Dossier d’œuvre architecture IA58001376 | Réalisé par
Dufoulon Fabien (Contributeur)
Dufoulon Fabien

Fabien Dufoulon, chercheur. Région Bourgogne-Franche-Comté, Service Inventaire et Patrimoine, 2018-

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  • opération d'urgence
logis abbatial de Saint-Martin, puis hôtel de La Rochefoucauld, puis succursale départementale de la Banque de France
Œuvre étudiée
Auteur
Copyright
  • (c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine

Dossier non géolocalisé

Localisation
  • Aire d'étude et canton Bourgogne-Franche-Comté
  • Commune Nevers
  • Adresse 6B rue Jean Desveaux
  • Cadastre 2023 BM 42

Logis abbatial de Saint-Martin

L'édifice se situe à l’emplacement du logis abbatial de l’abbaye Saint-Martin. Sous l’Ancien Régime, les possessions de l’abbaye s’étendent de l’actuelle rue Saint-Martin jusqu’aux remparts au nord. L’abbaye comprend principalement l’église abbatiale (détruite), les bâtiments conventuels au nord (détruits) et le logis abbatial au nord-est. Deux pièces non contiguës couvertes de croisées d’ogives doivent correspondre aux vestiges de ce dernier. La première (par la suite, cuisine) se situe au rez-de-chaussée surélevé (près du perron de gauche). Les nervures de sa voûte sont composées d’une assise rectangulaire et d’un tore nervuré (tore à listel). La clef de voûte est ornée d’une double couronne de feuilles d’érable (?). Il pourrait s’agir d’une ancienne chapelle construite au 13e ou au 14e siècle. La seconde pièce, qui se trouve à l'étage de soubassement (près du perron central), pourrait être plus simplement une cave.

L’état du « grand corps de logis de la maison abbatiale » est connu grâce à un procès-verbal rédigé en 1607 à l’occasion de la prise de possession de l’abbaye par Pierre Paulet, au nom de l’abbé Arnolphini. Ce procès-verbal est cité par Séry (1902). La ruine de l’édifice explique sans doute sa reconstruction par l’abbé Jean de Vienne, qui a lieu en 1634 selon De Saintemarie (1810). D’après Parmentier (1842) cité par Séry, « en l’année 1634, l’abbé Jean de Vienne fit faire son enclos et rebâtir le logis abbatial, moins grand, mais plus élégant que l’ancien ; il y dépensa 25.000 livres ». Séry identifie une pierre portant l’inscription « Philandre / Passerose / 20 juillet 1632 » (Nevers, musée archéologique du Nivernais) comme la première pierre de l’édifice. Ce dernier est figuré sur un plan de 1759 (Nevers, musée de la Faïence et des Beaux-Arts). Il est alors composé de deux ailes disposées en L bordant une cour au nord et à l’ouest, et d’un jardin s’étendant jusqu’à l’enceinte urbaine. Le procès-verbal de la visite de l’édifice le 22 nivôse an VII (11 janvier 1799) en vue de sa vente permet de connaître la distribution générale de l’ancienne maison abbatiale (voir annexe). La circulation verticale est assurée principalement par un escalier à vis en pierre dans une tour contiguë à l’aile nord. Un second « petit escalier particulier » donne dans la cour et sans doute dans les caves. Selon toute vraisemblance, l’édifice actuel intègre les vestiges de l’aile nord.

Hôtel de La Rochefoucauld

Dès le 23 novembre 1784, le logis abbatial avait été affermé par bail à la Ville de Nevers pour qu'elle y établisse son conseil. L’abbaye est supprimée à la Révolution. L’église abbatiale est détruite, et une nouvelle rue (rue Neuve Saint-Martin, puis rue Lafayette, puis rue d’Orléans, actuelle rue Gambetta) sépare les anciens bâtiments conventuels du logis abbatial, désormais biens nationaux. La Ville, qui y siège encore, envisage l’acquisition de l’ancien logis abbatial, puis y renonce. C’est finalement le citoyen Gourjon qui l’acquiert le 25 pluviôse an VII (13 février 1799). Sur le plan du cadastre napoléonien (1835), l’aile ouest est partiellement détruite et ce qu’il en reste se retrouve isolé de l’aile nord ; elle correspond aujourd’hui au bâtiment au milieu de la parcelle 40. Quant à l’aile nord (« maison » à « 66 ouvertures » dans l’état de section), elle appartient à la comtesse de La Rochefoucauld. Pour en faire son hôtel particulier, la famille semble avoir réalisé d’importants travaux, dont la construction de l’avant-corps de la façade côté jardin.

Succursale départementale de la Banque de France

Alexis Frébault installe dans l’hôtel de La Rochefoucault le Comptoir d’Escompte qu’il crée après la crise de 1848. En 1854, la Banque de France devient propriétaire de l’édifice et en fait sa succursale départementale. Cette installation anticipe sur la loi du 9 juin 1857 qui prévoit que « dix ans après [sa] promulgation, le Gouvernement pourra exiger de la Banque de France qu’elle établisse une succursale dans les départements où il n’en existerait pas » (article 10).

Premiers aménagements (seconde moitié du 19e siècle)

Jusqu’au début du 20e siècle, les travaux semblent avoir surtout concerné les aménagements intérieurs. Ces derniers sont connus grâce à deux plans signés par J. Boutée en 1895 et 1896 (Paris, archives historiques de la Banque de France). Dans l’ancien hôtel de La Rochefoucault figuré en noir, le rez-de-chaussée est divisé en deux parties. Côté est, la salle du public, la comptabilité, la caisse et la serre auxiliaire ont leur propre entrée. Le cabinet du directeur, au centre, est accessible quant à lui par le vestibule de l’escalier principal, et il communique avec le jardin. Côté ouest, l’appartement du caissier dispose également d’une entrée. L’étage de l’ancien hôtel est entièrement occupé par l’appartement du directeur. Les extensions vers l’est (remise, buanderie, bucher au rez-de-chaussée, archives à l’étage) et vers l'ouest (pièces dépendant de l’appartement du caissier et de celui du directeur) figurées en gris peuvent être datées à l’aide d’une élévation de l’architecte Gabriel Crétin du 12 février 1866 (Paris, archives historiques de la Banque de France). À cette date, l’extension vers l’est existe déjà, et celle vers l’ouest est projetée. L’extension vers l’est est détruite lors des travaux de 1907-1908. L’extension vers l’ouest semble avoir été conservée au moins dans un premier temps. Elle est figurée sur un projet de construction d’un bûcher de 1907 (Arch. dép. Nièvre, 54 J 546). Transformée et notamment surélevée sans doute lors des travaux de 1924-1928, elle ne se distingue plus aujourd’hui du corps principal, dont elle ne constitue plus qu’une travée (garage du directeur au rez-de-chaussée, chambres à l’étage).

Travaux de 1907-1908

Le 10 décembre 1904, un rapport indique la nécessité d’agrandir l’édifice. Le 4 juillet 1907, le contrôleur général sollicite le gouverneur de la Banque de France pour établir une demande auprès du conseil de régence et le vote d’un crédit de 90000 francs pour l’agrandissement et le remaniement de la succursale de Nevers. L’architecte Auguste Palet a alors déjà établi le projet d’ensemble : les plans, coupes et élévations sont datés du 9 avril 1907 (Arch. dép. Nièvre, 54 J 546). L’extension, le long de la rue, doit comprendre une salle des coffres (au sous-sol) et une galerie de recettes couverte d’une terrasse et d’une verrière (au rez-de-chaussée). D’après son carnet d’ordres, les travaux de maçonnerie sont confiés aux entrepreneurs G. Gavillon et Boué le 8 janvier 1908, ceux de charpenterie à Dumas le 14 janvier 1908, de menuiserie à Cognet le 18 janvier 1908, de serrurerie à Renault le 4 février 1908 et à G. Follereau le 15 février 1908, de vitrerie à Perrotat le 23 mars 1908, de couverture à Fassier le 25 avril 1908, de plâtrerie à Tarvena le 9 mai 1908 et de plomberie à Clément-Marceau le 30 juin 1908 (Arch. dép. Nièvre, 54 J 545). Par ailleurs, Pietro Favret reçoit un premier paiement pour l’exécution d’un « dallage mosaïque » le 25 juin 1908. Cette extension est détruite moins de vingt ans plus tard.

Travaux de 1924-1926

Jusqu’à la Premier Guerre mondiale, l’édifice est relativement enclavé dans le tissu urbain. L’accès à la cour s’effectue par la rue de Rome, qui date de l’Ancien Régime. Dans un plan du 12 octobre 1864, l’architecte voyer prévoyait déjà le percement de deux rues se croisant devant l’entrée de la succursale. Le percement de la « rue traversière » (rue de la Banque, actuelle rue Jean Desveaux) aboutit à la fin du 19e siècle. Les « bains publics » qui se trouvaient devant l’entrée de la banque sont détruits et rebâtis plus loin, et un immeuble de logements (« Grand Hôtel ») est construit par Auguste Pallet en 1899. Grâce à ce nouvel alignement, la Banque de France peut acquérir trois terrains et immeubles privés (1918-1922) ainsi qu’une partie de la voie publique (1919) du côté ouest. Le percement de la seconde rue, qui aurait dû prolonger la rue de Nemours à travers la cour de l’édifice, est en revanche abandonné.

Le 10 juin 1921, Alphonse Defrasse, architecte en chef de la Banque de France, signe le plan général d’un projet d’agrandissement (Paris, Archives historiques de la Banque de France). Le rez-de-chaussée du corps central est profondément transformé : désaxement du vestibule, reconstruction du perron et de l’escalier du directeur, création d’un bureau du directeur (précédé d’une salle d’attente) et d’une salle du conseil (précédée d’une antichambre). L’extension a trois niveaux. Le niveau de soubassement comprend une salle des coffres pour les particuliers, accessible par un grand escalier, d’autres salles fortes réservées aux agents, une salle des archives et les vestiaires du personnel. Le rez-de-chaussée surélevé s’organise autour d’un hall public, sur lequel donnent le bureau du contrôleur, une salle de travail, une salle de tri et de vérification, et une caisse auxiliaire. Il comprend également, côté rue, une galerie des recettes précédée d’un vestibule. Dans l’étage du corps central, les principales modifications de l’appartement du directeur consistent en la création d’une galerie sur la cour et d’une nouvelle salle à manger sur le jardin. Un nouvel appartement du caissier est créé à l’étage de l’extension. Il dispose de son propre escalier. Il donne sur la terrasse qui couvre le hall public, d’où un escalier en vis dans une tourelle permet de descendre au jardin qui lui est réservé. Le projet de Defrasse évolue dans les années suivantes. Les changements ne portent pas sur la distribution générale des espaces, mais sur les façades et la couverture, et semblent être dus à Auguste Palet qui intervient désormais comme architecte d’exécution. Dans plusieurs dessins de janvier 1924, Defrasse prévoit encore, semble-t-il, des façades en pierre de tailles ornées de refends. Elles sont finalement simplement enduites, sans doute pour éviter un contraste trop violent avec la façade du corps principal. Un avant-corps circulaire, comparable à celui de la façade sur jardin, est créé côté rue. Cette invention apparaît sur un dessin daté du 29 octobre 1924 (Arch. dép. Nièvre, 54 J 550). C’est vraisemblablement également dans le courant de l’année 1924 qu’est décidé l’abandon du comble brisé à charpente en bois au profit d’un toit à deux pans en charpente métallique (mal documenté). En 1921, un premier devis estimatif des travaux à exécuter s’élève à 2069726 francs (Arch. dép. Nièvre, 54 J 542).

Les travaux de construction débutent en avril 1924. Pendant le chantier, une construction provisoire dans la cour, contre la façade du corps principal, a dû permettre d’abriter les services à la suite de la destruction de l’extension de 1907-1908. Le gros-œuvre de la nouvelle extension est terminée au second semestre 1925. L’inauguration a lieu en 1926. Les entreprises qui interviennent sont connues par les archives de l’architecte (Arch. dép. Nièvre, 54 J 548-554). Les travaux de maçonnerie sont exécutés par l’entreprise Demay Frères (Reims) spécialisée dans le ciment armé. Trois entreprises fournissent des pierres, dont des marbres : E. Bion (Paris), Dervillé et Compagnie (Paris) et Vallet (Nevers). Les stucs imitant la pierre sont réalisés par Chaumeny (Vichy) et les peintures par H. Lachambre (Nevers). La serrurerie est confiée à E. Renault (Nevers) et la plomberie à Léon Foucault (Nevers). Pour les parquets, on fait appel à Darton Frères (Nevers). Les travaux de couverture sont assurés par G. Brun. La verrière du hall public est exécutée par l’entreprise A. G. Salvanhac (Paris). Enfin, l’entreprise Michon et Pigé (menuiserie d’art) livre le mobilier et les lambris en février 1926. Les travaux se poursuivent sans doute jusqu’à la fin des années 1930. L’ancienne charpente en bois du corps central est remplacée par une charpente métallique comparable à celle de l’extension. Côté rue, une grille est posée pour fermer la cour, en remplacement de l’ancien mur et de son portail.

L'édifice se situe à l'emplacement du logis abbatial de Saint-Martin. Deux pièces non contigües couvertes de croisées d'ogives doivent correspondre aux vestiges de ce dernier (13e ou 14e siècle). Le logis abbatial est reconstruit par l'abbé Jean de Vienne en 1634. Il est affermé par bail à la Ville de Nevers pour qu'elle y établisse son conseil en 1784, puis il est acquis par le citoyen Gourjon en 1799. Il appartient à la comtesse de La Rochefoucauld en 1835. Alexis Frébault y installe le comptoir d'escompte qu'il crée après la crise de 1848. La Banque de France acquiert finalement l'édifice en 1854 pour en faire sa succursale départementale. D'importants travaux de transformation et d'agrandissement, dont il reste peu de vestiges, ont lieu en 1907-1908 sous la direction de l'architecte Auguste Palet. L'acquisition de nouveaux terrains permet d'envisager une nouvelle extension après la Première Guerre mondiale. Le projet est établi par Alphonse Defrasse, architecte en chef de la Banque de France. Les travaux sont conduits par Auguste Palet de 1924 à 1926. L'édifice actuel correspond très largement à cette dernière campagne de travaux. Les services de la Banque de France, transférés dans l’ancienne caserne Pittié, quittent l'édifice en 2017. La Ville de Nevers devient propriétaire de ce dernier avant d'envisager sa vente en 2023.

L'édifice est construit en moellon de pierre (pour les parties les plus anciennes) et en béton (pour les parties les plus récentes). Il est couvert d'un toit à longs pans et à croupes en ardoise. Un premier dôme surmonte l'avant-corps de la façade du corps de logis donnant sur le jardin, un second l'entrée principale du public côté rue. L'édifice comprend un étage de soubassement, un rez-de-chaussée surélevé et un étage carré. La charpente métallique est visible dans les combles, qui ne sont pas aménagés. L'une des salles du rez-de-chaussée surélevé est entièrement couverte d'une croisée d'ogives. Des vestiges d'un autre couvrement du même type ainsi qu'une entrée de cave subsistent dans une autre salle de l'étage de soubassement. Le hall du public est couvert d'une terrasse et d'une verrière. L'édifice comprend plusieurs escaliers en maçonnerie. Les plus importants sont ceux de l'appartement du directeur (premier étage) et de la salle des coffres (sous-sol). D'autres escaliers sont en bois et en métal. L'escalier et le monte-charge de la caisse auxiliaire constituent l'unique accès de l'avant-serre et de la serre des espèces (non vues) au sous-sol. L'édifice comprend deux appartements, l'un pour le directeur et l'autre pour le caissier, des espaces réservés au public (vestibule, hall, etc.) et d'autres au personnel (bureaux, vestiaires, etc.). Plusieurs grandes grilles permettent de fermer l'accès aux espaces des transactions. La première se situe à l'extrémité supérieure du perron de l'entrée, la deuxième entre l'antichambre de la salle du conseil et le hall du public. Une troisième grille, dissimulée dans le lambris, permet de condamner le passage par le bureau du contrôleur.

  • Murs
    • pierre
    • béton enduit
    • moellon
    • enduit
  • Toits
    ardoise
  • Étages
    étage de soubassement, rez-de-chaussée, 1 étage carré
  • Couvrements
    • voûte d'ogives
    • charpente métallique apparente
  • Élévations extérieures
    élévation à travées
  • Couvertures
    • toit à longs pans croupe
    • dôme circulaire
    • terrasse
    • verrière
  • Escaliers
    • escalier dans-oeuvre : escalier tournant à retours avec jour en maçonnerie
    • escalier dans-oeuvre : escalier en équerre en maçonnerie
    • escalier dans-oeuvre : en charpente métallique
  • Autres organes de circulation
    monte-charge
  • Typologies
  • État de conservation
    désaffecté
  • Techniques
    • mosaïque
    • vitrail
  • Représentations
    • ornement géométrique
  • Statut de la propriété
    propriété de la commune
  • Intérêt de l'œuvre
    à signaler
  • Éléments remarquables
    banque de France

Une partie du décor et du mobilier des années 1920 est encore en place.

Documents d'archives

  • Archives départementales de la Nièvre. 54 J 542. Fonds Bouveault-Palet. Banque de France (1866-1891).

    Archives départementales de la Nièvre, Nevers : 54 J 542
  • Archives départementales de la Nièvre. 54 J 545. Fonds Bouveault-Palet. Banque de France (1907-1908).

    Archives départementales de la Nièvre, Nevers : 54 J 545
  • Archives départementales de la Nièvre. 54 J 546. Fonds Bouveault-Palet. Banque de France (1907-1910).

    Archives départementales de la Nièvre, Nevers : 54 J 546
  • Archives départementales de la Nièvre. 54 J 548. Fonds Bouveault-Palet. Banque de France (1924).

    Archives départementales de la Nièvre, Nevers : 54 J 548

Bibliographie

  • De Saintemarie, Louis. Recherches historiques sur Nevers. Nevers : Imprimerie de Lefebvre, 1810.

    P. 414-416.
  • Sery, André. L’abbaye Saint-Martin de Nevers de chanoines réguliers de Saint-Augustin. Nevers : Imprimerie G. Vallière, 1902.

    P. 120-128.
  • Lechat, François. Nevers pas à pas. Paris : Imprimerie Clerc, 1988. 346 p. : ill. ; 31 cm.

    P. 150-151, 296-299.

Documents figurés

  • Le vray portraict de la ville et chasteau de Nevers, en 1575 / E. Bussière. [Vers 1575]. Lithographie. Reproduction d'une gravure de la Cosmographie universelle (1575) de François de Belleforest. Extrait de : Florenty, Guy. Une capitale provinciale et sa population : Nevers au XVIIIe siècle. Nevers : Ateliers nivernais d'archives vivantes, 1991.

  • [Plan de la ville de Nevers] / [auteur inconnu]. 1759. Dessin.

    Musée de la faïence et des beaux-arts, Nevers : NP 717
  • Ville de Nevers. Voirie urbaine. Plan de deux rues à ouvrir, et l'autre en prolongement de la rue Traversière, et l'autre entre la place du Lycée et l'extrémité nord de la rue d'Orléans / [auteur inconnu]. 12 octobre 1864. Dessin. Échelle 1/500.

    Archives historiques de la Banque de France, Paris : 272 BDF 161
  • Banque de France. Succursale de Nevers. Façade sur la cour d'entrée / Gabriel Crétin. 12 février 1866. Dessin. Échelle 1/100.

    Archives historiques de la Banque de France, Paris : 272 BDF 161
  • Banque de France. Succursale de Nevers. Plan du rez-de-chaussée / J. Boutée. 1895. Dessin.

    Archives historiques de la Banque de France, Paris : 272 BDF 161
  • Banque de France. Succursale de Nevers. Plan du 1er étage / J. Boutée. 1896. Dessin. Échelle 1/100.

    Archives historiques de la Banque de France, Paris : 272 BDF 161
  • [Plan du sous-sol] / [auteur inconnu]. [Fin du 19e siècle ou début du 20e siècle]. Dessin.

    Archives départementales de la Nièvre, Nevers : 54 J 542
  • Banque de France. Succursale de Nevers. État des lieux. Appartement du directeur / [auteur inconnu]. [Fin du 19e siècle ou début du 20e siècle]. Dessin. Échelle 1/100.

    Archives départementales de la Nièvre, Nevers : 54 J 542
  • Banque de France. Succursale de Nevers. Agrandissement des bureaux. Plan du sous-sol sous les bureaux actuels. Coupe dans l'axe du perron / Auguste Palet. 7 avril 1908. Dessin sur calque. Échelle 1/50.

    Archives départementales de la Nièvre, Nevers : 54 J 542
  • Banque de France. Succursale de Nevers. Projet d'agrandissement des bureaux. Plan du sous-sol / Auguste Palet. 9 avril 1907. Dessin sur calque.

    Archives départementales de la Nièvre, Nevers : 54 J 546
  • Banque de France. Succursale de Nevers. Projet d'agrandissement des bureaux. Plan du rez-de-chaussée / Auguste Palet. 9 avril 1907. Dessin sur calque.

    Archives départementales de la Nièvre, Nevers : 54 J 546
  • Banque de France. Succursale de Nevers. Projet d'agrandissement des bureaux. Plan du premier étage (appartement du directeur) / Auguste Palet. 9 avril 1907. Dessin sur calque.

    Archives départementales de la Nièvre, Nevers : 54 J 546
  • Banque de France. Succursale de Nevers. Projet d'agrandissement des bureaux. Façade sur la cour. Façade rue de Rome / Auguste Palet. 9 avril 1907. Dessin sur calque.

    Archives départementales de la Nièvre, Nevers : 54 J 546
  • Banque de France. Succursale de Nevers. Projet d'agrandissement des bureaux. Façade rue de Rome / Auguste Palet. 9 avril 1907. Dessin sur calque.

    Archives départementales de la Nièvre, Nevers : 54 J 546
  • Banque de France. Succursale de Nevers. Projet d'agrandissement des bureaux. Façades sur le jardin / Auguste Palet. 9 avril 1907. Dessin sur calque.

    Archives départementales de la Nièvre, Nevers : 54 J 546
  • Banque de France. Succursale de Nevers. Agrandissement des bureaux. Coupe verticale sur le hall et la caisse auxiliaire. Bâtiment de l'hôtel prolongé / Auguste Palet. 1907. Dessin sur calque.

    Archives départementales de la Nièvre, Nevers : 54 J 546
  • Banque de France. Succursale de Nevers. Agrandissement des bureaux. Coupe longitudinale sur la galerie de recettes. Nouvelles constructions / Auguste Palet. 1907. Dessin sur calque.

    Archives départementales de la Nièvre, Nevers : 54 J 546
  • Banque de France. Succursale de Nevers. Projet de construction d'un bûcher. Plan. Coupe / Auguste Palet. 21 octobre 1907. Dessin sur calque.

    Archives départementales de la Nièvre, Nevers : 54 J 546
  • Banque de France. Succursale de Nevers. Projet de construction d'un bûcher. Face sur jardin. Face latérale. Face sur cour / Auguste Palet. 21 octobre 1907. Dessin sur calque.

    Archives départementales de la Nièvre, Nevers : 54 J 546
  • Banque de France. Nevers. Plan du rez-de-chaussée / Alphonse Defrasse. 10 juin 1921. Dessin. Échelle 1/200.

    Archives historiques de la Banque de France, Paris : 272 BDF 161
  • Banque de France. Succursale de Nevers. Façade sur pan coupé. Façade sur rue de la Banque / Alphonse Defrasse. 15 janvier 1924. Dessin.

    Archives historiques de la Banque de France, Paris : 272 BDF 161
  • Banque de France. Nevers. Façade latérale nord. Façade postérieure (sur jardin) / Alphonse Defrasse. 15 janvier 1924. Dessin. Échelle 1/100.

    Archives historiques de la Banque de France, Paris : 272 BDF 161
  • Banque de France. Nevers. Coupe (suivant l'axe du vestibule) [sic] / Alphonse Defrasse. 15 janvier 1924. Dessin.

    Archives historiques de la Banque de France, Paris : 272 BDF 161
  • Banque de France. Nevers. Plan d'ensemble / Alphonse Defrasse. 30 novembre 1926. Dessin. Échelle 1/200.

    Archives historiques de la Banque de France, Paris : 272 BDF 161
  • Banque de France. Nevers. Plan du sous-sol / Alphonse Defrasse. 30 novembre 1927. Échelle 1/100.

    Archives historiques de la Banque de France, Paris : 272 BDF 161
  • Banque de France. Nevers. Plan du rez-de-chaussée / Alphonse Defrasse. 30 novembre 1927. Échelle 1/100.

    Archives historiques de la Banque de France, Paris : 272 BDF 161
  • Banque de France. Nevers. Plan du premier étage / Alphonse Defrasse. 30 novembre 1927. Échelle 1/100.

    Archives historiques de la Banque de France, Paris : 272 BDF 161
  • Banque de France. Nevers. Plan d'ensemble / Jacques A. Palet. 15 avril 1943. Échelle 1/500.

    Archives historiques de la Banque de France, Paris : 272 BDF 161
  • Banque de France. Nevers. Coupe transversale et façade nord-ouest sur terrasse / Jacques A. Palet. Avril 1943. Échelle 1/50.

    Archives historiques de la Banque de France, Paris : 272 BDF 161
  • Banque de France. Nevers. Coupe longitudinale / Jacques A. Palet. Avril 1943. Échelle 1/50.

    Archives historiques de la Banque de France, Paris : 272 BDF 161
  • Album photographique, succursale de la Banque de France de Nevers. Deuxième et troisième quart du 20e siècle.

    Archives historiques de la Banque de France, Paris : 1217198801 AR 19

Annexes

  • Procès-verbal de visite de l’ancienne maison abbatiale par Jean d’Estève (11 janvier 1799)
Date(s) d'enquête : 2023; Date(s) de rédaction : 2023
(c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
Dufoulon Fabien
Dufoulon Fabien

Fabien Dufoulon, chercheur. Région Bourgogne-Franche-Comté, Service Inventaire et Patrimoine, 2018-

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