Pierre-Marie Barbe-Richaud, photographe. Région Bourgogne-Franche-Comté, Service Inventaire et Patrimoine, 2008-
- enquête thématique régionale, salles de spectacle de Bourgogne-Franche-Comté
- (c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
Dossier non géolocalisé
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Aire d'étude et canton
Bourgogne-Franche-Comté
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Commune
Cosne-Cours-sur-Loire
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Adresse
17 rue Alphonse Baudin
,
7 place Theme
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Cadastre
2023
AM
401, 402
;
1835
A
979
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Dénominationséglise, tribunal, théâtre, collège
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AppellationsPrintania
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Destinationsétablissement de danse, immeuble de bureaux, immeuble
En 1616, les augustins s'installent à Cosne dans un couvent existant au bord du Nohain, qu'ils n'ont de cesse d'agrandir. Ils le dotent notamment d'une église (occidentée), dont la construction est autorisée par l'évêque en 1618 : ils achètent en 1633 la "maison et jeu de paulme de François Saujot" et font bâtir l'édifice, qui est couvert d'ardoises par le maître couvreur Ursin Faulque en 1640 puis béni en 1642. L'église est endommagée par une crue du Nohain en février 1658. Désaffectée à la Révolution, elle voit son clocher démoli durant l'hiver 1793 et ses stalles transférées dans l'église Saint-Agnan. Elle sert de halle aux blés en 1795. Vendu comme bien national, le couvent est acheté en 1800 par le notaire Dageville puis passe le 9 octobre 1802 à la Ville, qui le transforme au fil du temps en sous-préfecture (1800-1863), tribunal de première instance (1803-1863), hôtel de ville (1804-1848), théâtre (1806-1922), école de filles (1809-1836), collège (1816-1966), presbytère (1816-1907) et école primaire (1836-1895).
L'église est transformée pour accueillir le tribunal et un théâtre : le portail est démoli, les fenêtres hautes sont bouchées et de nouvelles ouvertes, des planchers sont construits. Le tribunal s'installe en 1803 au rez-de-chaussée, dans la nef, tandis que des salles sont aménagées dans le choeur. Les étages qui viennent d'être créés sont destinés en 1806 à une petite salle de spectacle, réalisée par le mécanicien Claude Gueneau qui est payé 373 F 75 "pour frais de construction des décorations du théâtre placé dans la grande salle au-dessus du tribunal, et pour avoir fait un plafond et un dôme dans ladite salle". Le 15 mai 1829, validant le budget alloué pour sa réparation, le conseil municipal insiste sur l'intérêt économique de l'opération : "considérant 1° que les fêtes de St Michel réunissent chaque année un grand nombre d’étrangers ; 2° que cette affluence est due en partie aux différens plaisirs que Cosne présente à cette époque aux habitans des villes et des campagnes voisines, et particulièrement à l’attrait du spectacle ; 3° que ce concours considérable de personnes aisées donne au commerce un mouvement dont presque tous les habitans ressentent l’avantage ; 4° qu’agrandir et embellir la salle de spectacle est un sûr moyen d’augmenter encore la prospérité du pays ; 5° que cette salle telle qu’elle existe aujourd’hui est imparfaite et que chacun sent le besoin d’y faire faire des constructions et embellissemens intérieurs, qui en la rendant plus commode et plus grande lui donneront un aspect plus agréable" [...] En 1830, la salle est donc transformée, suivant le projet de l'architecte voyer Frossard, en un véritable théâtre de 600 places assises doté d'une galerie et de loges, pour lequel le "peintre décorateur de théâtre" Moretti (demeurant à Moulins) rédige le 16 juin un devis pour cinq décors de scène (salon, place publique, forêt, maison rustique et prison). Des travaux ont lieu en 1850 : le menuisier Danton Roux refait le plancher de la scène (avec trappes et trou de souffleur) ; le charpentier Isidore Foing aménage deux loges d'acteur dans le grenier ; Simon, machiniste au théâtre de Nevers, fabrique un treuil et 16 chariots avec leur costières ; Giovanni Metalli, peintre en décors à Nevers, réalise "un salon fermé riche, un petit salon, une forêt, une place publique, une prison" et divers accessoires dont un rideau d'avant-scène. Lorsqu'en 1863 le tribunal quitte les lieux pour un nouvel édifice, rue des Ponts, il est remplacé au rez-de-chaussée par une salle de bal, qui sera convertie avant 1886 en salle de récréation pour le collège. La façade, ornée de quatre masques, est entièrement refaite en 1862 suivant le dessin de Ferdinand Jeauneau, et le bâtiment rouvre ses portes le 28 septembre. L'éclairage à huile cède en 1872 la place à celui au gaz, installé par la Société du Gaz de Cosne. Un document non daté (fin du 19e siècle ou début du 20e ?) donne la répartition des 480 places existant alors : 60 au parterre, 90 aux loges et à l'orchestre, 80 aux premières galeries, 120 aux secondes et 130 aux troisièmes.
Le sort du théâtre est évoqué durant la réunion du conseil municipal du 8 février 1920 : le maire expose que "sans nuire aux représentations, fêtes, conférences et autres réunions agréables ou utiles à la population cosnoise, il y a lieu de tirer parti de cet immeuble improductif en consentant un long et avantageux bail, soit pour un cinéma, soit pour toute autre salle d’attractions, étant entendu que les frais d’appropriation et d’agencement seraient à la charge du preneur". Le 30 avril suivant, le théâtre et la salle du rez-de-chaussée dite "de l'ancien tribunal" sont loués pour 18 ans à Henri Lasne, entrepreneur de transports à Cosne. Le bail en précise la composition : "Un immeuble situé à Cosne rue Alphonse Baudin connu sous le nom de « Théâtre municipal » et comprenant : au rez- de chaussée, logement de la concierge composé de trois pièces, bureau de location et de contrôle, des escaliers conduisant au théâtre ; au premier étage, salle de spectacle, couloirs de dégagements, un fumoir, deux loges d’artistes et la scène, un magasin de matériel et décors, water-closets". Lasne doit rafraîchir les salles et le mobilier, et établir dans la cour du collège un escalier métallique desservant les premières galeries (sécurité incendie). Il est prévu qu'il puisse réaliser des projections cinématographiques, ce que confirme en mai 1921 une plainte de l'inspecteur d'académie car la cabine de projection, qui se trouve au-dessus de l'appartement du principal du collège, est bruyante. Le même document signale que la salle du tribunal, auparavant utilisée "pour les répétitions de la société musicale, puis la tenue des conférences et réunions des sociétés locales, salle de banquet, gymnase municipal, etc.", sert de bar et "promenoir-foyer les jours de spectacles". L'établissement est électrifié le 29 septembre 1921.
Le 2 août 1922, Lasne vend à Joseph Girard le fonds de théâtre, cinéma et music-hall qu'il exploite sous l'enseigne de Printania. Le bâtiment est détruit par un incendie dans la nuit du 13 au 14 décembre 1922 et seuls en subsistent les murs. La municipalité demande à son architecte voyer, Fernand Boussard, de rédiger un projet de reconstruction pour un théâtre en béton armé de 550 à 600 places, également à usage de cinéma, éventuellement doté d’un logement pour le concierge et d’un bar. Elle envisage à la fin de l'année de réaliser un emprunt de 120 000 F auprès de particuliers, souhaitant une réouverture avant les fêtes de la Saint-Michel, mais le projet rendu par Boussard le 17 février 1923 (pour une salle de 22 x 13,20 m, avec galerie, une scène de 17 x 6 m et deux annexes) s'élève à 200 000 F. L'idée est abandonnée et l'édifice est finalement réparé et affecté au collège voisin : "salle de réunion, loge du concierge et parloir au rez-de-chaussée ; appartement du principal, pharmacie, infirmerie et lingerie au 1er étage ; dortoir au 2nd étage". La réception définitive des travaux (adjugés en 1925) a lieu le 25 novembre 1929 (une restauration interviendra en 1936).
Le collège quitte les lieux en 1966 et les bâtiments connaissent des sorts divers : une partie est vendue en 1972 à l'administration des Postes ; une autre partie est détruite en 1980, notamment le corps qui jouxte l'ancien théâtre (lequel est désaffecté depuis 1973) ; le reste est converti en musée en 1985-1986. La Ville transforme en 1981 le théâtre en immeuble de bureaux, mis à la disposition d'associations, du Grenier du Nohain (troupe théâtrale créée en 1972), etc. Elle s'associe en 2018 avec Nièvre Habitat pour le réhabiliter, suivant les plans de l'architecte Dominique Maringe (1 rue Saint-Martin à Nevers) : le rez-de-chaussée est attribué au Grenier du Nohain et à l'école Nohain Atelier Théâtre, les deux étages sont convertis en huit logements sociaux (quatre T2 et quatre T3), dotés de balcons au sud. Débutés en mai 2019, les travaux s'achèvent en octobre 2021.
Installés à Cosne en 1616, les augustins font construire dans les années 1630 une église, couverte en 1640 et bénie en 1642. Désaffectée à la Révolution, elle perd son clocher durant l'hiver 1793, ses stalles sont transférées dans l'église Saint-Agnan et elle sert de halle aux blés en 1795. Son portail est ensuite démoli et son vaisseau divisé pour créer deux étages : elle accueille à partir de 1803 le tribunal au rez-de-chaussée et à partir de 1806, dans les étages, une petite salle de spectacle réalisée par le mécanicien Claude Gueneau. Cette salle est transformée en 1829-1830, suivant le projet de l'architecte voyer Frossard, en un véritable théâtre de 600 places assises (doté d'une galerie et de loges), restauré en 1850. Lorsque le tribunal quitte les lieux en 1863, il est remplacé au rez-de-chaussée par une salle de bal, qui sera convertie avant 1886 en salle de récréation pour le collège. La façade du bâtiment est entièrement refaite en 1862, suivant le dessin de Ferdinand Jeauneau, et l'éclairage à huile cède en 1872 la place à celui au gaz. Un document non daté (fin du 19e siècle ou début du 20e ?) donne la répartition des 480 places existant alors : 60 au parterre, 90 aux loges et à l'orchestre, 80 aux premières galeries, 120 aux secondes et 130 aux troisièmes. L'édifice est loué en 1920 par Henri Lasne, qui y installe une cabine de projection cinématographique et un bar (dans l'ancien tribunal). En 1922, Lasne vend à Joseph Girard le fonds de théâtre, cinéma et music-hall (électrifié l'année précédente) qu'il exploite sous l'enseigne de Printania. Le bâtiment est détruit par un incendie dans la nuit du 13 au 14 décembre 1922 et seuls en subsistent les murs. La municipalité demande à son architecte voyer, Fernand Boussard, de rédiger un projet de reconstruction pour un théâtre et cinéma en béton armé, de 550 à 600 places, mais renonce face au coût. Elle fait donc réparer, sous sa surveillance, le bâtiment, qu'elle affecte au collège voisin. Après le départ de l'établissement en 1966, il est désaffecté en 1973 puis converti en 1981 en immeuble de bureaux, mis à la disposition d'associations, de la troupe théâtrale Le Grenier du Nohain, etc. Il est transformé, de 2019 à 2021, suivant les plans de l'architecte Dominique Maringe, de Nevers, pour accueillir huit logements sociaux aux étages, le rez-de-chaussée étant attribué au Grenier du Nohain et à l'école Nohain Atelier Théâtre.
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Dates
- 1862, daté par travaux historiques
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Auteur(s)
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Auteur :
Gueneau Claudemaître de l'oeuvre attribution par travaux historiques, attribution par sourceGueneau Claude
Gueneau, Clauude. Mécanicien, auteur en 1806 du théâtre de Cosne.
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Auteur :
Frossardarchitecte communal attribution par sourceFrossard
Frossard. Architecte voyer de la Ville de Cosne-Cour-sur-Loire en 1829.
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Auteur :
Jeauneau Ferdinandconducteur de travaux attribution par sourceJeauneau Ferdinand
Jeauneau, Victor Ferdinand. Conducteur des Ponts et Chaussées. Né à Châteauneuf-en-Thymerais (Eure-et-Loir) le 29 janvier 1821, mort le 19 juin 1865.
(Sources : Archives municipales, Cosne-Cour-sur-Loire)
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Auteur :
Boussard Fernandarchitecte communal attribution par source, attribution par travaux historiquesBoussard Fernand
Boussard, Fernand Henri Paul (1876-1960). Architecte voyer de la Ville de Cosne-Cour-sur-Loire dans les années 1920 et 1930.
(Source : https://gw.geneanet.org/guyonyoung?n=boussard&oc=&p=fernand+henri+paul)
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Auteur :
Maringe Dominiquearchitecte attribution par travaux historiquesMaringe Dominique
Maringe, Dominique. Architecte à Nevers.
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Auteur :
Le bâtiment est construit en moellons calcaires enduits, avec une façade antérieure en pierre de taille formant pignon découvert. Il compte deux étages carrés et est coiffé d'un toit à longs pans (avec une pente différente sur la partie à l'ouest), pignon couvert sur la façade postérieure et couverture d'ardoises. La desserte a été modifiée lors de sa transformation en immeuble : elle s'effectue sur son élévation latérale droite par un escalier extérieur et des galeries métalliques, et par un ascenseur.
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Murs
- calcaire pierre de taille
- moellon enduit
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Toitsardoise
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Étages2 étages carrés
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Élévations extérieuresélévation à travées
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Couvertures
- toit à longs pans pignon découvert
- pignon couvert
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Escaliers
- escalier de distribution extérieur : escalier tournant à retours avec jour en charpente métallique
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Autres organes de circulationascenseur
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Techniques
- sculpture
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Représentations
- masque
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Précision représentations
Décor en relief sculpté au 2e étage de la façade antérieure : 4 masques.
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Statut de la propriétépropriété publique
- (c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
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- (c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
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- (c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
- (c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
- (c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
- (c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
- (c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
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- (c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
- (c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
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Documents d'archives
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Archives départementales de la Nièvre : 3 E 89/269 Bail à loyer par la ville de Cosne-sur-Loire à M Lasne de son théâtre municipal. 30 avril 1920.
Autre exemplaire coté 3 E 89/329
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Archives municipales, Cosne-Cour-sur-Loire : 4 M 3 Collège. 1851-1872.
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Archives municipales, Cosne-Cour-sur-Loire : 4 M 7 Théâtre, entretien : travaux, réparations, aménagements, plan, adjudication des loges. 1828-1863.
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Archives municipales, Cosne-Cour-sur-Loire : 4 M 9 Collège : entretien, reconstruction. 1871-1939.
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Archives municipales, Cosne-Cour-sur-Loire : 4 M 30 Théâtre : entretien, gardiennage, location, reconstruction après incendie. 1872-1924.
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Soumission d'E. Pluviaux pour la location du théâtre, sur papier à en-tête Continental-Vio. 15 avril 1920.
Bibliographie
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Action Coeur de Ville : les HLM engagés aux côtés des collectivités. Paris : Union sociale pour l'Habitat, Action Logement, 2022. 73 p. : ill. Document accessible en ligne : https://www.union-habitat.org/sites/default/files/articles/pdf/2022-07/ush-coeurdeville-bat.pdf
P. 42-43 : ill. -
Brocq, Nicolas. Le Couvent des Augustins. Histoire mouvementée d'un Couvent devenu Musée. Cosne-Cours-sur-Loire : Les Amis du Musée, 2014. 40 p. : ill. ; 30 cm. (Les Cahiers des Amis du Musée de la Loire, 17).
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Cosne-sur-Loire. Les étages de l'ancien tribunal ont été transformés. Le Journal du Centre [en ligne], 21 juin 2021 [consultation du 20 octobre 2023]. Accès internet : https://www.lejdc.fr/cosne-cours-sur-loire-58200/actualites/les-etages-de-lancien-tribunal-ont-ete-transformes_13971295/
Documents figurés
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La ville et chasteau de Caune sur Loire. Gravure, par C. Chastillon. S.d. [1640]. Papier 13,5 x 20 cm collé sur carton 23,5 x 31,5 cm.
Porte le nombre 83 dans l’angle supérieur gauche. L’église des Augustins est repérée par la lettre C.
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Projet de distribution de la salle de comédie de la ville de Cosne. Dessin (plume, lavis), s.n. [par l'architecte voyer Frossard]. S.d. [1829]. 29,5 x 37 cm, éch. approximative 1/80.
Deux rabats : Elévation de la galerie du côté droit. 6,5 x 19 cm [et] Elévation de la galerie au-dessus de la porte d’entrée. 7 x 16 cm.
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[Plan des loges et galeries]. Dessin (plume), s.n. [par l'architecte voyer Frossard]. S.d. [1830]. 31,5 x 21,5 cm, éch. approximative 1/80.
Plan dessiné sur la dernière feuille d’un : Devis et détail estimatif de construction de loges et galleries à faire dans la salle de théâtre de la ville de Cosne, par le voyer municipal Frossard, 25 avril 1830.
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Plan général d’alignement de la ville de Cosne et faubourgs [plan d'ensemble]. Dessin (plume, lavis), par Hipp[oly]te Bec, géomètre de 1re classe du cadastre. 1836. 67 x 98,5 cm, 1/2 000.
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Projet d’établissement de deux loges d’acteur dans le grenier du théâtre. Dessin (plume, lavis), s.n. Cosne le 24 mars 1849. 32,5 x 47 cm [avec le devis], sans éch. [1/50].
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Ville de Cosne. Projet d’appropriation de l’ancien palais de justice et reconstruction de la charpente du comble. Dessin (plume, lavis), par l’architecte F. Jeauneau. Cosne le 15 novembre 1860. 48 x 68 cm, 1/100.
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Ville de Cosne. Projet de restauration et d’agrandissement du collège communal. Plan du 1er étage. Dessin (plume, lavis), par l’architecte municipal A. [illisible]. Cosne le 25 mai 1886. 62 x 49 cm, 1/100.
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Cosne. - Le Collège - Le Théâtre. Carte postale, par Cannier. S.d. [4e quart 19e siècle]. H. Pontaut éd.
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Théâtre de Cosne [plans]. Dessin sur calque (plume, crayon de couleur). S.n. S.d. [1922 ?]. 48 x 28 cm, 1/100. Porte un tampon : M Rouchonnat, avocat avoué, Cosne (Nièvre).
- Plan du rez-de-chaussée.
- Plan du 1er étage.
- Plan du 2ème étage.
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Incendie du 13 décembre 1922. Théâtre municipal de Cosne [plan du rez-de-chaussée et des deux étages]. Dessin (tirage), s.n. S.d. [1922 ?]. 50 x 66,5 cm, 1/100.
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Théâtre de Cosne (Nièvre). Coupes transversale et longitudinale. Dessin (tirage), s.n. S.d. [1922 ?]. 39 x 66,5 cm, 1/100.
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Ville de Cosne (Nièvre). Extension collège. Dessin (tirage bleu), par l’architecte F. Boussard. Cosne le 25 mai 1927. 1/50.
- Plan du rez-de-chaussée. 45,5 x 62,5 cm.
- Plan du 1° étage. 41,5 x 60,5 cm.
- Plan du 2° étage. 42 x 61 cm.
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Collège de Cosne-s-Loire [état actuel]. Dessin (tirage), par l’architecte Boussard. 1936. 42,5 x 72 cm, 1/200.
- Plan d’ensemble du rez de chaussée. 26 mai 1936.
- Plan d’ensemble du 1° étage. 6 juin 1936.
Documents multimédia
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Servant, Isabelle. Pauvres moines qui ont cru que leurs corps attendrait là en repos le jour de la résurrection ! Les Cosnoisettes [en ligne]. S.d. [décembre 2012 et janvier 2013] [consultation du 19 octobre 2023]. Article en deux parties. Accès internet : https://mairiecosnesurloire.fr/wp-content/uploads/2019/05/2012-12.-d%C3%A9cembre.pdf et https://mairiecosnesurloire.fr/wp-content/uploads/2019/05/2013-1.-janvier.pdf
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Servant, Isabelle. Viens chez moi, j'habite dans une église. Les Cosnoisettes [en ligne]. S.d. [juillet 2019] [consultation du 19 octobre 2023]. Accès internet : https://mairiecosnesurloire.fr/wp-content/uploads/2019/08/cosnoisette-juillet.pdf
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Servant, Isabelle. La tragédie du Printania. Les Cosnoisettes [en ligne]. S.d. [2022] [consultation du 17 mai 2024]. Accès internet : https://mairiecosnesurloire.fr/wp-content/uploads/2023/01/cosnoisette112.pdf
Poupard, Laurent. Chercheur au service Inventaire et Patrimoine de la Région Bourgogne-Franche-Comté, 1987-
Poupard, Laurent. Chercheur au service Inventaire et Patrimoine de la Région Bourgogne-Franche-Comté, 1987-