Yves Sancey, photographe. Direction régionale des Affaires culturelles de Franche-Comté puis Région Bourgogne-Franche-Comté, Service Inventaire et Patrimoine. 1973-2013
- patrimoine industriel, patrimoine industriel du Jura
- (c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
Dossier non géolocalisé
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Aire d'étude et canton
Jura - Saint-Amour
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Hydrographies
le Soujet
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Commune
Saint-Amour
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Adresse
25 rue Lamartine
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Cadastre
1827 C 62, 83 à 86, 89, 93, 98 à 101 ;
1980 AM 38, 89, 109, 113, 114
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Dénominationsusine de chaudronnerie, usine de construction mécanique
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AppellationsManufacture de Tôlerie F. Fillod F.S.A.
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Parties constituantes non étudiéesbureau, bureau d'études, pièce de stockage du combustible, atelier de fabrication, four industriel, entrepôt industriel, magasin industriel, atelier de réparation, garage, cantine, conciergerie, transformateur, quai, cour
I. Historique
Diverses maisons et écuries sont attestées sur le plan cadastral napoléonien de 1827 au long du Soujet. Celle de Jean-Baptiste Goyet est, au 19e siècle, transformée en hôtel de voyageurs dit hôtel du Grand Saint-Michel. Propriété de la famille Laurencin à partir de 1908 environ, elle est apportée à Ferdinand Fillod (1891-1956) par sa femme Juliette lors de leur mariage en 1921.
Artisan chaudronnier, celui-ci avait installé en janvier 1920 un petit atelier dans la cour de la quincaillerie de ses parents, rue Réclosière. Il le transfère dans les dépendances de l'hôtel en 1922, dans un bâtiment de 22 x 32 m, où il déclare l'année suivante un générateur à acétylène, disposant d'une réserve de 980 l. de gaz et alimentant une dizaine de postes de soudure. Sous la raison sociale Manufacture de Tôlerie F. Fillod F.S.A. ("Fait Selon l'Art" ou "Fillod Saint-Amour"), il y produit des récipients et du matériel agricole, galvanisés après fabrication : auges, abreuvoirs, bacs à pâturage, tonnes à purin, réservoirs, chaudières à marmite pour la lessive (buanderies) ou la nourriture des animaux, réchauds de lessiveuse, etc.
Devenu usine du Grand Saint-Michel, l'atelier se développe avec, notamment, en 1934 (1938 ?), une extension des bâtiments vers le nord pour abriter la fabrication des pompes à purin et réchauds de lessiveuse et, à partir de 1938, la galvanisation, son four et sa cheminée de 16 m de haut et 60 cm de diamètre (déclaration du 10 juin 1939). Masqué avant 1939 sur la rue principale (actuelle rue Lamartine) par un mur cachant son toit, l'ancien hôtel est intégré dans l'établissement et accueille au rez-de-chaussée logement du concierge, magasin, atelier de mécanique et menuiserie et, à l'étage, archives, bureaux et bureau d'études.
L'affaire connaît une nouvelle époque de prospérité à l'issue de la seconde guerre mondiale. La superficie de l'usine (15 000 m² couverts en 1949) est doublée par la construction de bâtiments à l'est vers 1947. Un deuxième bain de galvanisation est installé, avec son four, entraînant peut-être la reconstruction de la cheminée avec un diamètre plus important. Cette extension correspond à la création, en 1948, d'un département tôlerie sanitaire (réservoirs, machines à laver, lavoirs, lavabos).
Le chiffre du personnel augmente également : 285 personnes en 1949, 300 en 1952, bénéficiaires d'une société de secours mutuel créée dans les années 1930 par Fillod (aussi président fondateur de celle des Jardins ouvriers de Saint-Amour).
Explorant d'autres types d'utilisation de l'acier, Ferdinand Fillod avait pris à partir de 1928 divers brevets pour la construction de bâtiments entièrement métalliques, préfabriqués et démontables, tant baraquements et baraques de chantier que maisons, hôpitaux, écoles, etc.
Il s'était associé en 1929 avec les De Wendel pour exploiter ces brevets et avait créé la S.A. des Constructions Métalliques Fillod – C.M.F. – avec siège social à Hayange et usine à Florange (Moselle). A partir du 31 décembre 1949, il quitte tout poste de responsabilité dans cette usine – où il était directeur technique et administrateur depuis le 1er octobre 1929 – et se consacre à celle de Saint-Amour. Il y relance en 1950 la production du préfabriqué (baraques de chantier démontables) et crée en 1952 la S.A. Fillod F.S.A., au capital de 120 millions de francs (4 000 000 F vers 1976). Mort en 1956, il a été maire de Saint-Amour et inspecteur départemental puis conseiller à l'Enseignement technique (son nom a d'ailleurs été donné au lycée de cette ville).
En 1956, sa femme reprend l'affaire organisée en 8 départements : tôlerie agricole ; tôlerie industrielle ; galvanisation ; plomberie, sanitaire, chauffage central ; baraques de chantiers, garages, habitations, préfabriqués tout acier tous types, isolés ou non ; préfabriqués "F.F." ; tôlerie pour hydrocarbures et cuves à vin – ces deux derniers ouvrant en 1956. Disposant de 7 entrepôts – Vendenheim (Bas-Rhin), Tergnier (Aisne), Ploërmel (Morbihan), Checy (Loiret), Montlaur (Haute-Garonne), Poitiers (Vienne) et Vénisseux (Rhône) – généralement placés dans les gares, elle construit des préfabriqués dans toute la France (hangar jumelé à Macon en 1965 pour l'actuelle Gec Alsthom, baraque de chantier à la retenue du Saut-du-Moine près de Grenoble, par exemple) voire même jusque dans l'océan Indien (îles de Saint-Paul et de la Nouvelle Amsterdam, Crozet et Kerguelen pour abriter la XIIe expédition française des terres australes et antarctiques) et à l'étranger (au sommet du Mont Gelé en Suisse).
Vers 1966 a lieu le dernier grand agrandissement de l'usine, vers l'est, avec la mise en place de corps de bâtiment métalliques partiellement couverts de sheds. Y sont installés un atelier de peinture, une station de contrôle des réservoirs sous pression, la fabrication des cuves à vin (émaillées à l'intérieur par une société lyonnaise ou en acier inoxydable) et celle des baraques de chantier.
La production des préfabriqués va devenir prépondérante, tout d'abord avec les baraques démontables puis, à partir de 1972, avec les cellules monoblocs et les bungalows. Pour elle, une nouvelle unité est bâtie en 1969 par les ateliers de Constructions Métalliques Waltefaugle, de Dampierre-sur-Salon (Haute-Saône), dans la zone industrielle des Nièvres. A proximité de la voie ferrée, elle est desservie par un embranchement ferroviaire permettant une expédition rapide de toute la gamme :
- baraques de chantier traditionnelles, composées de panneaux galvanisés nervurés de 0,97 m de large assemblés par attaches et agrafage, avec éclairage par des hublots en façade et éventuellement faîtière translucide, regroupées en 5 types standard (de 1,95 à 4,90 m de large et 2,15 à 3,44 m de haut). Elles peuvent être placées sur châssis routier et ainsi être remorquables ("Tractabri" et "Roulabri") ;
- bungalows à base de panneaux "sandwichs" de 0,97 m de large, avec une hauteur sous plafond de 2,50 m et une largeur variant de 3 à 6 m, couverts d'un toit métallique en appentis ("Logisol" et "Bungalow") ;
- cellules de chantier monoblocs à ossature métallique et bardage en panneaux sandwichs (tôle galvanisée - polystyrène expansé - bois aggloméré), toiture monobloc polyester ou bois-polyester, de 2,25 m de largeur intérieure, 3,60 à 7 m de longueur intérieure et 2,30 m de hauteur intérieure, organisées en 2 gammes ("Logibloc" et "Mobilbloc"), superposables et juxtaposables, parfois montées sur skis ("Mobiloge") ou remorque basse, aménageables en bureau, réfectoire/vestiaire, bloc sanitaire wc/douches ou dortoir.
En 1968, l'un de ses clients revendeur de baraques de chantier, la société Arbec, est devenu actionnaire majoritaire de la S.A.
Employant 250 personnes en 1971 et réalisant un chiffre d'affaire de 3 500 000 F, celle-ci traite alors 400 tonnes de tôle par mois (8 000 tonnes annuelles vers 1976) pour fabriquer du matériel agricole galvanisé, des cuves à vin, des réservoirs pour installations sanitaires, stockage de fuel ou machines à air comprimé, des bâtiments préfabriqués. Active dans le domaine de la tôlerie industrielle, elle pratique la galvanisation à façon au trempé, avec deux creusets (de 4,35 m de longueur, 1,70 m de largeur et autant de profondeur) chauffés par deux fours, et la sous-traitance en mécano-soudure, pour la société Berliet notamment (installée à Bourg-en-Bresse en 1964). Elle poursuit la fabrication et le montage des bâtiments préfabriqués avec, en 1976 ou 1977, une commande importante de la société italienne Pan Electric Méditerranéa, pour la fourniture d'un camp de vie de 150 personnes en Arabie Saoudite, dans la région de Dhahran.
Elle compte 226 personnes en 1978 lorsqu'elle fait faillite. Après un essai de reprise, l'usine ferme définitivement l'année suivante.
Les bâtiments sont vendus aux enchères publiques à la fin de 1980 ou au début de 1981. La partie récente de l'usine (extension de 1966) est acquise par un particulier, la partie ancienne par la commune. Celle-ci démolit l'atelier de galvanisation, loue le bâtiment de stockage du charbon qui le jouxte à un artisan et réutilise les autres bâtiments comme entrepôts municipaux et siège d'associations.
II. Description
Ancien hôtel (A) :
- moellon calcaire, enduit
- baies rectangulaires, élévation à travées
- sous-sol (voûté en berceau plein cintre), rez-de-chaussée surélevé, 2 étages carrés
- escalier dans oeuvre, tournant à retours avec jour, en pierre
- toit à longs pans, pignon découvert
- tuile mécanique
Ateliers (B, C, D, F) :
- pan de béton armé, avec parpaing de béton pour (D)
- baies rectangulaires. vaisseau sur 2 niveaux pour (B), étage carré pour (C), 2 étages carrés pour (D)
- escalier dans oeuvre, droit, en béton ou en bois et monte-charge pour (D)
- charpente en bois apparente. toit à longs pans, pignon couvert, pignon découvert au nord-ouest pour (B)
- tuile mécanique, tuile métallique imitant la tuile mécanique pour (B)
Anciennes maisons (H, I, M) :
- moellon calcaire, enduit. baies rectangulaires
- étage carré
- toit à longs pans, pignon couvert (H, I), appentis (M)
- tuile mécanique (H, M), tuile creuse (I)
Atelier (J) :
- béton aggloméré et parpaing de béton, pan de bois
- baies rectangulaires
- en rez-de-chaussée
- rampe d'accès intérieure depuis la rue d'Allonal et longeant l'extrémité sud des corps de bâtiment (étagés suivant la déclivité du terrain d'est en ouest)
- charpente en bois apparente
- toit à longs pans, pignon couvert, lanterneau
- tuile mécanique, tuile métallique imitant la tuile mécanique
Ateliers (K, L) :
- pan de fer et pan de béton armé, essentage de tôle
- baies rectangulaires
- en rez-de-chaussée
- charpente métallique apparente. toit à longs pans, pignon couvert, shed pour (K)
- métal en couverture (tôle plate)
Usine faisant partie de l'ensemble de construction mécanique de la Manufacture de Tôlerie F. Fillod FSA. En 1922, Ferdinand Fillod installe dans les dépendances d'un hôtel de voyageurs, dit hôtel du Grand Saint-Michel et attesté sur le plan cadastral de 1827 comme maison, un petit atelier de chaudronnerie, qui devient Manufacture de Tôlerie F. Fillod FSA ou usine du Grand Saint-Michel. Il fabrique du matériel agricole en métal galvanisé, des réservoirs et des chaudières à marmite. L'usine est agrandie au nord en 1934, par la construction d'ateliers de fabrication et de galvanisation (à partir de 1938), puis à l'est vers 1947 (doublant ainsi sa superficie : 15 000 m2 couverts en 1949). Vers 1966, utilisant un principe de construction imaginé par Fillod, d'autres ateliers sont édifiés à l'est pour la fabrication des cuves à vin et des baraques de chantier démontables (de nouveau fabriquées depuis 1950). Pour cette dernière production, une deuxième unité est bâtie en 1969 dans la zone industrielle des Nièvres. Créée en 1952, la S.A. Fillod fait faillite en 1978 et ferme définitivement en 1979. Les bâtiments désaffectés sont rachetés par un particulier et par la commune, qui détruit les ateliers de 1934.
Mort en 1956, Ferdinand Fillod a été maire de Saint-Amour et inspecteur départemental puis conseiller à l'Enseignement technique (son nom a d'ailleurs été donné au lycée de cette ville).
Société de secours mutuel dans les années 1930. 285 ouvriers en 1949, 300 en 1952, 226 dans les 2 unités en 1978.
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Période(s)
- Principale : 1er quart 19e siècle , daté par source, daté par tradition orale , (incertitude)
- Principale : 2e quart 20e siècle , daté par source, daté par tradition orale
- Principale : 3e quart 20e siècle , daté par source, daté par tradition orale
Moellon calcaire enduit pour l'ancien hôtel, le bâtiment du générateur à acétylène, le garage et la menuiserie (bâtiments du 19e siècle). Ancien hôtel : sous-sol voûté en berceau, 2 étages carrés, escalier tournant. Ateliers des années 1920 et 1930 (à l'ouest) : pan de béton armé, 2 ou 3 niveaux, escaliers droits et monte-charge, tuile mécanique et tuile métallique système Fillod (cour couverte). Bâtiments vers 1947 : béton et poteaux en bois, tuile mécanique et tuile métallique. Ateliers des années 1960 : pan de fer et sheds au nord, pan de béton armé et toits à longs pans au sud, essentage de tôle, charpente métallique et fer en couverture. Surface du site en m2 : 12074
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Murs
- calcaire moellon enduit
- fer pan de fer essentage de tôle
- béton pan de béton armé
- parpaing de béton
- bois pan de bois
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Toitstuile mécanique, fer en couverture
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Étagessous-sol, rez-de-chaussée surélevé, 2 étages carrés
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Couvrements
- charpente en bois apparente
- charpente métallique apparente
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Élévations extérieuresélévation à travées
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Couvertures
- toit à longs pans pignon couvert
- pignon découvert
- noue
- shed
- appentis
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Escaliers
- escalier dans-oeuvre : escalier tournant à retours avec jour en maçonnerie
- escalier dans-oeuvre : escalier droit en charpente
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Autres organes de circulationmonte-charge
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Énergies
- énergie électrique achetée
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État de conservationétablissement industriel désaffecté, mauvais état, menacé
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Statut de la propriétépropriété publique
propriété privée
- (c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
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Grebot Michel, ancien membre de la société F. Fillod FSA. Saint-Amour
1995 -
Mme Reboux, société Sarrade Galtier Fillod. Saint-Amour
1995
Documents d'archives
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M 1440 Etablissements dangereux et insalubres
Dossier de la commune de Saint-Amour (1842-1945) -
3 P 2998 Cadastre de la commune de Saint-Amour : matrice cadastrale des propriétés bâties (1911-1970)
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Archives privées (Jean-Paul Fillod, Saint-Amour) : Ensemble de brochures, factures, plans et photographies se rapportant à Fillod et à ses sociétés (1927-1991)
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Archives privées (Michel Grebot, Saint-Amour) : Ensemble d'articles de journaux, notices diverses, publicités, catalogues de production, etc., se rapportant à Fillod et à ses sociétés (20e siècle)
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[Constructions Métalliques Fillod SA]. Baraquement métallique Fillod.- S.l. : s.n. [CMF], s.d. [vers 1939]. 32 - [4] p. : ill. ; 21 cm. Notice de montage de 32 p., complétée par 4 p. volantes datant de la seconde guerre mondiale et portant le titre Notice annexe sur l'isolement des Baraquements Fillod.
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Curriculum vitae de Ferdinand Fillod, s.n., s.d. [années 1940]
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[Notice de présentation des principales fabrications de la SA Fillod]. - S.d. [vers 1976]. [5] f. dactyl. ; 30 cm.
Bibliographie
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Chauffour, Gilbert. La manufacture Fillod à Saint-Amour. Notre trafic. SNCF, décembre 1966, n° 251, p. 7-8 : ill.
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Essor Industrie 1991. Franche-Comté.- Trappes : Union Française d'Annuaires Professionnels, 1990.
-
Un grand patron [article nécrologique sur Ferdinand Fillod], coupure de journal, 1956
-
Grebot, François. Organisation interne et techniques de travail des métaux en feuilles dans une entreprise moyenne. La société Fillod F.S.A. - S.d. [1971]. 23 [37] f. dactyl. ; 30 cm. Mémoire de stage de 2e année à l'Ecole nationale d'Ingénieurs de Belfort
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La Manufacture de Tôlerie F. Fillod F.S.A. L'Opinion économique et financière, juillet 1949, n° 2, p. 135 : ill.
Documents figurés
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[Croquis de plan pour l'installation d'un générateur d'acétylène], dessin (plume), s.n. [Ets Fillod], 15 décembre 1923
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Usine du Grand-St-Michel - Manufacture de Tôlerie - Saint-Amour (Jura) - Plan schématique de l'usine, tirage à l'ammoniaque, s.n. [Ets Fillod], 10 février 1939, échelle 1:100
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Nombreuses photographies et dépliants publicitaires montrant l'usine et ses productions, 20e siècle
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St-Amour (Jura) - Rue du Faubourg-de-l'Ain, carte postale, par Combier, s.d. [1er quart 20e siècle], collection Combes.
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Saint-Amour. - Faubourg de l'Ain, carte postale, s.n., s.d. [années 1920], Cie des Arts Photomécaniques éd. (?) à Strasbourg-Schiltigheim
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[Intérieur d'un atelier], photographie imprimée, s.n., s.d. [1925]. Extrait de : Le Jura.- [Paris] : [Impr. spéciale de l'Illustration économique et financière], 1925, p. 68. Numéro spécial de l'Illustration économique et financière
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[Espace de présentation de la production de l'usine lors d'une foire-exposition], photographie, par L. Santerre, s.d. [années 1930 ?]
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St-Amour (Jura) - Vue générale, carte postale, s.n., s.d. [vers 1940-1945], Cie des Arts photomécaniques éd. à Paris et Strasbourg
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Buanderie FSA tout acier, carte postale servant d'accusé de réception de commandes, s.n., 22 novembre 1946
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[Vue d'ensemble de l'usine depuis le nord-est], photographie, par Manias ?, s.d. [entre 1947 et 1966]
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[Intérieurs de l'usine], photographie, s.n., s.d. [années 1950]
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Intérieur de l'entrepôt industriel (J2) avec traçage et découpage. Photographie, s.d. [milieu 20e siècle, années 1950].
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Intérieur de l'atelier de galvanisation. Photographie, s.d. [milieu 20e siècle, années 1950].
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Quai d'expédition. Photographie, s.d. [milieu 20e siècle, années 1950].
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Réservoirs et chaudières à marmite F.S.A. dans l'atelier (D). Photographie, s.d. [milieu 20e siècle, années 1950].
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Essai d'épandage avec une citerne mobile. Photographie, s.d. [milieu 20e siècle, années 1950].
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Affiche présentant la production de la société. S.d. [3e quart 20e siècle, début des années 1960].
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Montage d'un baraquement métallique dans les années 1940 : stockage des tôles. Photographie, s.d. [2e quart 20e siècle]. Dans : " Baraquement métallique Fillod " / [Constructions Métalliques Fillod S.A.], s.l. : s.n. [C.M.F.], s.d. [vers 1939], p. 4.
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Montage d'un baraquement métallique dans les années 1940 : montage de l'armature. Photographie, s.d. [2e quart 20e siècle]. Dans : " Baraquement métallique Fillod " / [Constructions Métalliques Fillod S.A.], s.l. : s.n. [C.M.F.], s.d. [vers 1939], p. 7.
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Montage d'un baraquement métallique dans les années 1940 : mise en place d'une tôle du mur. Photographie, s.d. [2e quart 20e siècle]. Dans : " Baraquement métallique Fillod " / [Constructions Métalliques Fillod S.A.], s.l. : s.n. [C.M.F.], s.d. [vers 1939], p. 10.
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Montage d'un baraquement métallique : pose d'une agrafe. Photographie, s.d. [1ère moitié 20e siècle, années 1940 ?].
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Montage d'un baraquement métallique dans les années 1940 : mise en place d'une tôle du toit. Photographie, s.d. [2e quart 20e siècle]. Dans : " Baraquement métallique Fillod " / [Constructions Métalliques Fillod S.A.], s.l. : s.n. [C.M.F.], s.d. [vers 1939], p. 10.
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Montage d'un baraquement métallique dans les années 1940 : état final. Photographie, s.d. [2e quart 20e siècle]. Dans : " Baraquement métallique Fillod " / [Constructions Métalliques Fillod S.A.], s.l. : s.n. [C.M.F.], s.d. [vers 1939], p. 16.
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Baraques et cellules de chantier. Dépliant publicitaire, s.d. [3e quart 20e siècle, début des années 1960].
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Deux timbres postaux montrant des baraques Fillod installées dans les bases scientifiques de l'archipel Crozet et des îles Saint-Paul et de la Nouvelle Amsterdam, dessin imprimé, s.n., s.d. [années 1960]
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Bâtiment métallique construit dans l'usine de matériel électrique industriel de la S.A. Gec Alsthom à Mâcon, photographie, s.n., 1965. Détruit en 1984, ce bâtiment servait de hall de montage et de magasin.
Poupard, Laurent. Chercheur au service Inventaire et Patrimoine de la Région Bourgogne-Franche-Comté, 1987-
Poupard, Laurent. Chercheur au service Inventaire et Patrimoine de la Région Bourgogne-Franche-Comté, 1987-