Sonia Dourlot, photographe. Région Bourgogne-Franche-Comté, Service Inventaire et Patrimoine, 2014-2020
- patrimoine industriel, patrimoine industriel du Doubs
- (c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
Dossier non géolocalisé
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Dénominationsfonderie
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Précision dénominationfonderie de cloches
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Appellationsfonderie Bournez, fonderie Jean Obertino
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Parties constituantes non étudiéesatelier de fabrication, bureau, entrepôt industriel, magasin industriel, vestiaire d'usine, boutique, logement, grange, étable, maison, garage, rampe d'accès, cour, jardin potager
Certainement bâtie à la fin du 18e siècle ou au début du 19e (vers 1816 ?), la maison est portée en 1817 sur le plan cadastral des Fins (C 294).
Elle appartient en 1823 à François Joseph Bournez (1758-1831). Représentant d'une famille de fondeurs originaires de Montlebon, ce dernier a travaillé chez Claude Joseph Cupillard puis s'est mis à son compte à Morteau, au "Bas de Ville", en 1780 (la première cloche qui lui est attribuée est celle de Rantechaux en 1780). Morteau est alors connue pour ses réalisations campanaires, issues de plusieurs ateliers de fondeurs de cloches : celui des frères Jean et Blaise Damey, de Derrière le Mont (Montlebon), dans les années 1690 ; celui de Louis Léonard dans la première moitié du siècle suivant ; ceux de Jean François Courpasson (successeur de Léonard), Claude Joseph Cupillard (successeur vers 1770 des Damey), Bournez et François Xavier Roy à la fin du 18e siècle ; celui de François Humbert (qui succède à Cupillard) au début du 19e siècle. En 1792, Bournez est contraint (suite à un meurtre semble-t-il) de s'exiler en Suisse, où il travaille comme saintier itinérant. Il revient en France en 1815 (la construction de la maison peut donc dater de cette époque) puis son fils Constant Généreux Bournez (1792-1858) prend sa suite en 1825, après avoir été maréchal-ferrant (il est signalé place de la Halle au Blé puis au 36 Grande Rue). Les enfants de Constant Généreux participent à l'affaire : François Julien (1815-1862), issu d'un premier mariage, marchand de fer puis banquier "qui fit connaître au loin les divers produits de la fonderie paternelle" et ses demi-frères, dits "artistes fondeurs", Pierre Alexis (1819-1872), Charles Emile (1829-1866) et François Joseph (1834-1895). Charles Emile, gendre de Philippe Alexis Bobillier (taillandier à la Malepierre, à Grand'Combe-Châteleu), succède à son père en 1858 et élargit en 1860 la production aux pompes à incendie.
Il meurt en 1866 et est remplacé par François Joseph, à la tête de la dernière fonderie de cloche de Morteau après l'incendie en 1875 de celle de Humbert (établie au Trou au Loup). Deux nouveaux corps de bâtiments (?) ont été construits, vers 1843 et 1867, et une fonderie vers 1882. L'établissement emploie six ouvriers en 1878, trois en 1883. "Vu les difficultés budgétaires", François Joseph forme en 1884 la société en nom collectif Bournez Frères et Soeur réunissant ses enfants : Louis (Louis Auguste, 1864-1936), Emile (Joseph Emile Constant, 1863-1954) et Marthe (1867-?). Il en conserve la direction jusqu'à son décès en 1895 puis est remplacé par Louis, qui liquide la société et la recrée avec Emile sous la raison sociale Maison Bournez. L'entreprise ferme en 1909. Elle a fabriqué aussi bien des bourdons (cloches pesant plus de 2 t), comme la "Joséphine" (3 785 kg) de Guyans-Vennes en 1880 ou la "Charlotte" (2 800 kg) de la cathédrale Saint-Jean à Besançon (refonte de 1875), que des cloches plus modestes destinées aux églises, des clochettes pour des fabricants d'horloges monumentales (tels les Ets Odobey Fils de Morez dans les années 1880), des particuliers (hôtel La Guimbarde à Morteau en 1877) et des industriels (Peugeot-Japy à Audincourt en 1908 : cette cloche de 78 kg fut la dernière fondue par l'entreprise). Les bâtiments sont cédés vers 1918 par Virgile Bournez au bourrelier Constant Jacquet (1888-1953).
La fonderie est louée par une famille d'origine italienne, les Barinotto, établie en 1834 de l'autre côté de la frontière au lieu-dit le Cachot dans la commune de La Chaux-du-Milieu (canton de Neuchâtel, Suisse), puis dans le premier quart du 20e siècle dans celle voisine Les Ponts-de-Martel et dans celle de La Chaux-de-Fonds (société Barinotto, Chiantel et Cie). En 1931, l'établissement passe à Jean et Albert Obertino, cousins de l'exploitant et comme lui fondeurs de cloches de petite dimension (cloches pour le bétail, clochettes, etc.). Les Obertino sont eux-aussi originaires du Piémont (hameau de Frachiamo, commune de Sparone, Italie) et tout d'abord itinérants comme les saintiers. Ils font également remonter la création de leur affaire à 1834 et se sont installés à La Sarraz (canton de Vaud, Suisse) dès 1880. Deux frères Obertino, Pierre (1848-1946) et Jean (1844-1918), sont venus s'établir à Labergement-Sainte-Marie à la fin des années 1880 et Joseph (1874-1946), fils de Jean, y a ouvert en 1901 sa fonderie, exploitée dans les années 1920 par la société Obertino et Cie. Tandis que l'établissement passe à la fin de cette décennie ou au début de la suivante à un fils de Pierre, Frédéric (1877-1946), deux fils du même Joseph, Jean (1898-1972) et Albert (1914-1992), reprennent donc celui de Morteau.
En 1931, ils occupent avec un de leurs parents, Ilardo Vittone, le bâtiment occidental loué à Constant Jacquet, qui a son atelier de bourrellerie et son logement dans l'autre (le four se trouvait d'ailleurs autrefois au rez-de-chaussée de ce corps). Les ateliers sont séparés par une cloison en bois : les Obertino ont leur four dans l'angle nord-ouest, Vittone a les deux siens au centre du bâtiment. Jean Obertino se dit à cette date fabricant de "clochettes en bronze pour bétail" tandis que Vittone déclare acheter "les métaux bruts (bronze, laiton, maillechort, aluminium, etc.) pour les transformer par la refonte en pièces coulées dans des moules en sable exécutés à la main dans des châssis en fer, pour l'usage des mécaniciens, constructeurs de machines de petites dimensions, fabricants d'outils d'horlogerie". Par la suite, seul demeure l'établissement Obertino, installé au rez-de-chaussée, avec dépôt de sable à l'étage de soubassement et logement de Jean à l'étage (dont le pan de bois essenté de planches cède la place à la maçonnerie). La fabrication d'une cloche en bronze y est organisée en opérations successives : moulage (avec un sable silico-argileux), marquage, coulée (à 1 200 °C), ébarbage (ou meulage), tournage (optionnel et visant à obtenir sur l'extérieur de la cloche une ou plusieurs bandes brillantes) et pose du battant. Le four au coke est remplacé au début des années 1960 par un four au fuel (qui cèdera lui-même la place en 1979 à un four électrique à induction).
La Sarl Jean Obertino et Fils, créée en 1965, associe Jean à ses deux fils Gilbert (1928-2017) et Emile (1924-1997). En 1967, elle fait construire au sud une nouvelle fonderie par l'entreprise mortuacienne Ruggeri. Doté en 1973 d'une boutique (agrandie en 2004), ce bâtiment est doublé en profondeur en 1975-1976, complété de garages à l'arrière en 1988 puis de nouveau agrandi (au nord) en 2003-2004. La société est gérée de 1972 à 1988 par Gilbert (qui se fait bâtir une maison à proximité en 1974) puis à partir de 1988 par son fils Yves. L'affaire est reconnue Entreprise du Patrimoine Vivant en 2011. En janvier 2012, Yves et Sylviane Obertino (les deux enfants de Gilbert) la cèdent à Mme Chheng Tiv, qui conserve l'appellation Jean Obertino comme raison sociale. La fonderie a une production de 600 kg de cloches par semaine, soit plus de 26 t par an, avec dix personnes (trois mouleurs, trois tourneurs, un bourrelier et trois personnes au bureau). Elle exploite un fonds de plus de 200 modèles de cloches, soit en bronze : cloches pour animaux (diamètre de 7 à 35 cm, poids de 80 g à 18 kg), maison (pour porte ou portail), table ou souvenir, personnalisées ou non ; soit en acier (et alors achetée) : cloches nommées "toupin", "Chamonix" ou "Bagne", pour animaux ou décoratives. Elle fabrique elle-même ses supports en cuir (courroies et colliers), éventuellement décorés, et réalise des pièces de fonderie sur mesure (médailles, signalétique, plaque, etc.).
Certainement bâtie à la fin du 18e siècle ou au début du 19e (vers 1816 ?), la maison est portée en 1817 sur le plan cadastral des Fins (C 294). Elle appartient en 1823 à François Joseph Bournez, représentant d'une famille de fondeurs originaires de Montlebon, qui s'est mis à son compte à Morteau en 1780. Cette ville est alors connue pour ses réalisations campanaires, issues de plusieurs ateliers de fondeurs de cloches. Bournez travaille comme saintier itinérant en Suisse de 1792 à 1815 (il peut donc avoir fait construire la maison à son retour) puis son fils Constant Généreux prend sa suite en 1825, rejoint par ses enfants. L'un de ses fils, Charles Emile, qui lui succède en 1858, élargit la production aux pompes à incendie. Il est remplacé en 1866 par son frère François Joseph, à la tête de ce qui est la dernière fabrique de cloches de Morteau. Agrandi (?) vers 1843 puis 1867, l'établissement est doté d'une fonderie vers 1882. Il emploie six ouvriers en 1878, trois en 1883. L'entreprise ferme en 1909 et les bâtiments sont cédés vers 1918 par Virgile Bournez au bourrelier Constant Jacquet.
La fonderie est louée par une famille d'origine italienne, les Barinotto, établis en Suisse en 1834. En 1931, l'établissement passe à Jean et Albert Obertino, cousins de l'exploitant et comme lui fondeurs de cloches de petite dimension (cloches pour le bétail, clochettes, etc.). Les Obertino sont eux-aussi originaires du Piémont (commune de Sparone) et font également remonter leur affaire à 1834. Deux frères Obertino, Pierre et Jean, se sont établis à la fin des années 1880 à Labergement-Sainte-Marie, où Joseph (fils de Jean) a ouvert en 1901 sa fonderie, exploitée dans les années 1920 par la société Obertino et Cie. Deux fils de Joseph, Jean et Albert, reprennent celle de Morteau. En 1931, ils occupent avec un de leurs parents, Ilardo Vittone, le bâtiment occidental loué à Constant Jacquet, qui a son atelier de bourrellerie et son logement dans l'autre. Les Obertino se disent fabricant de "clochettes en bronze pour bétail" et Vittone est fondeur "en pièces coulées dans des moules en sable exécutés à la main dans des châssis en fer, pour l'usage des mécaniciens, constructeurs de machines de petites dimensions, fabricants d'outils d'horlogerie". Par la suite, seul demeure l'établissement Obertino, installé au rez-de-chaussée, avec dépôt de sable à l'étage de soubassement et logement de Jean à l'étage. Le four au coke est remplacé au début des années 1960 par un four au fuel (qui cèdera lui-même la place en 1979 à un four électrique). La Sarl Jean Obertino et Fils, créée en 1965, fait construire en 1967 une nouvelle fonderie par l'entreprise mortuacienne Ruggeri. Doté en 1973 d'une boutique (agrandie en 2004), ce bâtiment est doublé en profondeur en 1975-1976, complété de garages à l'arrière en 1988 puis de nouveau agrandi (au nord) en 2003-2004. L'affaire est acquise en janvier 2018 par Mme Chheng Tiv, qui conserve la raison sociale Jean Obertino : la fonderie a une production de 600 kg de cloches par semaine (plus de 26 t par an), avec dix personnes (trois mouleurs, trois tourneurs, un bourrelier et trois personnes au bureau).
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Période(s)
- Principale : 1er quart 19e siècle , (incertitude)
- Principale : 2e quart 19e siècle, 3e quart 19e siècle, 4e quart 19e siècle , daté par source
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Auteur(s)
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Auteur :
Ruggerientrepreneur attribution par tradition oraleRuggeri
Ruggeri. Entreprise de maçonnerie créée après la deuxième guerre mondiale à Morteau par Alfred Ruggeri et reprise en mai 1977, après son décès, par ses fils Jacques et Gérard. Ces derniers fondent la Sarl Alfred Ruggeri, qui compte 95 personnes lorsqu'elle disparaît en 1996. La Société nouvelle Ruggeri est créée en avril 1998, avec 45 salariés, par Philippe Jacquot, qui fonde en 2007 une filiale spécialisée dans la préfabrication en béton armé : Préfa 25.
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Auteur :
Le site ancien comporte deux corps de bâtiment accolés et disposés en L, aux murs de moellons calcaires enduits et aux toits à longs pans et tuiles mécaniques. Coiffé par un toit à demi-croupe au nord et croupe au sud, le corps oriental était certainement un bâtiment de ferme. Il comporte un étage carré et un comble à surcroît (avec essentage de planches sur le pignon), desservis par un escalier dans-oeuvre. L'étage carré (ancienne grange ?), accessible de plain-pied au nord à l'aide d'une levée de grange, se prolonge vers l'ouest par ce qui était autrefois l'atelier de bourrellerie, protégé par un appentis métallique. Le corps occidental, en retour d'équerre, a un étage de soubassement, un rez-de-chaussée surélevé et un étage carré surmonté d'un comble (avec pignon couvert). Sa desserte est assurée à l'aide d'un escalier en bois hors-oeuvre tournant, récemment créé contre le mur pignon ouest. Au rez-de-chaussée, les fenêtres sud et ouest sont en arc segmentaire, avec encadrement en briques silico-calcaires et pierres de taille calcaire, tandis que celles au nord sont rectangulaires et en pierres de taille calcaire ; celle de l'étage (autrefois en pan de bois essenté de planches) sont rectangulaires et en béton ou pierre reconstituée. Le site moderne réunit deux bâtiments. L'atelier a des murs en pan de béton armé (pan de fer pour l'extension de 2003-2004), parpaings de béton enduits et essentage de tôle. Il est en rez-de-chaussée surélevé (à charpente métallique apparente) sur un étage de soubassement, avec escalier dans-oeuvre droit en béton. Le toit de l'atelier d'origine et celui de l'extension des années 2000 sont à longs pans, pignons couverts et couverture en acier ; il est en appentis et acier sur la boutique ; c'est une terrasse en béton sur le corps de 1975-1976. Les garages et l'atelier de bourrellerie sont aussi en parpaings de béton enduits, avec un toit à un pan métallique.
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Murs
- calcaire moellon enduit
- essentage de planches
- béton pan de béton armé enduit
- fer pan de fer essentage de tôle
- béton parpaing de béton enduit
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Toitstuile mécanique, béton en couverture, acier en couverture
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Étagesétage de soubassement, en rez-de-chaussée surélevé
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Couvrements
- charpente métallique apparente
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Élévations extérieuresélévation à travées
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Couvertures
- toit à longs pans demi-croupe
- croupe
- noue
- pignon couvert
- toit à un pan
- appentis
- terrasse
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Escaliers
- escalier dans-oeuvre : escalier droit en maçonnerie
- escalier hors-oeuvre : escalier tournant en charpente
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Autres organes de circulationrampe d'accès
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Énergies
- énergie électrique achetée
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Statut de la propriétépropriété privée
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Référence Patriarcheprésent sur POP
- (c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
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Obertino, Sylviane. Ancienne dirigeante (avec son frère Yves) de la société Ets Jean Obertino. Morteau.
18 avril 2018 -
Tiv, Chheng. Gérante de la société Ets Jean Obertino. Morteau.
18 avril 2018
Documents d'archives
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Archives départementales du Doubs, Besançon : M 1665 Etablissements classés.
Dossier Fonderies de métaux Vittone et Obertino, Les Fins (1931). -
Archives départementales du Doubs : 3 P 242 Cadastre de la commune des Fins, 1817-1977.
- 3 P 242 : Atlas parcellaire (14 feuilles), dessin (plume, lavis), par les géomètres du cadastre Mestre et Doillon, 1817.
- 3 P 242/1 : Registre des états de sections, s.d. [1817 ?].
- 3 P 242/2-3 : Matrice cadastrale des propriétés bâties et non bâties, 1823-1875.
- 3 P 242/4 : Matrice cadastrale des propriétés bâties et non bâties, 1876-1914.
- 3 P 242/5 : Matrice cadastrale des propriétés bâties, 1882-1910.
- 3 P 242/6-8 : Matrice cadastrale des propriétés non bâties, 1914-1977.
- 3 P 242/9-10 : Matrice cadastrale des propriétés bâties, 1911-1974.
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Archives départementales du Doubs : 3 P 412 Cadastre de la commune de Morteau. 1816-1978.
- 3 P 412 : Atlas parcellaire (11 feuilles), dessin (plume, lavis), par les géomètres du cadastre Girardier et Mestre, 1816-1817.
- 3 P 412/1 : Registre des états de sections, 1818.
- 3 P 412/4-5 : Matrice cadastrale des propriétés bâties et non bâties, 1823-1875. Le 1er volume manque.
- 3 P 412/2-3 : Matrice cadastrale des propriétés bâties et non bâties, 1876-1914.
- 3 P 412/6 : Matrice cadastrale des propriétés bâties, 1882-1910.
- 3 P 412/7-9 : Matrice cadastrale des propriétés non bâties, 1911-1965.
- 3 P 412/10-13 : Matrice cadastrale des propriétés bâties, 1911-1978.
3 P 412/10-13 Matrice cadastrale des propriétés bâties, 1911-1978. -
Archives départementales du Doubs : 1017 W 21 Etablissements classés (années 1970).
Dossier Ets J. Obertino, aux Fins (1978). -
Archives de la famille Obertino, 19e-20e siècles.
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Papier à en-tête de la Fonderie de Métaux I. Vittone, 16 décembre 1931.
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Papier à en-tête de la Fonderie de Clochettes en tous genres Jean Obertino, 16 décembre 1931.
Bibliographie
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Les 80 ans de la fonderie Obertino : une coulée historique. L'Est républicain, édition du Doubs, lundi 21 novembre 2011, ill.
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Boiteux, Louis. L'industrie campanaire dans le département du Doubs. Mémoires de la Société d'Emulation du Doubs, 10e série, 4e volume, 1934, p. 121-150.
P. 121-127, 140-141, 143-146. -
Boiteux, Louis. Les bourdons dans le département du Doubs en 1934. Mémoires de la Société d'Emulation du Doubs, 10e série, 5e volume, 1935. P. 239-278.
-
Boiteux, Louis. Les cloches du XVIIIe siècle dans le Doubs. Mémoires de la Société d'Emulation du Doubs, 10e série, 8e volume, 1938, p. 31-55.
-
C., F. Une reprise sans fausse note chez Obertino. C'est-à-dire, n° 240, 26 février 2018, p. 8 : ill.
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Chevalier, Octave ; Genevoy, Robert. Les Bournez, fondeurs de cloches à Morteau, leur production dans la région neuchâteloise. Musée neuchâtelois, janvier-mars 1973, n° 1, p. 132-139 : ill. Article consultable en ligne sur le site de Geneanet : https://www.geneanet.org/ (consultation : 30 mars 2018).
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Chevalier, Octave ; Genevoy, Robert. Une famille de fondeurs de cloches : les Bournez, de Morteau. Réalités franc-comtoises, n° 169, octobre 1974, p. 366-375 : ill.
-
Chevalier, Octave ; Genevoy, Robert. Les Bournez, fondeurs de cloches à Morteau, leur production dans le Jura (1815-1902). Actes de la Société jurassienne d'Emulation, 77e vol., 1974, p. 415-423. Article consultable en ligne sur le site de la Société jurassienne d'Emulation : https://www.e-periodica.ch/digbib/view?pid=asj-006:1974:77#47
P. 416-419. -
Courtieu, Jean (dir.). Dictionnaire des communes du département du Doubs. - Besançon : Cêtre, 1982-1987. 6 t., 3566 p. : ill. ; 24 cm.
T. 3, 1984, p. 1276 ; t. 4, 1985, p. 2273. -
Defrasne, Alexandre. Un métier d'art, fondeur de cloches. Racines. [Bulletin municipal de Labergement-Sainte-Marie], février 2004, n° 19.
P. 12, 15, 16 : ill. -
La fonderie de cloches en bronze Obertino change de main. L'Est républicain, édition du Doubs, samedi 27 janvier 2018, ill.
-
Une octogénaire qui se fond dans le décor. L'Est républicain, édition du Doubs, lundi 14 novembre 2011, ill.
-
Vuillet, Bernard. La vie dans le val de Morteau entre 1750 et 1800. - [S.l.] : [s.n.], 1975. 2 vol. (421 p.) : ill. ; 30 cm. Th. : Paris, Ecole des Chartes, 1975.
P. 254-257 : ill.
Documents figurés
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Plan des ateliers-fonderies occupés par les [nommés] Obertino Jean et Vittone Ilardo, et existants dans la maison de M. Jacquet Constant, sur le territoire de la commune des Fins, à proximité de Morteau, dessin sur calque (plume, lavis), par le géomètre Rougnon-Glasson ("ancien maire de Montlebon"), Montlebon le 15 décembre 1931, 27,5 x 37,5 cm, 1/200.
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La maison Bournez, fonderie de cloches, aux Fins de Morteau, vers 1900, photographie imprimée, s.n. Publiée dans : Chevalier, Octave ; Genevoy, Robert. Une famille de fondeurs de cloches : les Bournez, de Morteau. Réalités franc-comtoises, n° 169, octobre 1974, p. 369.
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[La famille Obertino devant sa fonderie à La Sarraz (Suisse)], photographie, s.n., s.d. [vers 1920].
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[Victor Barinotto derrière son stand à une foire-exposition de Besançon], carte photo, s.n., s.d. [années 1920].
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[Dyonis Obertino (à gauche) et Jean Obertino devant le stand de la fonderie Obertino et Cie, de Labergement-Sainte-Marie, lors d'une foire-exposition à Besançon], carte photo, s.n., s.d. [années 1920]. L'enseigne porte l'inscription : Fonderie de clochettes et métaux / Fabrique de sonnettes et toupins / Obertino & Cie / Labergement-Ste Marie (Doubs).
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[Tournage d'une cloche par Jean Obertino], photographie, s.n., s.d. [décennie 1930].
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Morteau (Doubs) - Vue aérienne. 22168 Centre de repos et école de plein air au pied du mont Vouillaud, carte postale, par Rancurel, s.d. [milieu 20e siècle], Ed. aériennes Cilm, Combier impr. à Mâcon.
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[Vue d'ensemble de la fonderie, depuis le sud-ouest], photographie, s.n., s.d. [milieu 20e siècle, entre 1933 et 1967].
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[Jean Obertino devant son stand au comice de Morteau en 1954], photographie, s.n.
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[Le magasin de la fonderie Obertino en 1962], photographie, s.n.
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[Sylviane Obertino derrière le stand de la fonderie Obertino à Pierrefontaine-les-Varans, en septembre 1963 (Gilbert Obertino est à droite)], photographie, s.n.
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[Une coulée dans l'ancienne fonderie], photographie en couleur, s.n., s.d. [vers 1964].
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[Tournage d'une cloche par Jean Obertino], photographie, s.n., 1968.
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[Vue d'ensemble du site, depuis le sud-ouest], photographie, s.n., 1973.
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S.A.R.L. Obertino. Morteau. Implantation Evaporateur Oxygène 1200 l, dessin [tirage], par la société L’Air liquide (Exincourt), s.d. [1978], 21 x 29,5 cm, 1/200.
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[Emile, Gilbert et Yves Obertino (de gauche à droite) au démoulage], photographie en couleur, par Sylviane Obertino, janvier 1984.
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Prises de vues aériennes de l'IGN (20e siècle). Consultables en ligne via le site du Géoportail (www.geoportail.gouv.fr).
Photographies des 24 septembre 1965, 30 juin 1969, 16 avril 1982, 26 juillet 1988, 24 juin 2001. -
[Vue aérienne de la nouvelle fonderie, depuis l'ouest], photographie en couleur, s.n., s.d. [début des années 1990].
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[Yves Obertino et sa femme derrière leur stand au Concours spécial de la vache de Montbéliard, à Bourg-en-Bresse, les 25 et 26 juin 2011], photographie en couleur, par Sylviane Obertino.
Documents multimédia
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Guichard, Jean-Marie. Recherches généalogiques. Accessibles en ligne sur le site de Geneanet : http://gw.geneanet.org/
Familles Bournez à Morteau et Jacquet aux Fins (consultation : 27 mars 2018). -
Monneret, Christian. Recherches généalogiques. Accessibles en ligne sur le site de Geneanet : http://gw.geneanet.org/
Famille Bournez, à Morteau (consultation : 27 mars 2018).
Poupard, Laurent. Chercheur au service Inventaire et Patrimoine de la Région Bourgogne-Franche-Comté, 1987-
Poupard, Laurent. Chercheur au service Inventaire et Patrimoine de la Région Bourgogne-Franche-Comté, 1987-