Dossier d’œuvre architecture IA89002135 | Réalisé par
Campion Jo-Ann (Contributeur)
Campion Jo-Ann

Jo-Ann Campion, chargée de recherche. Région Bourgogne-Franche-Comté, service Inventaire et Patrimoine. 2020-

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  • enquête thématique régionale, patrimoine religieux du 20e siècle en Bourgogne-Franche-Comté
grand séminaire de Sens, aujourd'hui édifice d'assistance ou de protection sociale (Établissement de services et d'aide par le travail)
Œuvre étudiée
Auteur
Copyright
  • (c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine

Dossier non géolocalisé

Localisation
  • Aire d'étude et canton Bourgogne-Franche-Comté
  • Commune Sens
  • Adresse 67 rue Carnot , 63 rue Carnot
  • Cadastre 2024 AK 77 / 28
  • Précisions
  • Dénominations
    séminaire, édifice d'assistance ou de protection sociale
  • Parties constituantes étudiées
  • Parties constituantes non étudiées
    atelier de fabrication, serre, foyer, maison de retraite

Jusqu’à son évacuation en décembre 1906, le grand séminaire occupe à Sens un ensemble de bâtiments situé entre la Grande Rue (devenue rue des Déportés et de la Résistance) et les rues Montpezat, Thénard et des Trois Croissants. En 1908, un immeuble est acquis par le diocèse, au 79 rue de Lyon (actuelle rue du Général de Gaulle) afin d'accueillir les séminaristes en créant l'école supérieure de théologie Saint-Étienne. Ce modeste séminaire est fermé en 1914 en raison de la guerre, puis réouvert en 1917. Le premier projet de construction d’un nouveau grand séminaire est porté dès 1914 par l’archevêque de Sens, Mgr Chesnelong, qui confie cette mission à l’architecte sénonais J. Dapoigny. Le terrain, sur lequel est prévue la construction, jouxte les rues d’Allix, Amiral Rosselle et le boulevard du 14 Juillet. S’appuyant sur un bâtiment existant, le projet prévoit un nouvel immeuble pour les chambres des séminaristes, conçu avec une charpente métallique et des murs en briques. Les entrepreneurs ont été désignés, mais le projet est mis en suspens par la Grande Guerre. En 1920, la localisation du futur séminaire change. Le 15 juin 1920, la Société anonyme immobilière de l’Yonne, qui représente et gère les biens immobiliers de l’archevêché de Sens, fait l’acquisition d’une propriété dite « de Saint-Sauveur », d’une superficie de 3,72 hectares. Le domaine, entièrement clos, est délimité au nord par le chemin du Port (actuelle rue du Pont Neuf), au sud par le boulevard du Centenaire, à l’ouest par l’Yonne et à l’est par la rue Carnot. Une demeure comprenant un étage de soubassement (vestibule, cuisine et arrière-cuisine, calorifère, cave et sanitaire), un rez-de-chaussée surélevé (vestibule et salle à manger, office, grand salon, bibliothèque et cabinet de toilette), deux étages, l’un comprenant cinq chambres, trois cabinets de toilette et des sanitaires, le second abritant les chambres des domestiques et le grenier. Le rez-de-chaussée surélevé s’ouvre sur une terrasse en terre-plein plantée de tilleuls. En outre, le domaine comprend un logement de jardinier, des greniers, écuries, poulaillers et remises situés à l’angle de la rue Carnot et du chemin du Port. Le parc est décrit « à l’anglaise » avec des futaies, un jardin fruitier, des serres et un potager. Une seconde terrasse et un kiosque sont signalés le long de l’Yonne.

 Aménagement du domaine Saint-Sauveur en grand séminaire 

L’architecte Félix Lazare Bertrand est désigné pour travailler sur le projet, qui prévoit le réaménagement de la maison d’habitation et de ses dépendances, la construction d’un bâtiment servant de parloir et de conciergerie, la démolition d’une serre et la création d’un bûcher, ainsi que la révision des clôtures et le nivellement de la cour, la distribution de l’eau, du gaz et de l’électricité, et enfin la construction d’un bâtiment neuf destiné à accueillir les salles de classe et les chambres des séminaristes. Pour ce dernier, l’architecte semble s’appuyer sur le projet de 1914, tout en y apportant quelques modifications de façon à renforcer la solidité du bâtiment et à diminuer le surcoût induit par ces consolidations. Il propose notamment de substituer aux murs de brique, des murs de moellon de pierre enduits à la chaux hydraulique. Il préconise l'usage de pierres issues des carrières de Souppes, de Chassignelles, de Lézinnes ou de Ravières. Seuls les cordons des façades, les jambages des baies, les arcades du cloître sont en briques de premier choix, rouges, non gélives, provenant de la région. Les pierres de taille prévues pour les soubassements sont remplacées par des moellons ; l’épaisseur des cloisons est réduite ; les décors du cloître sont simplifiés et une économie sur les marches et sur les sculptures est réalisée. Il envisage également la suppression d’une travée de bâtiment entière, réduisant de trois le nombre de cellules ainsi que, au choix, la taille de la cour de récréation ou du bûcher. Les archives conservées au diocèse nous livrent les noms des entrepreneurs intervenant dans les travaux d’adaptation de la maison et de construction du nouveau séminaire : A. Beaudoin et Dufour s’occupent de la maçonnerie, E. Frochot de la couverture en ardoise, Laboise de la plomberie, Paul Henry (Sens) de la menuiserie, L. Héraud (Sens) de la serrurerie (poutres métalliques), l’entreprise générale d’électricité Maurice Héraud et E. Dominioni de l’installation de l’électricité. Peinture et vitrerie sont faites par l’entreprise Bret-Menin (Sens). Les mémoires des travaux nous apportent un complément d’information quant aux matériaux utilisés. Le couronnement du pignon de la façade est, les six colonnes de l’entrée principale et pour le cloître, les appuis, les contreforts, les chapiteaux, les bases des colonnes, les linteaux et les sommiers de fenêtres, utilisent une pierre semi-dure issue des carrières de Brauvilliers (55). Les marches sont en béton recouvert de ciment de Portland. Du chêne de pays, du sapin du Jura ou des Vosges doit être utilisé pour la charpente des combles et le solivage. Les poutres, les solives et les linteaux des planchers hauts sont en acier. Les plans dessinés en 1921 montrent l’organisation du bâtiment et de la partie est, aujourd’hui disparue : le niveau appelé rez-de-chaussée correspond en réalité à un étage de soubassement, en raison de la terrasse en terre-plein qui lui est contiguë. De ce fait, le niveau appelé premier étage est en réalité un rez-de-chaussée surélevé, donnant directement sur la terrasse en terre-plein. En toute logique, le deuxième étage correspond donc au premier étage. Néanmoins, dans cette présentation, nous avons choisi de conserver les dénominations données par l’architecte à ces étages, afin d’en faciliter la lecture, mais aussi parce que les aménagements ultérieurs du parc et notamment la suppression de la terrasse en terre-plein, rendent finalement exacts les termes employés par l'architecte. Le rez-de-chaussée comprend des sanitaires, une salle de récréation et la chaufferie. Le premier étage accueille une salle de classe, une bibliothèque, deux chambres et une galerie ouverte, appelée cloître, s’ouvrant sur la terrasse en terre-plein. Enfin, l’étage accueille les cellules des séminaristes.

 Des agrandissements successifs

La pose de la première pierre a lieu le 5 juin 1921 et la construction s’achève le 22 novembre 1922 avec l’inauguration du nouveau bâtiment. Toutefois, l’étage de comble n’est aménagé que plus tard, comme en témoignent les premières cartes postales de l’édifice qui montrent un toit à deux pans sans aucune lucarne. Félix Lazare Bertrand dessine les coupes et élévations de ces lucarnes en 1926. Une série de photographies prises depuis le parc révèle la réalisation de dix lucarnes sur le versant sud et neuf sur le versant nord. Dès 1934, à la demande du nouvel archevêque Maurice Feltin, l’architecte produit de nouveaux plans visant à agrandir de façon significative le bâtiment, avec deux extensions. L’une le prolonge en direction de l’ouest, d’un nombre équivalent de travées. La seconde extension vient se greffer perpendiculairement, à la jonction centrale des deux bâtiments et en se prolongeant en direction du nord. C’est dans cette aile médiane que sont alors alors aménagés un réfectoire au rez-de-chaussée et, au premier étage, la chapelle dont l’entrée s’effectue depuis le cloître. Longue de 23 mètres, elle n’occupe pas la totalité de l’aile qui se prolonge derrière le chœur par des pièces pouvant avoir l’usage de sacristie, de cellules et par un escalier desservant les étages. Sur l’ensemble de ces nouveaux bâtiments, le rythme et l’harmonie des travées sont conservés, toutefois la galerie ouverte n’est prolongée que de trois travées, dans la partie centrale. Des baies de communication avec le bâtiment initial sont créées à chaque étage. Les devis prévoient des élévations en maçonnerie de moellons durs à deux parements hourdés au mortier de chaux et ciment de Portland. La pierre de Brauvilliers est de nouveau utilisée et taillée pour les appuis, couronnements, sommiers et linteaux, la pierre de Massangis est préconisée pour les marches et seuils des baies, tandis que la pierre de Comblanchien, privilégiée pour les marches et contremarches d’accès à la chapelle, et pour le dessus des marches de l’escalier construit en ciment armé. Des matériaux similaires à la première construction sont utilisés pour la charpente, les entourages de baies, la toiture, les faîtages, les tirants… L’entreprise sénonaise Gossot est très impliquée dans ces travaux d’agrandissement. La chapelle et les nouveaux bâtiments sont bénis le 28 novembre 1935 par le cardinal Charles-Joseph-Henri Binet, archevêque de Besançon, en présence de Maurice Feltin, et assisté des évêques de Moulins, Nevers et Troyes. Avec cet agrandissement, le séminaire compte 120 chambres dont 110 cellules d’ecclésiastiques ou de séminaristes.

Le grand séminaire pendant la seconde guerre mondiale

Dès la déclaration de guerre, le grand séminaire est réquisitionné pour être occupé aux deux tiers par le service de santé français. Du 14 juin 1940 au 21 août 1944, la quasi-totalité des bâtiments, en dehors de la chapelle, est occupée par les troupes allemandes, qui versent une indemnité annuelle en contrepartie. Une partie du mobilier sera, durant cette période, disséminée ou emportée par l’occupant. Le 24 juin et le 12 août 1944, le site est fortement endommagé par deux bombardements aériens. La maison est réduite à l’état de gravats et une partie du bâtiment construit dans les années 1920 s’effondre (cinq travées sont détruites). Le reste du bâtiment subit également des dommages importants (toiture éventrée, verrières et vitreries brisées…). De nombreux impacts d’obus sont observables dans le parc, dont le mur d’enceinte qui est partiellement détruit. Le 21 août 1944, les troupes américaines entrent dans Sens, surprenant des soldats allemands qui n’ont pas tous eu le temps de se replier sur la ville de Troyes. Certains occupent encore le séminaire et en seront délogés par les Forces Françaises de l’Intérieur aidées pour cela par les tirs des blindés américains. Des notes précisent que des troupes américaines ont occupé le parc du séminaire de février à novembre 1945. L’ensemble des dégâts est documenté par une couverture photographique puis par le dossier de demande d’aide auprès du ministère de la Reconstruction et de l’Urbanisme. Les travaux de déblaiement sont autorisés le 3 janvier 1945, et dans la foulée réparations et reconstructions sont engagées sous la direction de l’architecte Félix Lazare Bertrand. Toutefois, la maison n’est pas rebâtie. Les entreprises Gossot (maçonnerie), Heraud (serrurerie), Richet (serrurerie), Laboise (plomberie, chauffage), Charpin (couverture), Thomas (charpente menuiserie), Frochot (plomberie), Dominioni (électricité), Dubost (électricité), Jouffriau (serrurerie) et Planquette (plantations et jardins) interviennent dans la propriété. Si elle conserve une harmonie avec l’ensemble, en reproduisant et prolongeant la galerie ouverte, la partie reconstruite ne l’est pas à l’identique. Elle perd un étage, se contente d’un toit à croupe, arborant quelques chatières, mais augmente sa longueur de trois travées supplémentaires. La terrasse en terre-plein est restaurée lors de ces travaux. Vers 1955, le bâtiment d’entrée comprenant le logement des gardiens est reconstruit.

Du grand séminaire au Centre d'Aides par le Travail

La diminution des vocations et, par conséquent, des effectifs du séminaire amène l’archevêque René Stourm à engager dès 1963 une réflexion sur l’avenir du grand séminaire. En mai 1968, la Société d’Economie et de Mathématiques Appliquées est chargée par la Société immobilière de l’Yonne, gestionnaire des biens du diocèse, de réaliser une étude permettant de trouver un nouvel usage rentable aux infrastructures : l’installation d’un centre de sessions pour l’accueil des entreprises est envisagé. L’étude est interrompue par les évènements de mai 1968. Le 24 avril 1974, le diocèse cède la moitié sud du parc à la Société civile immobilière du Parc Saint-Sauveur : des immeubles à logement sont créés. Puis en 1975, la partie nord comprenant le bâtiment du séminaire est également cédée pour l’installation d’un Centre d’Aide par le Travail (qui devient un Établissement de services et d’aide par le travail en 2005). Une vue panoramique réalisée dans ces années-là montre la transformation du domaine pour l’adapter à ses nouvelles activités. La terrasse en terre-plein est supprimée : les baies du rez-de-chaussée (qui était un étage de soubassement lorsque la terrasse existait encore) ont dû être percées sur la façade sud à ce moment-là. Une carte réalisée par le CAT montre l’installation de serres, d’ateliers et de différents espaces destinés aux activités et services développés par l’établissement : fabrication de palettes et de caisses en bois, conditionnement-montage, horticulture, espaces verts, ainsi qu’un centre de formation. En 2024, des travaux sont en cours afin d’adapter l’ancien séminaire aux normes d’accessibilité.

La Société anonyme immobilière de l’Yonne acquiert en juin 1920, à la demande du diocèse de Sens et de l’évêque monseigneur Chesnelong, la maison et le parc de Saint-Sauveur afin d’y transférer le grand séminaire, implanté depuis 1908 dans une modeste demeure du faubourg de Lyon. L'architecte Félix Lazare Bertrand élabore un projet associant aménagement de la maison de la seconde moitié du 19e siècle et construction d’un bâtiment destiné à la salle de cours, la bibliothèque, l’hébergement des séminaristes et aux différents lieux de vie. La construction est lancée en 1921. Livré en 1922, le bâtiment connaît plusieurs agrandissements dont l’aménagement en 1926 de cellules supplémentaires dans le comble. En 1934, l’architecte propose de le doubler en longueur en le prolongeant vers l’ouest et en lui ajoutant au nord une aile perpendiculaire, abritant la chapelle. Ces nouveaux bâtiments sont bénis le 28 novembre 1935. Successivement occupé par le service français de santé, les troupes allemandes (du 14 juin 1940 au 21 août 1944) puis les troupes américaines, le grand séminaire est touché par les bombardements alliés des 24 juin et 12 août 1944 : la demeure et une partie du bâtiment de 1921 sont détruits, le parc abîmé. Réparations et reconstructions ont lieu dès 1945 sous la direction du ministère de la Reconstruction et de l’Urbanisme. La diminution du nombre de séminaristes conduit, à la fin des années 1950, à un regroupement avec un séminaire voisin. En 1974 et 1975, le site est donc vendu en deux lots : la moitié sud est occupée par des immeubles de logements, tandis que la moitié nord se transforme en Centre d’Aide par le Travail. Les bâtiments du séminaire sont aménagés en bureaux, salles de formation, chambres et espaces de vie. Des ateliers et serres sont également créés dans le parc. En 2024, la partie ouest du bâtiment fait l'objet d'importants travaux, liés à une mise aux normes d'accessibilité, et les aménagements extérieurs sont modifiés.

  • Période(s)
    • Principale : 1er quart 20e siècle
    • Secondaire : 2e quart 20e siècle
    • Secondaire : 3e quart 20e siècle
    • Secondaire : 4e quart 20e siècle
  • Dates
    • 1921, daté par source
    • 1934, porte la date
    • 1945, daté par source
    • 1975, daté par source
  • Auteur(s)

L'établissement de service et d’aide par le travail occupe un vaste parc situé au nord-ouest de Sens le long de l'Yonne, à proximité du pont neuf. Il se constitue d'ateliers, de serres, d'espaces arborés et de plantations, d'espaces de stockage et d'un bâtiment regroupant services administratifs et chambres. Ce dernier est l'ancien séminaire étudié. De plan en T, il est constitué d'une aile s'étendant d'est en ouest, au centre de laquelle se greffe une seconde aile perpendiculaire, se prolongeant vers le nord. L'ensemble présente une élévation ordonnancée, avec des façades en maçonnerie recouvertes d'enduit et utilisant de la brique rouge pour ses chaînages, ses entourages de baies, ses colonnes, arcades et cordons. Les toits sont à longs pans, à croupe pour les extrémités est et nord, à pignon couvert pour l'extrémité sud. Quelques différences sont à noter entre les trois parties de la construction. L'aile est-ouest comporte un étage de moins que l'ensemble. Les six premières travées constituent un ensemble plus récent qui conserve cependant une homogénéité avec le reste du bâtiment, prolongeant de quatre travées la galerie ouverte de la façade sud. Le toit laisse deviner l'aménagement d'un étage de comble. L'entrée du bâtiment se fait sur la façade est. La façade sud arbore une galerie s'étendant sur quatorze travées, dont le couvrement est constitué de boiseries apparentes. Le sol est en terrazolith. Les trois dernières travées ouest de cette galerie matérialisent le centre de ce bâtiment, arborant un fronton agrémenté d'un cadran d'horloge, surmonté d'un campanile avec une flèche polygonale à égout retroussé de plan carré, posée sur un abat-son de même plan. C'est là que prend naissance l'aile sud-nord du séminaire, qui abrite la chapelle, identifiable de l'extérieur par ses grandes baies à arc en plein cintre et ses oculus, clos par des verrières en vitrail. Enfin, la partie ouest du bâtiment laisse apercevoir un sous-sol qui n'existe pas dans les autres parties. Dans l’ensemble des ailes, des baies rectangulaires verticales signalent les escaliers intérieurs.

  • Murs
    • calcaire
    • moellon
    • enduit
  • Toits
    tuile plate
  • Plans
    plan rectangulaire symétrique
  • Étages
    sous-sol, rez-de-chaussée, 2 étages carrés, étage de comble
  • Couvrements
    • lambris de couvrement
  • Élévations extérieures
    élévation ordonnancée
  • Couvertures
    • toit à longs pans pignon couvert
    • toit à longs pans croupe
    • toit en pavillon
    • flèche polygonale
  • Escaliers
    • escalier de distribution extérieur : escalier droit
    • escalier dans-oeuvre : escalier tournant à retours
  • Autres organes de circulation
    ascenseur
  • Typologies
    baie rectangulaire (2e quart 20e siècle) ; galerie (2e quart 20e siècle) ; baie en arc segmentaire (2e quart 20e siècle)
  • Techniques
    • sculpture
  • Représentations
    • fleur, fruit
    • enroulement
  • Statut de la propriété
    propriété d'une association

Documents d'archives

  • Archives historiques du Diocèse de Sens-Auxerre : Grand Séminaire de Sens [non coté].

    Archives historiques du diocèse de Sens et d'Auxerre, Auxerre : non coté

Bibliographie

  • Leviste, Jacques (chanoine). Du petit Saint-Sauveur à Sens : ancien grand séminaire (1930-1974), résidence Saint-Sauveur et CAT en 2001. Bulletin de la Société archéologique de Sens. Travaux et chroniques 2000-2001, 2004, tome IV, p.151-162.

    Archives municipales, Sens : non coté

Documents figurés

  • Sens – Le grand séminaire [ancien grand séminaire]. Carte postale, [s.n.]. 9 août 1905. 14 x 9 cm. 

    Archives historiques du diocèse de Sens et d'Auxerre, Auxerre : non coté
  • Façade au midi. Impression sur papier, aquarelle, pastel, contrecollé sur carton, par Félix Lazare Bertrand. [1921].  23 x 35 cm.

    Archives historiques du diocèse de Sens et d'Auxerre, Auxerre : non coté
  • Façade au levant. Impression sur papier, aquarelle, pastel, contrecollé sur carton, par Félix Lazare Bertrand. [1921].  25 x 35 cm.

    Archives historiques du diocèse de Sens et d'Auxerre, Auxerre : non coté
  • Façade au nord. Impression sur papier, aquarelle, pastel, contrecollé sur carton, par Félix Lazare Bertrand. [1921].  23 x 35 cm.

    Archives historiques du diocèse de Sens et d'Auxerre, Auxerre : non coté
  • Archevêché de Sens. Monseigneur Feltin. Les nouveaux bâtiments du grand séminaire. Premier étage [plan]. Impression sur papier, par Félix Lazare Bertrand. Mars 1934. 1/50.

    Archives municipales, Sens : 432/KM59632
  • Archevêché de Sens. Monseigneur Feltin. Les nouveaux bâtiments du grand séminaire [coupe aile nord-sud]. Impression sur papier, par Félix Lazare Bertrand. Mars 1934. 1/50.

    Archives municipales, Sens : 432/KM59632
  • [Maison de Saint-Sauveur et sa terrasse avant la construction du grand séminaire]. Photographie, [s.n.]. 1920 (date manuscrite au verso).

    Archives historiques du diocèse de Sens et d'Auxerre, Auxerre : non coté
  • Sens – Grand Séminaire St-Sauveur – Le nouveau bâtiment. Carte postale, héliogravure, [s.n.]. [1921]. 14 x 9 cm. 

    Archives historiques du diocèse de Sens et d'Auxerre, Auxerre : non coté
  • Sens – Grand Séminaire St-Sauveur. Le Cloître. Carte postale, [s.n.]. [Entre 1921 et 1934]. 14 x 9 cm.

    Archives historiques du diocèse de Sens et d'Auxerre, Auxerre : non coté
  • Sens – Grand Séminaire St-Sauveur. Entrée principale. Carte postale, par R. Appfel, éditeur à Sens.  [Entre 1921 et 1944]. 14 x 9 cm.

    Archives historiques du diocèse de Sens et d'Auxerre, Auxerre : non coté
  • Sens – Grand Séminaire – Sous le Cloître. Carte postale, héliogravure par A. Mondou, éditeur à Sens. [Entre 1921 et 1934]. 14 x 9 cm. 

    Archives historiques du diocèse de Sens et d'Auxerre, Auxerre : non coté
  • Sens – Grand Séminaire – Sur la terrasse. Carte postale, héliogravure par A. Mondou, éditeur à Sens, [Entre 1921 et 1934]. 14 x 9 cm. 

    Archives historiques du diocèse de Sens et d'Auxerre, Auxerre : non coté
  • Sens – Le grand séminaire – côté nord-ouest. Carte postale, héliogravure, [s.n.]. [Entre 1921 et 1934]. 14 x 9 cm.

    Archives historiques du diocèse de Sens et d'Auxerre, Auxerre : non coté
  • [Le grand séminaire Saint-Sauveur vu depuis le parc : la maison Saint-Sauveur, le bâtiment construit en 1921 et la terrasse]. Photographie, [s.n.]. 1934 [date manuscrite]. 18 x 12,5 cm.

    Archives historiques du diocèse de Sens et d'Auxerre, Auxerre : non coté
  • Sens – Grand Séminaire St-Sauveur La chapelle  [ancienne chapelle du grand séminaire Saint-Sauveur]. Carte postale, [s.n.].  [Entre 1921 et 1934]. 14 x 9 cm.

    Archives historiques du diocèse de Sens et d'Auxerre, Auxerre : non coté
  • [Le grand séminaire Saint-Sauveur : le bâtiment construit en 1921. Début des travaux d’agrandissement]. Photographie, [s.n.]. [1934]. 18 x 12,5 cm.

    Archives historiques du diocèse de Sens et d'Auxerre, Auxerre : non coté
  • Sens – Grand Séminaire – Façade principale. Carte postale, héliogravure, [s.n.]. [Entre 1934 et 1944]. 14 x 9 cm. 

    Archives historiques du diocèse de Sens et d'Auxerre, Auxerre : non coté
  • Sens – Grand Séminaire – La Chapelle [vue intérieure en direction du chœur – de trois-quarts]. Carte postale, héliogravure, [s.n]. [Entre 1934 et 1944]. 14 x 9 cm.  

    Archives historiques du diocèse de Sens et d'Auxerre, Auxerre : non coté
  • [Vue de la chapelle du grand séminaire Saint-Sauveur en direction de la tribune, de trois-quarts]. Négatif sur plaque de verre, [s.n.]. [Entre 1934 et 1944].

    Archives historiques du diocèse de Sens et d'Auxerre, Auxerre : non coté
  • Sens – Le grand séminaire – côté sud. [détail de la façade vu depuis le parc]. Carte postale, héliogravure, [s.n.]. [Entre 1934 et 1944]. 14 x 9 cm.

    Archives historiques du diocèse de Sens et d'Auxerre, Auxerre : non coté
  • [Grand séminaire de Saint-Sauveur : le chœur de la chapelle]. Photographie, [s.n.]. [Entre 1934 et 1944]. 23 x 17,5 cm.

    Archives historiques du diocèse de Sens et d'Auxerre, Auxerre : non coté
  • [Le grand séminaire de Sens, partiellement détruit par les bombardements]. Photographie, [s.n.]. [ Vers 1944]. Noir et blanc. 9 x 14 cm.

    Archives historiques du diocèse de Sens et d'Auxerre, Auxerre : non coté
  • [Vue panoramique du grand séminaire de Sens pendant les travaux de transformation en CAT]. Photographies assemblées et contrecollées sur panneau en bois, [s.n.]. [1975].

    ESAT, Sens : non coté
  • Plan d'aménagement espaces extérieurs [du Centre d'Aide par le Travail de Sens]. Impression sur papier mise en couleur et contrecollée sur un panneau en bois, par le CAT de Sens. [1975].

    ESAT, Sens : non coté
Date(s) d'enquête : 2023; Date(s) de rédaction : 2023
(c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
Campion Jo-Ann
Campion Jo-Ann

Jo-Ann Campion, chargée de recherche. Région Bourgogne-Franche-Comté, service Inventaire et Patrimoine. 2020-

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