Sancey, Yves. Photographe. Direction régionale des Affaires culturelles de Franche-Comté puis Région Bourgogne-Franche-Comté, Service Inventaire et Patrimoine. 1973-2013.
- patrimoine industriel, patrimoine industriel du Doubs
- (c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
Dossier non géolocalisé
-
Aire d'étude et canton
Pays horloger (le) - Saint-Hippolyte
-
Hydrographies
le Doubs
-
Commune
Soulce-Cernay
-
Lieu-dit
Gros Bois
-
Cadastre
2012
A
126, 145, 252, 262
;
2012
B
18, 225, 229, 232
-
Dénominationsbarrage, centrale hydroélectrique
-
Appellationsbarrage de Grosbois
-
Dossier dont ce dossier est partie constituante
-
Parties constituantes non étudiéesbassin de retenue, vanne, salle des machines, passerelle, transformateur, logement d'ouvriers
La Société anonyme des Forges et Visseries de Saint-Hippolyte est propriétaire à la fin du 19e siècle d'une usine métallurgique au Gouffre de Lods (commune de Liebvillers) et de sites hydrauliques sur cette commune et sur celle de Saint-Hippolyte. Pour assurer l’alimentation électrique de son usine, elle imagine successivement d'en rehausser le barrage puis de transformer en centrales hydroélectriques les sites qu'elle possède à proximité. La promulgation de la loi du 16 octobre 1919, réglementant l’utilisation de l’énergie hydraulique, et les études commandées par son directeur René Colle à l’ingénieur Émile Andrié conduisent à un projet plus ambitieux, objet de la demande de concession d'eau du 20 novembre 1920 : la création d'un barrage à Grosbois (Soulce-Cernay) alimentant, par une galerie souterraine de 6 km, une centrale à construire au Moulin Artus (Liebvillers). Situé entre les usines de Montjoie-le-Château en amont et du Moulin Neuf à Saint-Hippolyte en aval, le barrage doit relever le plan d’eau de 11 m, constituant une réserve utile de 1 475 000 m3 d’eau environ, longue de 5 605 m. Établi sur un banc de marne dure, il comprendra une partie inférieure fixe, "composée d'un bloc trapézoïdal de maçonnerie de 7,80 m de hauteur au maximum", et une partie supérieure mobile à quatre ouvertures, les trois premières fermées chacune par une vanne Stoney de 12 m de largeur sur 3,70 m de hauteur, la quatrième (dite "passe à gravier") par une vanne Stoney de 5 m de large sur 6,50 m de haut. Quatre orifices de prise d'eau seront aménagés rive droite. Au pied du barrage sera édifiée une usine de hautes eaux, disposant d’une chute nette variant de 7,40 à 10,65 m suivant la hauteur des crues. Équipée d'une turbine horizontale avec alternateur pour 1 660 ch (1 125 KW), elle produira 2 millions de KWh.
Le projet est déclaré d’utilité publique et la concession accordée par le décret présidentiel du 5 avril 1923. Le 3 octobre suivant, un arrêté préfectoral autorise la société à établir une ligne haute tension (5 000 V) entre sa centrale du Moulin Neuf et le site de Grosbois afin d’alimenter les chantiers de perforation de la galerie souterraine. Approuvés le 20 août 1924 par l’ingénieur en chef du Service des Forces hydrauliques du Doubs, les travaux peuvent commencer. Dans la mesure où l'ouvrage peut constituer un point de franchissement de la rivière, Ils intègrent dès le 11 septembre 1924 une contrainte imposée par l'autorité militaire : l'aménagement de sept chambres de mines dans le barrage et de trois autres à l'entrée du canal souterrain. Ils sont menés si activement que le récolement peut avoir lieu dès le 30 juin 1927. Le service des Ponts et Chaussées note les modifications apportées au projet initial (et justifiées dans une nouvelle version du dossier datée d'octobre 1923), notamment le remplacement d'une vanne Stoney par un déversoir. La partie supérieure se compose donc d'un déversoir fixe de 25 m puis, pour la partie mobile, de deux vannes Stoney de 7,50 de large sur 6,50 m de haut et d'une troisième vanne Stoney pour la passe à graviers (8,50 x 5 m). Par ailleurs, la centrale de hautes eaux est dorénavant accolée au barrage. Elle comporte un groupe de hautes eaux (débit 15 m3/s) de la Société alsacienne de Constructions mécaniques (Belfort), à axe horizontal, associant une turbine Francis double à un alternateur à ventilation forcée et excitatrice en bout d'arbre, d'une puissance de 1,1 MW.
L'établissement est exploité par la Société anonyme des Forces motrices, Forges et Visseries de Saint-Hippolyte, devenue en 1930 Société anonyme des Forces motrices de Saint-Hippolyte, puis passe dans les mains d’Électricité de France lors de sa création, le 8 avril 1946. Partiellement détruit le 18 juin 1940, le barrage est reconstruit sur les mêmes fondations. En 1981 est installé un groupe de restitution à axe vertical, composé d'une turbine de type Francis de la société Camille Dumont et Cie (usine du Pont, Saint-Uze, Drôme) et d'un alternateur Jeumont-Schneider de 20 kW. En 2012, la société B.P. Études, de Mourenx (Pyrénées-Atlantiques), représentée par les ingénieurs Pierre Bonvallet et Vincent Dupuis, construit un ascenseur à poissons et met en place un nouveau groupe de restitution. Celui-ci a été fabriqué en 2010 par la société finlandaise Waterpumps WP Oy, fondée en 1972 et établie à Helsinki (Karhusuontie 39). A axe horizontal, il associe une turbine bulbe à une génératrice asynchrone d'une puissance de 60 kW. Sur le site existent donc actuellement trois groupes, celui de 1927 (modifié en 2007 pour être utilisé par paliers, suivant le débit disponible), celui de 1981 (en panne) et celui de 2012.
-
Période(s)
- Principale : 1er quart 20e siècle , daté par source
- Principale : 2e quart 20e siècle , daté par tradition orale
- Secondaire : 1er quart 21e siècle , daté par source
-
Dates
- 1924, daté par source
-
Auteur(s)
-
Auteur :
Société des Forces motrices du Doubsauteur commanditaire attribution par sourceSociété des Forces motrices du Doubs
Société des Forces motrices du Doubs. La SFMD est créée en 1901 pour transformer en centrale hydroélectrique l'ancienne forge de Bellefontaine (Suisse) ; ses actionnaires sont les communes de Porrentruy et Fontenais, Léon Guillemeteau (propriétaire du site), l'entreprise Froté et Westermann (chargée des travaux) et divers particuliers.
(Source : https://diju.ch/f/notices/detail/7074)
-
Auteur :
Société anonyme des Forges et Visseries de Saint-Hippolyte (1930 - )auteur commanditaire attribution par sourceSociété anonyme des Forges et Visseries de Saint-Hippolyte
Société anonyme des Forges et Visseries de Saint-Hippolyte. Créée en 1930 lors de la prise d'indépendance de la branche Électricité (qui est séparée de celle intitulée Forges et visserie) au sein de la société des Forges de Saint-Hippolyte (fondée en 1870).
-
Auteur :
Andrié Émileingénieur civil attribution par sourceAndrié Émile
Andrié, Emile (1884-1941). Ingénieur civil établi au 1 rue Dugas-Montbel à Lyon, en 1919-1920. Réalise l'étude préparatoire pour la centrale hydroélectrique de Liebvillers.
(Source : https://gw.geneanet.org/perheg?n=andrie&oc=&p=emile+henri et https://gw.geneanet.org/fkiki?n=andrie&oc=&p=emile+henri)
-
Auteur :
B.P. Etudesingénieur civil attribution par sourceB.P. Etudes
B.P. Etudes. Bureau d'études en hydraulique (centrales hydroélectriques, barrages, etc.), constructions mécaniques et électromécaniques, représenté par deux ingénieurs : Pierre Bonvallet et Vincent Dupuis. Adresse en 2013 : Zone industrielle - Pôle 4, 64150 Mourenx.
-
Auteur :
Établi sur le Doubs, le barrage poids de Grosbois, en béton, crée une retenue d'eau d'environ 1,5 million de m3. Il assure la dérivation de 35 m3/s en moyenne mais doit en permanence réserver un débit de 3,5 m3/s. Long de 93 m, il se compose, de la rive gauche vers la rive droite, de quatre passes destinées à trois vannes évacuateurs de crue et à une vanne de fond et une vanne clapet, de sa centrale de hautes eaux et de la prise d'eau pour celle de Liebvillers. Les trois vannes secteur, à commande électrique, ont 13,50 m de large sur 3,50 de levée, permettant un transit total de 585 m³/s ; placées dans une même passe, la vanne de fond a 5 m de large pour 3 de levée, la vanne clapet (vanne de surface) 5 m pour 1,50 m. Le transit total, incluant le débit turbiné, est de 764 m3/s. La prise d'eau est protégée par des grilles (nettoyées par un dégrilleur), la galerie d'amenée par des vannes. L'ascenseur à poissons métallique est situé juste en aval de la centrale. La centrale, en béton armé, est bâtie à l'extrémité du pied de barrage. Elle compte un étage de soubassement (salle des machines) et un rez-de-chaussée, accessible depuis le barrage et coiffé d'un toit en zinc en berceau plein cintre. Disposant d'une hauteur de chute de 10,80 m, elle a une puissance de 1,1 MW et un productible annuel de 2,8 GWh. Elle est équipée de trois groupes : celui de hautes eaux, de la Société alsacienne de Constructions mécaniques, installé dans la salle des machines ; l'ancien groupe de restitution, placé à l'extérieur à la jonction du barrage et de la centrale ; le nouveau groupe de restitution, au pied de l'ascenseur à poissons. Le logement du garde, aux murs en moellons calcaires et enduit partiel, s'élève sur deux étages carrés, avec étage en surcroît. Il est coiffé d'un toit à longs pans brisés et égouts retroussés, couvert de tuiles mécaniques. L'accès au premier étage s'effectue par un escalier extérieur droit en maçonnerie.
-
Murs
- béton béton armé enduit
- calcaire moellon enduit partiel
-
Toitszinc en couverture, tuile mécanique
-
Étagesétage de soubassement, en rez-de-chaussée surélevé
-
Couvrements
-
Couvertures
- toit bombé pignon couvert
- toit à longs pans brisés pignon couvert
-
Escaliers
- escalier de distribution extérieur : escalier droit en maçonnerie
-
Autres organes de circulationascenseur
-
Énergies
- turbine hydraulique
-
Statut de la propriétépropriété publique
-
Référence Patriarcheprésent sur POP
- (c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
- SCAN 25 (c) IGN - 2008, Licence n° 2008CISE29-68
- (c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
- (c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
- (c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
- (c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
- (c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
- (c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
- (c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
- (c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
- (c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
- (c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
- (c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
- (c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
- (c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
- (c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
- (c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
- (c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
- (c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
- (c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
- (c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
- (c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
- (c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
- (c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
- (c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
- (c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
- (c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
- (c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
- (c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
- (c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
- (c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
- (c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
- (c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
- (c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
- (c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
- (c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
- (c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
- (c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
- (c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
- (c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
- (c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
- (c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
- (c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
- (c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
-
Bailly, D. Agent EDF. Liebvillers.
-
Garigues Gérard. Chef du Groupement d'Usines Doubs. Liebvillers.
Documents d'archives
-
Archives départementales du Doubs : Sp 819 Fonds des Ponts et Chaussées. Usines des Forges et Visseries de Saint-Hippolyte (1922-1924) : ligne électrique entre la centrale du Moulin Neuf et l'usine projetée à Grosbois.
-
Archives départementales du Doubs : Sp 833 Fonds des Ponts et Chaussées. Travaux d'aménagements en rivière. Aménagement du Doubs entre Vaufrey et Liebvillers (1922-1923).
Dossiers de demande et d'enquête. -
Archives départementales du Doubs : Sp 1287 Fonds des Ponts et Chaussées. Travaux d'aménagements en rivière. Aménagement du Doubs entre Vaufrey et Liebvillers (1921-1928).
Documents figurés
-
Forces motrices du Doubs. Usine Hydro-Électrique de Liebvillers. Société anonyme des Forges et Visseries de Saint-Hippolyte. Saint-Hippolyte (Doubs). Aménagement du Doubs entre Vaufrey et Liebvillers. Carte au 1:50 000, dessin imprimé (plume), par Émile Andrié, s.d. [1920], 53,5 x 68 cm. Fonds de plan : carte d’état-major Montbéliard S.E. (révisée en 1913).
-
Forces motrices du Doubs. Usine Hydro-Électrique de Liebvillers. Plan sommaire des lieux et des ouvrages projetés, dessin imprimé (lavis), par Émile Andrié, 1er novembre 1920, 1/5 000, 42,5 x 252,5 cm.
-
Forces motrices du Doubs. Usine Hydro-Électrique de Liebvillers. Prise d’eau. Plan détaillé, dessin imprimé (lavis), par Émile Andrié, 25 avril 1921, 1/200, 83,5 x 112,5 cm.
-
Forces motrices du Doubs. Usine Hydro-Électrique de Liebvillers. Prise d’eau. Barrage. Coupe en long, dessin imprimé, par Émile Andrié, 25 avril 1921, 1/200, 31 x 106 cm.
-
Forces motrices du Doubs. Usine Hydro-Électrique de Liebvillers. Prise d’eau. Vue de face des ouvertures d’introduction, dessin imprimé (lavis), par Émile Andrié, 25 avril 1921, 1/200, 31 x 64 cm.
-
Forces motrices du Doubs. Usine Hydro-Électrique de Liebvillers. Prise d’eau. Barrage. Coupes diverses [sur le barrage], dessin imprimé (lavis), par Émile Andrié, 25 avril 1921, 1/200, 31 x 126,5 cm.
-
Forces motrices du Doubs. Usine Hydro-Électrique de Liebvillers. Prise d’eau. Barrage. Coupes diverses [sur la prise d'eau], dessin imprimé (lavis), par Émile Andrié, 25 avril 1921, 1/200, 31 x 148 cm.
-
Forces motrices du Doubs. Usine de hautes eaux (Grobois). Coupe en long, dessin imprimé (lavis), par Émile Andrié, 25 avril 1921, 1/200, 31 x 105,5 cm.
-
Forces motrices du Doubs. Usine hydro-électrique de Liebvillers [...] Ouvrages amont. Plan d’ensemble, tirage (lavis), s.n., octobre 1923, 1/100, 65 x 78,5 cm.
-
Forces motrices du Doubs. Usine hydro-électrique de Liebvillers [...] Ouvrages amont. Coupes en travers du barrage (1-1 et 2-2), tirage (lavis), s.n., octobre 1923, 1/100, 31 x 92,5 cm.
-
Forces motrices du Doubs. Usine hydro-électrique de Liebvillers [...] Ouvrages amont. Coupes en travers du barrage (3-3), tirage (lavis), s.n., octobre 1923, 1/100, 31 x 103,5 cm.
-
Forces motrices du Doubs. Usine hydro-électrique de Liebvillers [...] Ouvrages amont. Coupes. Amont du barrage et par la chambre de prise d’eau (4-4), tirage (lavis), s.n., octobre 1923, 1/100, 31 x 159 cm.
-
Forces motrices du Doubs. Usine hydro-électrique de Liebvillers [...] Ouvrages amont. Coupes en travers du barrage (5-5), tirage (lavis), s.n., octobre 1923, 1/100, 31 x 96,5 cm.
-
Aménagement du Doubs entre Vaufrey et Liebvillers. Dispositifs de mines de Soulce Cernay au lieu dit Gros Bois [ensemble de 7 plans], tirage (lavis), s.n., 1924.
- Croquis n° 1. Ouvrage amont. Plan, 1/200, 46,5 x 71 cm.
- Croquis n° 2. Coupe suivant a.b, 1/100, 32,5 x 42,5 cm.
- Croquis n° 3. Coupe suivant c.d, 1/100, 32,5 x 42,5 cm.
- Croquis n° 4. Coupe suivant e.f par l’axe des chambres de mines, 1/100, 42,5 x 64 cm.
- Croquis n° 5. Prise d’eau et canal souterrain [plan et coupes], 1/100 et 1/50, 32,5 x 64 cm.
- Croquis n° 6. Détails des chambres de mines du barrage [plan et coupe], 1/20, 32,5 x 42,5 cm.
- Croquis n° 7. Détails des chambres de mines du canal souterrain [plan et coupe], 1/20, 32,5 x 43 cm.
Annexes
-
Barrage de Grosbois. Fiche technique récapitulative en 2013
-
Relevé des plaques et inscriptions du groupe de hautes eaux
Poupard, Laurent. Chercheur au service Inventaire et Patrimoine de la Région Bourgogne-Franche-Comté, 1987-
Poupard, Laurent. Chercheur au service Inventaire et Patrimoine de la Région Bourgogne-Franche-Comté, 1987-