Sancey, Yves. Photographe. Direction régionale des Affaires culturelles de Franche-Comté puis Région Bourgogne-Franche-Comté, Service Inventaire et Patrimoine. 1973-2013.
- patrimoine industriel, patrimoine industriel du Doubs
- (c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
Dossier non géolocalisé
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Aire d'étude et canton
Pays horloger (le) - Russey (Le)
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Commune
Les Fontenelles
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Adresse
12 rue Principale
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Cadastre
2018
AA
40-42
;
1831
B
44-46
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Dénominationsferme, usine d'horlogerie, usine de décolletage
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Précision dénominationusine de fournitures pour l’horlogerie, usine d'assortiments à cylindre
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Destinationsusine Cheval Frères
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Parties constituantes non étudiéesatelier de fabrication, entrepôt industriel, magasin industriel, bureau, logement, garage, chenil, citerne, cour, parc
La ferme est bâtie en 1816 (dates et initiales portées sur un linteau de porte) pour Théophile Mauvais (1766-1840). A son décès, elle passe à son fils Auguste (1815-1871), qui la cède vers 1848 à son beau-frère Xavier Cheval (1807-1874). Ce dernier, fils d’un paysan du Barboux (Jean-Ignace Cheval), y ouvre dès 1848 un atelier de fabrication d’écorces de cylindre dans le comble (donnant au sud-est). Le fils de Xavier, Jules (1835-1894), dépose le 30 mars 1869 un brevet (n° 84 912), complété par un additif le 10 février 1870, pour une machine à ébaucher les dents au moyen des scies circulaires. Dans sa demande, il expose que dès 1861, il "a inventé une machine à ébaucher et incliner les roues de cylindre - roues d’échappement de la montre Lépine, désignée sous le nom d’ébaucheur à scie circulaire". A la suite d’améliorations, cette machine permet de produire 800 roues de cylindre par jour (66 douzaines) au lieu de 150 (8 à 12 douzaines) au maximum par personne et par journée de 12 heures pour la fabrication manuelle. La même année 1869, un autre horloger des Fontenelles Léopold Glasson invente une machine réalisant les mêmes opérations, machine d'une conception différente qui sera largement diffusée après 1880. La production est élargie vers 1890 aux vis à bois, destinées notamment aux carrosseries de voiture (Peugeot sera un gros client). A cette époque, assurée par une soixantaine de personnes dont un certain nombre à domicile, elle consiste en rouages et pignons, axes, assortiments (échappements) à cylindre et vis. Les deux fils de Jules, Marc (1864-1927) et Anatole (1869-1927), prennent sa suite et fondent en 1910 la société Cheval Frères. Anatole s’en retire en 1913 et part pour Villars-sous-Dampjoux puis Montbéliard (où il sera négociant en faïence au 15 rue des Febvres).
Marc est rejoint après la première guerre mondiale par ses deux fils : Hubert (1900-1969) et Gabriel (1902-1957). L’électricité arrive au village en 1919 et en 1920, un atelier est construit (ou aménagé) à l’extrémité de la ferme côté route : il accueille une dizaine d’ouvriers, les autres travaillant à domicile. En 1924 débute la fabrication des tiges de remontoirs de montre, à l'aide de décolleteuses. Vers 1926, pour pallier le manque de main-d’œuvre, Hubert ouvre un autre atelier d’assortiments à cylindre à Maîche, dans une maison que la famille vient d’acheter au 19 rue du Mont Miroir. En 1929-1930 (vers 1932 d’après le cadastre), Hubert et Gabriel construisent une usine en retour d’équerre contre l’atelier de 1920. Ils fabriquent, sous la marque Cheval Frères (initiales C et F avec un cheval), des assortiments à cylindre destinés au rhabillage (réparation), des roues de cylindre et des roues d'ancre, des axes de balanciers et des plateaux, des tiges de remontoirs pour montre (et des couronnes de remontoir à partir de 1935), et beaucoup de vis à bois (pour les carrosseries automobiles puis à partir des années 1930 pour la fixation des carres sous les skis, etc.). A la veille de la deuxième guerre mondiale, l’entreprise exporte 80 % de sa production.
En 1939, la société Cheval Frères achète, au 4 rue de la Gare à Maîche, l’ancienne usine d’horlogerie Mauvais et Rondot (transformée en colonie de vacances) pour y installer une nouvelle unité de décolletage. Toutefois, l'échappement à cylindre déclinant face à celui à ancre, elle choisit de la convertir au travail du rubis pour la montre, fortement incitée en cela par le Comontre (Comité de la Montre), futur Cetehor, qui souhaite s’affranchir de la dépendance française vis-à-vis de la Suisse. L’entreprise met au point ses propres machines et les premières pierres sortent en 1943 de l’usine maîchoise, également dotée d’un atelier de décolletage produisant les couronnes de montre. A l'issue de la deuxième guerre, la société Cheval emploie plus de 100 personnes sur ses deux sites des Fontenelles (19 ouvriers en 1947) et de Maîche, et s'est spécialisée dans les rubis pour l'horlogerie, les couronnes et les vis. Toutefois, manquant de personnel administratif et d'encadrement, elle décide de s’implanter à Besançon. Associée avec d’autres fabricants de pièces pour l’horlogerie - les sociétés bisontines Lip (et sa filiale le Pignon français), Augé et Epiard, et la société Clérian du Russey -, elle crée en 1946 la Sidhor (Société d’Investissement pour le Développement de l’Horlogerie), qui fait construire en 1947-1948 une usine au 23 rue de la Mouillère afin d’héberger les associés (lesquels conservent toutefois chacun son indépendance). A partir de 1949, Cheval en occupe les troisième et quatrième étages.
En 1952, la Sarl des Ets Cheval Frères (au capital de 21 millions de francs) se dit "la plus importante maison française spécialisée dans la fabrication des fournitures d'horlogerie pour la réparation". Et d'énumérer : axes, cylindres, tampons, bouchons, couronnes, vis, roues, balanciers réglés, tiges de remontoirs, pierres en rubis. Elle acquiert en 1955 la société des Pierres françaises d'Horlogerie (rue des Jardins) à Besançon, quitte Maîche l'année suivante mais maintient l’unité des Fontenelles : une vingtaine de personnes y fabrique des couronnes de remontoir (dans l'usine) et s’occupe de polissage (dans l'atelier de 1920, prolongé par le bureau et l'entrepôt de laiton). Les fils d’Hubert, Guy (1927-2015) et Christian (né en 1933) reprennent l’affaire en 1957, rejoints par la suite par les fils de Guy, Patrick (né en 1950) et Didier (né en 1954). Dans les années 1970, Christian s'occupe du département Couronnes (production annuelle de plus de 25 millions de couronnes de remontoir et poussoirs pour montres à quartz), Didier du département Pierres (6,6 millions de pierres pour l'horlogerie et l'industrie par mois) et Guy de la fabrication des lasers (permettant soudage des métaux, découpe des matériaux durs et gravage) qui, lancée en 1972, donnera naissance en 1980 au département Laser et sous-traitance laser et en 2000 à la société Laser Cheval. L'entreprise ouvre une nouvelle usine à Ecole-Valentin (en deux tranches : 1972 et 1974), quitte la Sidhor en 1975 puis crée en 1981 le département Usinage des Matériaux durs (la famille Cheval cèdera en février 1989 la majorité de ses parts au groupe financier PGD - Participation-Gestion-Développement - puis ce sera le holding IMI - Instruments et Mesures industrielles - qui en prendra le contrôle en 1994). L’atelier des Fontenelles ferme en 1983 (il emploie encore six ou sept personnes). Il accueille un temps une petite entreprise de traitement de surface puis est désaffecté.
La ferme est bâtie en 1816 (dates et initiales portées sur un linteau de porte) pour Théophile Mauvais (1766-1840). Elle passe vers 1848 à Xavier Cheval (1807-1874), fils d’un paysan du Barboux, qui ouvre dans le comble un atelier de fabrication d’écorces de cylindre. Le fils de Xavier, Jules (1835-1894), dépose le 30 mars 1869 un brevet pour une machine à ébaucher les dents au moyen des scies circulaires, qui permet de réaliser 800 roues de cylindre par jour au lieu de 150 au maximum par personne et par journée de 12 heures pour la fabrication manuelle. Elargie vers 1890 aux vis à bois et assurée par une soixantaine de personnes dont un certain nombre à domicile, la production consiste en rouages et pignons, axes et assortiments (échappements) à cylindre. La société Cheval Frères est fondée en 1910 par les deux fils de Jules, Anatole (1869-1927) et Marc (1864-1927) ; bientôt seul, ce dernier est rejoint après la première guerre mondiale par ses deux fils : Hubert (1900-1969) et Gabriel (1902-1957). L’électricité arrive au village en 1919 et en 1920, un atelier est construit (ou aménagé) à l’extrémité de la ferme côté route. Vers 1926, pour pallier le manque de main-d’œuvre, Hubert ouvre un autre atelier d’assortiments à cylindre à Maîche (au 19 rue du Mont Miroir). En 1929-1930 (vers 1932 d’après le cadastre), Hubert et Gabriel construisent une usine en retour d’équerre contre l’atelier de 1920. Ils fabriquent, sous la marque Cheval Frères (initiales C et F avec un cheval), des assortiments à cylindre destinés au rhabillage (réparation), des roues de cylindre et des roues d'ancre, des axes de balanciers et des plateaux, des tiges de remontoirs pour montre (à partir de 1924), des couronnes de remontoir (à partir de 1935) et beaucoup de vis à bois.
En 1939, la société Cheval Frères achète, au 4 rue de la Gare à Maîche, l’ancienne usine d’horlogerie Mauvais et Rondot, qu'elle convertit au travail du rubis pour la montre : les premières pierres en sortent en 1943, ainsi que des couronnes de montre. A l'issue de la deuxième guerre, la société Cheval emploie plus de 100 personnes sur ses deux sites des Fontenelles (19 ouvriers en 1947) et de Maîche, et s'est spécialisée dans les rubis pour l'horlogerie, les couronnes et les vis. Toutefois, manquant de personnel administratif et d'encadrement, elle décide de s’implanter à Besançon. Associée avec d’autres fabricants de pièces pour l’horlogerie - les sociétés bisontines Lip (et sa filiale le Pignon français), Augé et Epiard, et la société Clérian du Russey -, elle crée en 1946 la Sidhor (Société d’Investissement pour le Développement de l’Horlogerie), qui fait construire en 1947-1948 une usine au 23 rue de la Mouillère afin d’héberger les associés. Elle acquiert en outre en 1955 la société des Pierres françaises d'Horlogerie (rue des Jardins) à Besançon et quitte Maîche. Aux Fontenelles, une vingtaine de personnes fabrique des couronnes de remontoir (dans l'usine) et s’occupe de polissage (dans l'atelier de 1920, prolongé par le bureau et l'entrepôt de laiton). Les fils d’Hubert, Guy (1927-2015) et Christian (né en 1933) reprennent l’affaire en 1957, rejoints par la suite par les fils de Guy, Patrick (né en 1950) et Didier (né en 1954). Dans les années 1970, Christian s'occupe du département Couronnes, Didier du département Pierres et Guy de la fabrication des lasers (lancée en 1972, cette dernière donnera naissance à la société Laser Cheval en 2000). L’atelier des Fontenelles ferme en 1983 (il emploie encore six ou sept personnes). Il accueille un temps une petite entreprise de traitement de surface puis est désaffecté.
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Période(s)
- Principale : 1er quart 19e siècle , porte la date
- Secondaire : 1er quart 20e siècle , daté par travaux historiques
- Principale : 2e quart 20e siècle , daté par travaux historiques
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Dates
- 1816, porte la date
- 1929, daté par travaux historiques
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Auteur(s)
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Auteur :
maître d'oeuvre inconnumaître d'oeuvre inconnuCliquez pour effectuer une recherche sur cette personne.
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Auteur :
L'ancienne ferme et l'usine ont des murs en moellons calcaires enduits et sont coiffées de toits à longs pans, croupes (pignon couvert à l'est pour la première) et tuiles mécaniques. La première compte un étage de soubassement, un rez-de-chaussée surélevé, un étage carré et un étage en surcroît, desservis par un escalier dans-oeuvre tournant à retours, en bois. Un corps sur deux niveaux, accueillant un salon, a été ajouté au 20e siècle dans l'angle sud-est. Si l'atelier d'origine est relativement discret (une large fenêtre horlogère dans le pignon oriental), celui de 1920 (à l'étage) se signale par ses fenêtres multiples au sud et surtout à l'ouest, sur la rue. Dotée d'un étage carré, l'usine est éclairée à l'aide de nombreuses fenêtres d'atelier. Le site est équipé d'une citerne enterrée au sud et vraisemblablement d'une deuxième au nord, près du chenil, où se voit une pompe à eau Renaud.
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Murs
- calcaire moellon enduit
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Toitstuile mécanique
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Étagesétage de soubassement, rez-de-chaussée surélevé, 1 étage carré, étage en surcroît
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Élévations extérieuresélévation à travées
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Couvertures
- toit à longs pans croupe
- noue
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Escaliers
- escalier dans-oeuvre : escalier tournant à retours avec jour en charpente
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Énergies
- énergie électrique achetée
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Typologiesbaie horlogère ; baie multiple ; baie d'atelier
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État de conservationétablissement industriel désaffecté
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Statut de la propriétépropriété privée
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Référence Patriarcheprésent sur POP
- (c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
- (c) Ministère des Finances, Service du cadastre
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Cheval, Didier. Fils de Guy Cheval. Les Fontenelles.
2 août 2018 -
Cheval, Patrick. Fils de Guy Cheval. Les Fontenelles.
2 août 2018
Documents d'archives
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Archives départementales du Doubs : 3 P 250 Cadastre de la commune des Fontenelles, 1832-1937.
- 3 P 250 : Atlas parcellaire (4 feuilles), dessin (plume, lavis), par les géomètres du cadastre Barthaux et Receveur, 1832.
- 3 P 250/1 : Registre des états de sections, [1832].
- 3 P 250/2 : Matrice cadastrale des propriétés bâties et non bâties, [1832-1913].
- 3 P 250/3 : Matrice cadastrale des propriétés bâties, 1882-1910.
- 3 P 250/4 : Matrice cadastrale des propriétés non bâties, 1914-1937.
- 3 P 250/5 : Matrice cadastrale des propriétés bâties, 1911-1937.
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Papier à en-tête des Ets Cheval frères, 20 mai 1948.
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Cheval Frères, Besançon [Catalogue n° 50, août 1950]. - S.l. [Besançon] : s.n. [Cheval Frères], 1950. 60 p. : ill. ; 24,5 x 16 cm.
Bibliographie
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Belmont, Henry-Louis. L'échappement à cylindre (1720-1950) : le Haut-Doubs, centre mondial au 19e siècle. - Besançon : Technicmédia, 1984. 328 p. : ill. ; 28 cm.
P. 187, 242-245, 273-276 : ill. -
H., J.-F. Cheval Frères : 170 ans de précision. La Presse bisontine, n° 199, juin 2018, p. 36 : ill.
-
Simonin, Michel. L'horlogerie au fil du temps et son évolution en Franche-Montagne, sur le plateau de Maîche. - Maîche : M. Simonin, 2007. 143 p. : ill. ; 30 cm.
-
Vuillet, Bernard. Entre Doubs et Dessoubre en 1900. Tome I, Le canton du Russey, d'après la collection de cartes postales de Georges Caille. - Les Gras : B. Vuillet, 1982. 360 p. : cartes postales ; 31 cm.
P. 288-289 : ill.
Documents figurés
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[L'usine des Fontenelles vue de la route en hiver], photographie, s.n., s.d. [milieu 20e siècle], tirage noir et blanc 40 x 60 cm collé sur bois.
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C.F. [Cheval Frères]. 4 générations et 102 ans de probité commerciale, photographie imprimée, s.n., 1950. Publiées dans : Cheval Frères, Besançon [Catalogue n° 50, août 1950]. - S.l. [Besançon] : s.n. [Cheval Frères], 1950, p. 1.
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[Vues extérieure et intérieures de l'usine des Fontenelles], photographie imprimée, s.n., 1950. Publiées dans : Cheval Frères, Besançon [Catalogue n° 50, août 1950]. - S.l. [Besançon] : s.n. [Cheval Frères], 1950, p. 4-7.
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[Exemples de production de la société Cheval Frères], dessin imprimé, s.n., 1950. Publiées dans : Cheval Frères, Besançon [Catalogue n° 50, août 1950]. - S.l. [Besançon] : s.n. [Cheval Frères], 1950, p. 15-32.
Documents multimédia
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C., M. Cheval Frères réinvente poussoirs et remontoirs. Les Echos, 20 mars 2013, ill. Article consultable en ligne sur le site des Echos : https://www.lesechos.fr/20/03/2013/LesEchos/21400-118-ECH_cheval-freres-reinvente-poussoirs-et-remontoirs.htm (consultation : 14 août 2018).
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Monneret, Christian. Recherches généalogiques. Accessibles en ligne sur le site de Geneanet : http://gw.geneanet.org/
Famille Cheval, aux Fontenelles (consultation : 13 août 2018). -
Tenoux, Jean-Pierre. Cheval Frères sous le contrôle d'IMI. Les Echos, 24 janvier 1994. Article consultable en ligne sur le site des Echos : https://www.lesechos.fr/24/01/1994/LesEchos/16567-062-ECH_cheval-freres-sous-le-controle-d-imi.htm (consultation : 14 août 2018).
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Vaucheret, Bernard. Recherches généalogiques. Accessibles en ligne sur le site de Geneanet : http://gw.geneanet.org/
Famille Mauvais, aux Fontenelles (consultation : 13 août 2018).
Poupard, Laurent. Chercheur au service Inventaire et Patrimoine de la Région Bourgogne-Franche-Comté, 1987-
Poupard, Laurent. Chercheur au service Inventaire et Patrimoine de la Région Bourgogne-Franche-Comté, 1987-