L'église a accueilli des inhumations jusqu'à la fin du 17e siècle ou au début du 18e. Certaines des dalles funéraires ont été conservées, datant du milieu du 14e siècle au 17e siècle. Elles ont été relevées et placées à l'entrée de l'édifice. Le premier relevage concerne celle représentant un couple identifié comme Philippe Machefoing et sa femme, pour laquelle l'architecte en chef des Monuments historiques Charles Suisse dresse un devis le 6 mai 1904 et qui, en 1907, est signalée fixée au mur sud de la nef. Les autres relevages sont effectués lors de travaux en 1986 : l'architecte en chef Michel Jantzen signale l'existence dans les chapelles nord de "dalles funéraires d'une qualité tout à fait exceptionnelle", dont il préconise le transfert vers l'entrée, contre les murs. Un plan de repérage est réalisé et chaque dalle est gravée sur la tranche d'un nombre, reporté au sol à son emplacement d'origine sur le nouveau dallage. Douze dalles sont ainsi conservées, dont huit protégées au titre des monuments historiques soit au titre immeuble lors du classement de l'église par la liste de 1862 (dalles de Pierre Clinart, de deux époux, de Roger Huguenin et sa femme Jehanne, d'un ecclésiastique, d'une inconnue), soit au titre objet le 8 octobre 1931 (dalles de Philippe Machefoing et Simone de Tart, de Philippe Douhet et son épouse Jacote, de Jean Liégeart, sa femme Isabelle, leur fils Thiébault et sa femme Hugote).