Jérôme Mongreville, photographe. Région Bourgogne-Franche-Comté, Service Inventaire et Patrimoine, 1983-
- inventaire topographique
- (c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
Dossier non géolocalisé
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Aire d'étude et canton
Saint-Claude centre et faubourg
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Commune
Saint-Claude
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Lieu-dit
Etables
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Emplacement dans l'édifice
atlier de pipier ;
au rez-de-chaussée de l'habitation
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Dénominationsmachine à usiner par copiage
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Parties constituantes étudiées
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Parties constituantes non étudiéesmoteur électrique
Cette machine à sculpter les têtes de pipes est due au pipier Lamberthod, établi à Saint-Claude dans le quartier du Grand Plan. Vraisemblablement unique, elle est peut-être réalisée au tout début du 20e siècle, en s'inspirant fortement de celle imaginée vers 1863 par Joseph-Honoré Dalloz (dit Dalloz-Dessertine). Elle est achetée à la fin des années 1960 par Raymond Monneret puis cédée à Olivier Racine en 1969. D'un fonctionnement déficient, elle est modifiée peu après par le constructeur mécanicien san-claudien Armand Lizon, installé à Etables. Sa capacité est alors ramenée de 14 à 4 têtes sculptées simultanément ; l'ancien moteur Malécot, de 3 ch., est supprimé. Malgré cela, elle ne sert qu'à des démonstrations et est actuellement inutilisée, quoiqu'en état de marche.
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Période(s)
- Principale : limite 19e siècle 20e siècle
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Lieu d'exécutionCommune : Saint-Claude
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Auteur(s)
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Auteur :
LamberthodconstructeurLamberthod
Pipier établi à Saint-Claude (Jura) dans le quartier du Grand Plan. 19e siècle-20e siècle.
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Auteur :
Cette machine à sculpter mécanique fonctionnait suivant le principe du pantographe : le déplacement d'un palpeur sur un modèle entraînait une mise en mouvement identique de 14 fraises et la sculpture simultanée de 14 têtes de pipes. Le bâti fixe et le bâti mobile sont en bois (chêne ?) et en fer, les pièces de renfort sont métalliques. Le bâti mobile porte le modèle et le palpeur à l'avant, les fraises et les ébauchons à l'arrière. Chacun des 4 montants verticaux étant articulé à sa base, il forme un parallélogramme déformable. Cette disposition permet d'incliner palpeur et fraises vers l'avant ou vers l'arrière et, ainsi, de ne pas limiter la sculpture au seul plan vertical. Le modèle et les ébauchons peuvent tourner solidairement, afin de sculpter les côtés par exemple : en repoussant le modèle vers l'arrière, il s'accouple avec les porte-broches sur lesquels sont fixés les ébauchons et engrène leurs roues dentées avec celles fixées sur le bâti. L'ouvrier peut alors, sans bouger de sa place, faire pivoter têtes et modèle à l'aide d'un système de renvoi par chaînes.
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Catégoriesindustrie du bois
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Structures
- matériau d'origine végétale, solide en masse, produit semi-fini
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État de conservation
- en état de marche
- mauvais état
- remaniement
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Précision état de conservation
Le bâti en bois et les 14 fraises, à l'arrière de la machine, ont été supprimés dans les années 1970. Ils ont été remplacés par une barre métallique portant 2 groupes de 2 supports de fraises ; chaque groupe est actionné par un moteur. L'un des groupes est en état de marche.
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Statut de la propriétépropriété privée
- (c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
- (c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
- (c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
- (c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
- (c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
- (c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
- (c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
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Documents figurés
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Fabrique Spéciale de Pipes Sculptées Mécaniquement Louis Lamberthod. Dessin, papier à en-tête, 1940.
Poupard, Laurent. Chercheur au service Inventaire et Patrimoine de la Région Bourgogne-Franche-Comté, 1987-
Poupard, Laurent. Chercheur au service Inventaire et Patrimoine de la Région Bourgogne-Franche-Comté, 1987-