Le quartier Saint Laurent est situé sur le site de l’ancienne caserne Binot, achevée en 1876. La Ville acquiert les terrains et les bâtiments militaires suite à leur mise en vente par l’État au début des années 1950. C’est sur ce site que la commune et l’Office Public HLM du département de la Nièvre (et de manière beaucoup plus ponctuelle, deux autres promoteurs) vont construire le quartier aujourd’hui nommé quartier Saint-Laurent. La première partie édifiée correspond aux immeubles dénommés Binot sur un projet d’Emile Berthelot. La poursuite de l’opération d’urbanisation du quartier, alors dénommé « quartier extension sud », s’inscrit dans le cadre de la mise au point du plan d’urbanisme. Plusieurs architectes, Michel Colle puis Jean Louria, réaliseront successivement le plan d’urbanisme de détail du quartier, faisant office de plan de masse de cette opération « grand ensemble ». Il est cependant à noter que cette réalisation, en plusieurs tranches successives (ce qui entraîna plusieurs modifications du projet original) n’a pas été conçue dans le cadre d’une procédure spécifique de type ZUP ou Secteur Industrialisé. La municipalité cosnoise et l’Office Public Départemental HLM de la Nièvre ont simplement mis en place une nouvelle Zone d’Habitation, intégrée au plan d’urbanisme, et bénéficié des contingents de logements subventionné par l’État (LEN, LOPOFA, HLM normalisé, etc. en fonction de l’évolution de la législation sur l’habitat social) au fur et à mesure de l’avancement du programme.
- enquête thématique régionale, les grands ensembles en Bourgogne
- (c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
Dossier non géolocalisé
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Aire d'étude et canton
Bourgogne
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Commune
Cosne-Cours-sur-Loire
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Adresse
avenue de Verdun
,
rue Fernand Petit
,
avenue de la Paix
,
rue Général Binot
,
rue Albert Schweitzer
,
rue Le Corbusier
,
rue de Bourgogne
,
allée Beethoven
,
rue George Sand
,
rue Lavoisier
,
rue du Berry
,
rue Romain Rolland
,
rue Pierre et Marie Curie
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Cadastre
2016
BV
27-41 ; 56 ; 57 ; 65-67 ; 90 ; 95 ; 97 ; 100 ; 103-113 ; 115-117 ; 119-122 ; 127-130 ; 137 ; 139 ; 160 ; 161
;
2016
AS
141-148 ; 449
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Dénominationssecteur urbain concerté
-
Parties constituantes étudiées
Les débuts du projet
A partir de 1940, les bâtiments de la caserne Binot sont réquisitionnés et occupés par les forces allemandes qui les firent exploser avant leur fuite en août 1944. Les dégâts sont très importants, la quasi-totalité des bâtiments est détruite. Quelques édifices ont résisté, en partie, à l’explosion mais ils sont complètement découverts, leurs planchers risquent de s’effondrer et les murs sont fissurés. Le ministère de la Défense décide alors d’aliéner la caserne. Le Conseil municipal de Cosne-sur-Loire manifeste son intérêt pour le site dès mai 1946 : le terrain tient une place importante dans le nouveau projet d’aménagement de la ville et permettrait de reconstruire le collège municipal, créer un nouveau groupe scolaire ou encore édifier tout un quartier d’Habitations à Bon Marché (HBM). Lors de la séance du 8 août 1947, le Conseil municipal adopte le principe de l’achat de la caserne par la commune sous réserve cependant que le prix fixé par l’administration des Domaines soit raisonnable. S’en suit une période de négociation concernant le prix d’achat des terrains entre 1947 et 1949. En septembre et en décembre 1949, le Conseil municipal vote l’acquisition par la commune de l’ancienne caserne Binot et des terrains dépendants afin de construire une centaine de logements HLM (nouveau nom des HBM suite à la loi du 21 juillet 1950) dont la réalisation serait confier à l’Office Public Départemental HLM de la Nièvre auquel serait consenti une cession gratuite des terrains nécessaires. Le 2 décembre de la même année, l’autorisation officielle de cession par le service central des Domaines des terrains et bâtiments de la Caserne est validée. De nouvelles négociations sont engagées quant au périmètre exact des terrains vendus et pour le prix demandé. L’arrêté préfectoral du 28 avril 1951 déclare d’utilité publique l’acquisition de la caserne et le 4 juin, le Conseil municipal autorise le maire à procéder à la signature de l’acte de vente. Sur les terrains acquis, la municipalité projette de bâtir un groupe scolaire (actuellement école maternelle Franc Nohain), un collège (actuellement Collège Claude Tillier), un lycée (actuellement Lycée Polyvalent Pierre-Gilles de Gennes) et des terrains de sports.
En 1951, le ministère de la Reconstruction et de l’Urbanisme valide le choix du site de l’ancienne caserne pour les futurs logements, mais il fait savoir son souhait que le plan de masse soit étudié pour répondre au désir de constituer un centre de quartier avec notamment une place centrale ouverte sur la route nationale 7 et un bâtiment public. Emile Berthelot et Jean Louria travaillent tous deux sur un projet qui incluent ces éléments. La partie du site sur lequel la commune décide d’édifier de nouveaux logements collectifs était cependant encore la propriété de l’État en 1953. La même année, la municipalité obtient l’accord du service de l’Enregistrement et des Domaines pour l’acquérir. L’acte de cession est signé le 22 juillet 1955. Les immeubles sont construits entre 1956 et 1961 mais la place publique souhaitée à l’origine par l’État a été davantage dessinée et traitée comme un parc privé.
Le projet de Michel Colle
L’ensemble des cinq immeubles dénommés Binot ne représente qu’une petite partie du quartier Saint-Laurent. Alors qu’ils sont encore en chantier, ils sont complétés par deux immeubles réalisés dans le cadre d’une opération Million. Puis, pour faire face à la demande de logement, la municipalité décide de lancer un nouveau projet plus à l’est. Le plan de masse est dessiné par l’architecte-urbaniste Michel Colle en 1960 et est incorporé au règlement d’urbanisme de Cosne-sur-Loire, validé par le préfet en septembre 1960. Ce plan de masse est modifié à plusieurs reprises, notamment en décembre 1963, en mars 1964, jusqu’à la révision du plan d’urbanisme de détail du quartier sud (nouveau nom donné au quartier) validée lors du Conseil municipale du 12 juillet 1965 puis par le préfet en 1966. Le projet de Michel Colle se caractérise par la poursuite de l’urbanisation du nouveau site en direction de l’ouest, une voie principale traversant le futur quartier dans la continuité du site loti par les immeubles Binot. Elle correspond à l’actuelle avenue de la Paix. Le centre du nouveau quartier (plus d’un point de vue fonctionnel et social que géographique) est prévu pour être occupé par le centre commercial et divers autres équipements collectifs (halte-garderie, centre médical) et un petit groupe d’habitations collectives qui correspond aux futurs immeubles A, B, C, D, J et K. Autour, trois grands groupes d’habitat collectif occupent les espaces délimités par les voies de circulations, chacun constituant entre 350 et 400 logements. Ces immeubles d’habitations collectifs ont la forme de longues barres étirés avec des retours d’équerre (deux à quatre étages) ou de tours-blocs (quatre à huit étages). Les pavillons individuels et les autres équipements collectifs (établissements scolaires) forment ensuite la périphérie du futur quartier. Dans un premier temps, l’ensemble projeté (avec les immeubles Binot) comprend 1 100 logements collectifs et 262 logements individuels, soit un total de 1 372. Parmi les équipements collectifs envisagés, on note : un centre commercial secondaire, un centre médical, un centre d’action social, une halte-garderie, un groupe scolaire, un club des jeunes, des terrains de sports, un centre cultuel et enfin un foyer de progrès agricole. Au final, le projet de Michel Colle n’est pas réalisé dans sa totalité : en fonction des terrains disponibles, des financements pour un contingent de logements HLM alloués chaque année par le ministère, et de l’évolution des techniques de construction, le plan évolue et les permis de construire de plusieurs immeubles sont modifiés. C’est dans le cadre de cette opération que sont construits les immeubles A à K entre 1962 et 1969. Comme pour de nombreuses opérations de l’époque, ce programme de logements est divisé en différentes tranches en fonction des subventions et des financements de l’État. La préfecture attribue aux communes un contingent de logements subventionné par exercice, c’est-à-dire par année. (voir étude des bâtiments concernés).
Le nouveau plan de masse de Jean Louria
A la fin des années 1960, le programme immobilier pour le nouveau quartier Saint-Laurent prend de l’ampleur. Le projet du site, désormais dénommé « quartier d’extension sud », est devenu une zone opérationnelle d’habitation où sont prévus 1 100 logements en immeubles collectifs, dont 900 en location HLM. Ce chiffre inclus les 326 logements déjà réalisés et 200 logements individuels. En outre, 210 logements collectifs non HLM sont également prévus, dont 46 sont déjà construits : les 48 de l’immeuble SIDEN et les 8 logements pour la gendarmerie. Un nouveau plan de masse est dessiné par Jean Louria, architecte urbaniste parisien, en juin 1968. Le 30 août de la même année, une version légèrement modifiée avec ajout d’un centre commercial secondaire, un centre médical, un centre d’action social et une halte-garderie, est approuvée par le Conseil municipal. En janvier 1970 la mairie consulte les promoteurs privés pour savoir s’ils seraient intéressés par la cession de terrain pour étudier les possibilités de compléter le nombre de logement jusqu’à 1 100. Mais les promoteurs privés ne manifestent que peu d'intérêt pour le projet, le principal écueil étant le prix de cession des terrains, les faibles dimensions des façades et des terrains non adaptés aux normes des constructions préfabriquées actuelles. Aussi, le projet de J. Louria connait à son tour quelques variations. Entre 1968 et 1969, de nouveaux plans masse sont édités mais avec des changements assez infimes. Le principe restait le même, à savoir celui d’une organisation autour des trois grands axes principaux, les actuelles avenue de la Paix, rues Albert Schweitzer et du Berry. Le tout forme quatre parties, deux (à l’est) étant loties lors des précédents programmes et les deux autres (à l’ouest) occupées par des séries d’immeubles en équerre ou formant des U. les seuls changements dans les différents plans de J. Louria de cette époque sont ainsi le remplacement d’un ensemble en U par un immeuble en équerre ou l’inverse.
Les immeubles B1 à B10 et 21 à 24 sont réalisés dans ce contexte, de même que le centre commercial. Les barres sortent de terre et sont mises en location alors que les aménagements paysagers ne sont pas réalisés et que les voiries ne sont pas encore bitumées mais simplement en terre battue pour certaines. Le rejet progressif , à l’échelle nationale, de la politique étatique des grands ensembles et les circulaires de 1971 et 1973 du ministre Olivier Guichard mettent un frein à la poursuite du projet d’urbanisation fixé par le projet de J. Louria. Les différents lots restant à construire se font au cas par cas et avec des plans de masse indépendants.
Achèvement de l'urbanisation
Au début de l’année 1974, une étude sur l’actualisation du projet du quartier Saint Laurent est lancée. Elle aboutit à la conclusion que pour aérer la zone et ainsi davantage satisfaire la clientèle, il est nécessaire d’abaisser le nombre final de logements. Le Conseil municipal profite ensuite de l’évolution du cadre juridique qui encadre la construction des quartiers de type grand ensemble et projette d’achever le programme du quartier Saint-Laurent avec le lancement d’une ZAC, également souhaitée par l’État. L’opération ZAC est ainsi créée par l’arrêté préfectoral du 23 septembre 1975 dans la perspective de parvenir, à un total de 1 180 logements construit (en incluant ceux réalisés aux cours des décennies précédentes, suivant ainsi les recommandations de l’enquête de 1974). Suite à une révision du dossier, le nombre de logements est finalement ramené à 1 039. Les différents immeubles d’habitations réalisés dans ce cadre sont les bâtiments 25, 26, 27, X et l’opération des Hauts de Loire, sise rue du Berry. Au final, une fois achevé et jusqu’aux années 2000 le quartier Saint-Laurent abrite environ 2 500 personne, soit pour l’époque près du quart de la population communale.
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Période(s)
- Principale : 3e quart 20e siècle , daté par source
- Secondaire : 4e quart 20e siècle , daté par source
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Auteur(s)
- Auteur : architecte urbaniste attribution par source
- Auteur : architecte urbaniste attribution par source
- Auteur : architecte urbaniste attribution par source
Le quartier Saint-Laurent à Cosne-Cours-sur-Loire est un quartier de type grand ensemble, situé au sud de la commune. Différents types de constructions le composent, à savoir des habitations collectives sous la forme de barres et de tours, mais également de pavillons individuels et des équipements collectifs. Au sein de cette catégorie, on peut recenser : une école primaire, un collège, un lycée polyvalent et un lycée professionnel ; un centre commercial de proximité ; une piscine intercommunale ; un centre cultuel et un centre social et culturel ; le centre des finances publiques ainsi que plusieurs équipements sportifs (terrains de plein air ou complexe sportif couvert).
Concernant l'habitat collectif, le quartier Saint-Laurent compte 43 immeubles divisés en 9 typologies architecturales différentes (voir sous-dossiers correspondants), dont 32 bâtiments sous la forme de barre, 2 blocs et 1 tour. Les premiers bâtiments construits forment l'ensemble dit "Binot" en écho au nom de la caserne d'infanterie qui occupait le site auparavant. Ils forment un ensemble cohérent, les différents immeubles encadrant un petit parc. La majorité des autres immeubles a été réalisée dans le cadre de deux plans de masse successifs, ceux de Michel Colle puis de Jean Louria. S'il existe des différences entre ces deux projets, ils se caractérisent tous les deux par la présence d'un axe central, véritable épine dorsale du quartier, qui correspond aujourd'hui à l'avenue de la Paix. Un deuxième axe majeur, qui est le fruit de la succession des différents projets d'ensemble puis de la création de la ZAC dans les années 1970, coupe perpendiculairement le premier, approximativement au centre du quartier. Il correspond aux actuelles rues de Bourgogne et du Berry. C'est à ce croisement que se situe le centre commercial de proximité. Les autres équipements collectifs sont en majorité situés au sud du quartier, à la fin de la rue du Berry et le long de la rue Pierre et Marie Curie.
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Statut de la propriété
En 2015, le quartier Saint-Laurent de Cosne-Cours-sur-Loire présente encore tous les éléments architecturaux réalisés dans le cadre d'une opération Développement Social des Quartiers (D.S.Q.).
- (c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
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Documents d'archives
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Archives départementales de la Nièvre. Série W ; 1243 W 242. Cosne-Cours-sur-Loire plan d'urbanisme directeur.
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Archives départementales de la Nièvre. Série W ; 1243 W 243. Cosne-Cours-sur-Loire plan d'urbanisme directeur.
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Archives départementales de la Nièvre. Série W ; 1475 W 227. Aménagement de la ZAC du quartier sud 1970-78.
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Archives départementales de la Nièvre. Série W ; 1475 W 228.
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Archives municipales de Cosne-Cours-sur-Loire. Série W ; 1 W 30.
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Archives municipales de Cosne-Cours-sur-Loire. Série W ; 1 W 226.
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Archives municipales de Cosne-Cours-sur-Loire. Série W ; 1 W 284.
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Archives municipales de Cosne-Cours-sur-Loire. Série W ; 1 W 781.
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Archives municipales de Cosne-Cours-sur-Loire. Série W ; 1 W 846.
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Archives municipales de Cosne-Cours-sur-Loire. Série W ; 1 W 905.
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Archives municipales de Cosne-Cours-sur-Loire. Série W ; 1 W 906.
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Archives municipales de Cosne-Cours-sur-Loire. Série W ; 1 W 907.
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Archives municipales de Cosne-Cours-sur-Loire. Série W ; 1 W 2008.
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Archives municipales de Cosne-Cours-sur-Loire. Série W ; 1 W 2208.
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Archives municipales de Cosne-Cours-sur-Loire. Série W ; 86 W 3.
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Archives municipales de Cosne-Cours-sur-Loire. Série W ; 100 W 107.
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Archives municipales de Cosne-Cours-sur-Loire. Série W ; 200 W 11. Permis de construire PC 542.
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Archives municipales de Cosne-Cours-sur-Loire. Série W ; 200 W 5. Permis de construire PC 238.
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Archives municipales de Cosne-Cours-sur-Loire. Série W ; 200 W 5. Permis de construire PC 274.
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Archives municipales de Cosne-Cours-sur-Loire. Série W ; 200 W 5. Permis de construire PC 237 bis.
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Archives municipales de Cosne-Cours-sur-Loire. Série W ; 200 W 8. Permis de construire PC 415.
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Archives municipales de Cosne-Cours-sur-Loire. Série W ; 200 W 12. Permis de construire PC 592.
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Archives municipales de Cosne-Cours-sur-Loire. Série W ; 200 W 14. Permis de construire PC 642.
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Archives municipales de Cosne-Cours-sur-Loire. Série W ; 200 W 16. Permis de construire PC 722.
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Archives municipales de Cosne-Cours-sur-Loire. Série W ; 200 W 19. Permis de construire PC 799.
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Archives municipales de Cosne-Cours-sur-Loire. Série W ; 200 W 20. Permis de construire PC 820 et PC 821.
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Archives municipales de Cosne-Cours-sur-Loire. Série W ; 200 W 26. Permis de construire PC n°1015.
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Archives municipales de Cosne-Cours-sur-Loire. Série W ; 200 W 115. Permis de construire PC n°684.
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Archives municipales de Cosne-Cours-sur-Loire. Série W ; 200 W 117. Permis de construire PC 1015.
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Archives municipales de Cosne-Cours-sur-Loire. Série W ; 200 W 608.
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Archives municipales de Cosne-Cours-sur-Loire. Série W ; 202 W 489.
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Archives municipales de Cosne-Cours-sur-Loire. Série W ; 202 W 490.
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photographie ancienne
Documents figurés
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Michel Colle, architecte-urbaniste DPLG, inscrit à l'ordre des architectes en 1959 sous le numéro 691.