux historiques
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Auteur(s)
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Auteur :
Chopard Alphonsearchitecte attribution par travaux historiquesChopard Alphonse
Chopard, Alphonse (1859-1939). Architecte à Paris, disposant d'une agence à Pontarlier. Originaire de Morteau où il est associé avec son frère Eugène dans la brasserie Chopard, il est actif notamment à Morteau et Pontarlier.
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Auteur :
Les bâtiments ont des murs en moellons calcaires enduits et sont couverts de toits à longs pans et tuiles mécaniques. Le premier atelier de fabrication (1833), dont les façades ont été remaniées par Adolphe Chopard, a deux étages carrés (le premier précédé d'une galerie au nord et accessible par un escalier extérieur droit), et un étage en surcroît ; il est coiffé d'un toit à demi-croupes à égout retroussé. Il se poursuit à l'ouest par le deuxième atelier de fabrication (années 1880), à deux étages carrés et étage de comble, avec toit à pignons couverts. Le grand entrepôt industriel orienté sud-ouest / nord-est a deux étages carrés et un toit à croupes. Il est prolongé vers l'ouest par un magasin industriel ("caves" voûtées en berceau plein-cintre) en rez-de-chaussée ; son comble à surcroît, ouvert vers le nord et protégé par un toit à un pan, est certainement postérieur. L'autre magasin industriel (perpendiculaire, à l'ouest) est sur le même modèle ("caves" voûtées en plein-cintre et glacière) mais il a conservé sa terrasse en béton. Le bâtiment dans l'angle nord-ouest était à usage d'écurie au rez-de-chaussée et de grange (accessible de plain-pied à l'ouest) au-dessus. Le bureau, avec laboratoire à l'étage carré, a un toit à demi-croupes. A l'est, les ateliers de conditionnement et réparation des fûts (ce dernier signalé par un fronton semi-circulaire) sont en rez-de-chaussée surélevé avec étage en surcroît, le tout protégé par un toit débordant à croupe ; leurs murs sont formés d'arcs montant de fond, partiellement fermés de briques apparentes. L'ancienne ferme (au nord-ouest), transformée en logement patronal, a un étage carré et un étage en surcroît ; elle présente des baies en plein-cintre et en arc brisé. Au nord-est, à l'emplacement du "rideau de glace" (structure en bois permettant la production de glace en hiver), la maison est en rez-de-chaussée avec comble à surcroît. Elle se poursuit par un entrepôt commercial ouvert en façade, en pan de bois essenté de planches, semblable à celui (fermé) à l'est, à couverture en acier.
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Murs
- calcaire moellon enduit
- bois pan de bois essentage de planches
- brique
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Toitstuile mécanique, tuile plate mécanique, béton en couverture, acier en couverture
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Étages2 étages carrés, étage en surcroît
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Couvrements
- voûte en berceau plein-cintre
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Élévations extérieuresélévation à travées
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Couvertures
- toit à longs pans pignon couvert
- demi-croupe
- croupe
- noue
- terrasse
- toit à un pan
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Escaliers
- escalier dans-oeuvre
- escalier de distribution extérieur : escalier droit en maçonnerie
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Énergies
- énergie thermique produite sur place
- énergie électrique produite sur place
- énergie électrique achetée
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État de conservationétablissement industriel désaffecté
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Techniques
- peinture
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Représentations
- étoile de David symbole professionnel,
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Précision représentations
Décor (enduit et peinture) sur le mur du grand entrepôt industriel : étoile de David (symbole des brasseurs).
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Statut de la propriétépropriété privée
- (c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
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- (c) Charles Simon
- (c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
- (c) Charles Simon
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Leiser Henri, fils d'André Leiser et historien du val de Morteau. Morteau
4 avril 2018
Documents d'archives
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Archives départementales du Doubs, Besançon : 3 P 412 Cadastre de la commune de Morteau. 1816-1978.
- 3 P 412 : Atlas parcellaire (11 feuilles), dessin (plume, lavis), par les géomètres du cadastre Girardier et Mestre, 1816-1817
- 3 P 412/1 : Registre des états de sections, 1818
- 3 P 412/4-5 : Matrice cadastrale des propriétés bâties et non bâties, 1823-1875. Le 1er volume manque.
- 3 P 412/2-3 : Matrice cadastrale des propriétés bâties et non bâties, 1876-1914
- 3 P 412/6 : Matrice cadastrale des propriétés bâties, 1882-1910
- 3 P 412/7-9 : Matrice cadastrale des propriétés non bâties, 1911-1965
- 3 P 412/10-13 : Matrice cadastrale des propriétés bâties, 1911-1978
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Archives départementales du Doubs, Besançon : Service hydraulique. Usines. Réglementation, autorisations de travaux. An III-1897.
Usine Chopard sur le bief du Sauron ou ruisseau des Moulinots, à Morteau. 1841-1867. -
Archives départementales du Doubs, Besançon : Cours d'eau et usines. Dossier communal. Morteau. 1841-1912.
Usine Chopard François Philippe, à Morteau. 1841–1869.
Bibliographie
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Hauser, Jean-François. L'artisan Jean-Claude Alonet met un terme à sa carrière. C'est-à-dire, n° 109, 27 mars 2006, p. 4 : ill. Document accessible sur internet : http://www.c-a-d.fr/sites/default/files/flip/CAD109/index.html#/4/ (consultation : 1er décembre 2017)
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Leiser, Henri ; Jacquot, Didier. Morteau et environs d'hier à aujourd'hui. - Pontarlier : Presses du Belvédère, 2010. 188 p. : ill. ; 24 cm.
p. 179-180 : ill. -
Leiser, Henri. L'aigle et le houblon : histoire d'une famille de brasseurs en Franche-Comté. - Pontarlier : Ed. du Belvédère, 2012. 171 p.-XVI p. de pl. : ill. ; 24 cm.
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Vuillet, Bernard. Le val de Morteau et les Brenets en 1900, d'après la collection de cartes postales de Georges Caille. - Les Gras : B. Vuillet, Villers-le-Lac : G. Caille, 1978. 294 p. : cartes postales ; 31 cm.
p. 28-31 : ill.
Documents figurés
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Plan et nivellements relatifs à la demande formée par le Sr François Philippe Chopard, de la commune de Morteau, tendant à obtenir l'autorisation d'établir une roue hydraulique à la brasserie qu'il possède sur le cours d'eau des Moulinots, dessin (plume, lavis), par l'aspirant ingénieur des Ponts et Chaussées Em. Raillard, Pontarlier le 11 mars 1844, échelles 1/1 000 et 1/50 m, 53,5 x 16,5 cm. Un exemplaire de ce plan est conservé dans la liasse 7 S 73.
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Plan d'une partie du ruisseau des Moulinots et de ses abords, territoire de la commune de Morteau, pour être joint à l'engagement souscrit par François Philippe Chopard d'entretenir un aqueduc sous le chemin du Meix-Barbet à Morteau, dans le cas où on lui accorderait la concession de prise d'eau qu'il a demandée en 1840, dessin sur calque (plume), par Chopard, Morteau le 10 août 1849, 1/500, 34,5 x 40,5 cm
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Publicité pour la bière Chopard, 1926. Publiée dans : Indicateur Fournier du Doubs. Annuaire commercial, industriel et administratif de Besançon et du département du Doubs. 1926. - Besançon : Société nouvelle Agence Fournier, 1926, p. 969. Dessin de Ferdinand Bac (1859-1952), version définitive vers 1893-1894.
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Photographies des bâtiments et des installations à diverses époques (à partir de 1880 environ). Publiées dans : Leiser, Henri. L'aigle et le houblon : histoire d'une famille de brasseurs en Franche-Comté. - 2012.
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Morteau. - (Les Moulinots) La Brasserie & le Bois Robert, carte postale, s.n., s.d. [4e quart 19e siècle, décennie 1890], Ch. Pierre, libraire éd. à Morteau
Le logement patronal n'a pas encore remplacé la ferme, à droite. -
Un joli coin de Morteau. - La Brasserie et le Crêt à l'Aigle, carte postale, s.n., s.d. [4e quart 19e siècle, décennie 1890], Charles Pierre éd. à Morteau. Publiée dans : Leiser, Henri ; Jacquot, Didier. Morteau et environs d'hier à aujourd'hui. - 2010, p. 179.
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1243. Morteau - Brasserie Chopard, carte postale, s.n., [1er quart 20e siècle], C. Simon, éd. à Maîche. Porte la date 3 septembre 1933 (manuscrite et tampon) au verso.
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Morteau. - Brasserie Chopard, carte postale, s.n., [2e quart 20e siècle, avant 1939], C. Simon, éd. à Maîche. Porte la date 19 mai 1939 (manuscrite et tampon) au verso.
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Morteau (Doubs) - Brasserie Chopard [atelier de conditionnement, vu de l'est], carte postale, s.n., s.d. [1ère moitié 20e siècle, décennies 1920-1930], C. Lardier éd. à Besançon. Publiée dans : Vuillet, Bernard. Le val de Morteau et les Brenets en 1900. - 1978, p. 30.
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[Vue d'ensemble de Morteau, depuis la Table du Roi à l'ouest], photographie (plaque de verre), par Manias (?), s.d. [milieu 20e siècle]. Cote(s) originale(s) et inscription(s) : Morteau 1559.
La brasserie est visible au premier plan.
Poupard, Laurent. Chercheur au service Inventaire et Patrimoine de la Région Bourgogne-Franche-Comté, 1987-
Poupard, Laurent. Chercheur au service Inventaire et Patrimoine de la Région Bourgogne-Franche-Comté, 1987-