Sonia Dourlot, photographe. Région Bourgogne-Franche-Comté, Service Inventaire et Patrimoine, 2014-2020
- patrimoine industriel, patrimoine industriel du Doubs
- (c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
Dossier non géolocalisé
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Aire d'étude et canton
Pays horloger (le) - Russey (Le)
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Hydrographies
le Fondereau
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Commune
Rosureux
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Adresse
1-3 impasse de la Truite
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Cadastre
2018
B
41-46, 391-393, 473-475
;
1833
B
30-32, 146-149
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Dénominationsferme, forge, atelier
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Précision dénominationatelier d'horlogerie
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Appellationsateler d'horlogerie Prêtre
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Destinationsmaison
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Parties constituantes non étudiéesatelier de fabrication, logement, étable, grange, cantine, garage, rigole d'alimentation, rampe d'accès, jardin potager, parc, cour
Dessinée sur le plan cadastral de 1832 (B 30), la ferme appartient alors au tanneur Xavier Daigney (1776-1846). Celui-ci la reconstruit en 1835 (date portée sur un linteau avec les initiales XD), après sa destruction lors de l’incendie du village dans la nuit du 19 au 20 mars 1834. Daigney est aussi propriétaire du petit battoir d’écorces voisin (B 147), dont la roue hydraulique verticale est établie sur le ruisseau du Fondereau au confluent de ce dernier avec le Dessoubre. Ce battoir est mitoyen d’une forge (B 146), aussi dotée d’une roue hydraulique, propriété de la veuve et des héritiers d’Alexandre Simon. Un Simon avait pris en 1547 à cens le moulin du sacristain de Vaucluse (par la suite dit moulin banal) et la même famille fournit au 18e siècle plusieurs des maîtres cloutiers de Rosureux (avec les Pêcheur, Robert, etc.). Victor Daigney (1811 ou 1812- ?) succède à son père et achète vers 1847 la forge à François Bourgeat, qui en est propriétaire depuis 1841 environ.
Les biens de Daigney sont partagés en 1852 ou 1853 : une partie de la ferme échoit à Marie Josephte Joly, veuve de son frère Jean-Baptiste (décédé en 1852), qui se remarie en 1853 avec Chrysostome Pêcheur (François Chrysostome, 1817-1858). Cette partie est restée dans la famille Pêcheur jusqu’à nos jours. Le reste de la propriété est acquis par le mécanicien et horloger Lucien Prêtre. L’Annuaire du Doubs de 1852 reflète d’ailleurs cette partition dans sa statistique de l’utilisation des rivières et ruisseaux. Il recense l’établissement de Pêcheur (en amont de la forge) - un moulin à blé à deux paires de meules, une scie monolame ("1 feuille de scie verticale") et une ribe, actionné par deux roues hydrauliques -, avec cette observation : "pas de chômage. 10 000 fr. d’affaires par an". A propos de celui de Prêtre : "forge de taillanderie, atelier de construction, machine à battre (4 roues)", avec pour observation : "quelque chômage. 4 000 fr. d’affaires par an".
Lucien Prêtre (Pierre Ignace dit Lucien, 1813-1884) est le fils de Théophile Prêtre (1782-1842), cultivateur à Narbief à partir de 1800 environ mais aussi fabricant de mouvements d’horloges monumentales. Associé avec Ferréol Guillemin (vers 1779-1839), il réalise des mouvements "cage fer" en fer forgé (l’un d'entre eux est encore visible à Voillans). Théophile se consacre à partir de 1810 à la fabrication des horloges, au Bizot. Pour agrandir son affaire et bénéficier d’une force motrice permettant de mettre en jeu ses machines, Lucien la transfère donc au milieu du siècle dans la ferme Daigney, qui lui sert d’habitation, et dans la forge de taillanderie attachée. Il modifie les bâtiments : le battoir vers 1857 et la ferme vers 1876 (d’après la matrice cadastrale), la forge en 1865 (date portée sur un linteau avec les initiales P et CIL).
Ses fils Asther (Asther Joseph Théophile, 1844-1919), marié en 1877 avec une nièce de Chrysostome Pêcheur, et César (Benjamin Alix César, 1846-1877) le rejoignent dans l’entreprise. Au décès de César (à 31 ans), Asther se trouve seul à la tête de l’affaire, qu’il développe tout en employant certainement au maximum une dizaine de personnes. La forge accueille à l’étage l’atelier, avec un établi continu derrière chaque rangée de fenêtres, tandis que la ferme abrite le travail de précision (à l’étage), soit la fabrication des cadrans (fixés sur un support en bois fruitier), le réglage et les finitions, ainsi que l'habitation d'Asther (côté rivière) et une salle à manger pour les ouvriers (côté rue).
Une brochure de la société Asther Prêtre Fils, éditée dans le dernier quart du 19e siècle, énumère la production : "horloges d’églises, hôtels de ville, usines, chemin de fer, collèges, mairies ; régulateurs de précision, compteurs et machines diverses, fentes d’engrenages, instruments de précision". Production vendue sur le marché national (Doubs, Haute-Saône, Jura, Saône-et-Loire, Vosges, Haut-Rhin, Vaucluse, Gard, Hérault, Lot, Puy-de-Dôme, Haute-Loire, Cantal et Aveyron) et en Suisse (mais aussi en Espagne, en Amérique du Sud, etc.). Mettant en avant calculs, "application la plus rigoureuse des principes de la mécanique et de l’horlogerie" et "machines spéciales" pour la fabrication (travaillant avec une précision de l’ordre du centième de millimètre), il explique utiliser bronze, acier trempé, fer et fonte. Cette dernière est fournie par une fonderie de Seloncourt tandis que les cadrans émaillés viennent de Morez, des entreprises Malfroy puis Renaud (ils peuvent aussi être en fer peint ou en verre). Les roues hydrauliques ont certainement déjà laissé la place à une turbine.
A Asther succèdent ses deux fils : Lucien (Lucien Jules Asther, 1891-1937) et César (Paul César, 1895-1976), mais ce dernier s’établit rapidement cultivateur, travaillant pour l’horlogerie "sur la fenêtre" uniquement. Lucien poursuit donc l’entreprise, reprise par ses deux fils : Henri (1912-1984) et Robert (1916-2009). Le premier s’oriente vers la mécanique générale et le dépannage des machines de scierie puis liquide l’atelier, arrêté lors de la Deuxième Guerre mondiale, tandis que le deuxième part travailler à Vélars-sur-Ouche (Côte-d’Or) dans la fonderie de cloches d’Adolphe Farnier (il démarrera en 1950 sa propre affaire d’horlogerie à Cour-Saint-Maurice : voir en annexe). Les bâtiments ont depuis été convertis en habitation.
Dessinée sur le plan cadastral de 1832 (B 30), la ferme appartient alors au tanneur Xavier Daigney, aussi propriétaire à Longevelle-lès-Russey, qui la reconstruit en 1835 (date portée sur un linteau avec les initiales XD), après sa destruction lors de l’incendie du village dans la nuit du 19 au 20 mars 1834. Il est aussi propriétaire du petit battoir d’écorces voisin (B 147), sur le ruisseau du Fondereau. Victor Daigney, qui succède à son père, achète vers 1847 la forge mitoyenne du battoir (B 146), propriété des héritiers d’Alexandre Simon puis de François Bourgeat. Ses biens sont partagés en 1852 ou 1853 : une partie de la ferme échoit à Marie Josephte Joly, veuve de son frère Jean-Baptiste (décédé en 1852), qui se remarie en 1853 avec Chrysostome Pêcheur (François Chrysostome, 1817-1858). Cette partie est restée dans la famille Pêcheur jusqu’à nos jours. Le reste de la propriété est acquis par le mécanicien et horloger Lucien Prêtre. L’Annuaire du Doubs de 1852 reflète d’ailleurs cette partition dans sa statistique de l’utilisation des rivières et ruisseaux. Il recense l’établissement de Pêcheur (en amont de la forge) - un moulin à blé à deux paires de meules, une scie monolame ("1 feuille de scie verticale") et une ribe, actionné par deux roues hydrauliques - et celui de Prêtre - "forge de taillanderie, atelier de construction, machine à battre (4 roues)".
Lucien Prêtre (Pierre Ignace dit Lucien, 1813-1884) est le fils de Théophile Prêtre (1782-1842), cultivateur à Narbief à partir de 1800 environ mais aussi fabricant de mouvements d’horloges monumentales, qui réalise des mouvements "cage fer" en fer forgé. Théophile se consacre à partir de 1810 à la fabrication des horloges, au Bizot. Pour agrandir son affaire et bénéficier d’une force motrice, Lucien la transfère donc au milieu du siècle à Rosureux, dans la ferme Daigney (qui lui sert d’habitation) et dans la forge de taillanderie attachée. Il modifie les bâtiments : le battoir vers 1857 et la ferme vers 1876 (d’après la matrice cadastrale), la forge en 1865 (date portée sur un linteau avec les initiales P et CIL). Ses fils Asther (1844-1919) et César (1846-1877) le rejoignent dans l’entreprise. Au décès de César, Asther se trouve seul à la tête de l’affaire, qu’il développe tout en employant certainement au maximum une dizaine de personnes. La forge accueille à l’étage l’atelier, avec un établi continu derrière chaque rangée de fenêtres, tandis que la ferme abrite le travail de précision (à l’étage), soit la fabrication des cadrans, le réglage et les finitions, ainsi que l'habitation d'Asther (côté rivière) et une salle à manger pour les ouvriers (côté rue). A Asther succèdent ses deux fils : Lucien (1891-1937) et César (1895-1976), mais ce dernier s’établit rapidement cultivateur, travaillant pour l’horlogerie "sur la fenêtre" uniquement. Lucien poursuit donc l’entreprise, reprise par ses deux fils : Henri (1912-1984) et Robert (1916-2009). Le premier s’oriente vers la mécanique générale et le dépannage des machines de scierie puis liquide l’atelier, arrêté lors de la Deuxième Guerre mondiale, tandis que le deuxième part travailler à Vélars-sur-Ouche (Côte-d’Or) dans la fonderie de cloches d’Adolphe Farnier (il démarrera en 1950 sa propre affaire d’horlogerie à Cour-Saint-Maurice). Les bâtiments ont depuis été convertis en habitation.
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Période(s)
- Principale : 2e quart 19e siècle , porte la date
- Principale : 3e quart 19e siècle , porte la date
- Principale : 4e quart 19e siècle , daté par source
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Dates
- 1835, porte la date
- 1865, porte la date
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Auteur(s)
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Auteur :
maître d'oeuvre inconnumaître d'oeuvre inconnuCliquez pour effectuer une recherche sur cette personne.
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Auteur :
Le site comporte trois bâtiments principaux : à l'ouest celui reconstruit en 1835 par Daigney, mitoyen au nord celui ayant abrité une partie des installations et le logement Prêtre, séparée à l'est l'ancienne forge modifiée en 1865. Ces bâtiments ont des murs en moellons calcaires enduits, avec essentage de planches dans les pignons, et des toits à longs pans et couverture de tuiles mécaniques. L'ancienne forge est formée de deux corps perpendiculaires, à étage carré et étage en surcroît, dont le toit associe pignon couvert au sud et à l'est à une demi-croupe à l'ouest. Les murs de l'étage en surcroît du corps orienté nord-sud sont en lattis de plâtre ; l'étage carré de ce corps est largement ouvert d'une rangée de fenêtres multiples vers l'ouest et de fenêtres horlogères à l'est. L'habitation Prêtre, dont les murs nord et ouest ont été décrépis, est coiffée d'un toit à croupes et comporte sous-sol, étage carré et comble. La ferme, qui a un pignon couvert à l'est et une demi-croupe à l'ouest, compte deux étages carrés et un comble. Habitation et ferme sont chacune partiellement desservies par une rampe d'accès (levée de grange) au sud, côté où la deuxième présente une belle galerie en bois.
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Murs
- calcaire moellon enduit partiel
- essentage de planches
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Toitstuile mécanique
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Étages2 étages carrés, étage de comble
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Élévations extérieuresélévation à travées
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Couvertures
- toit à longs pans pignon couvert
- croupe
- demi-croupe
- noue
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Escaliers
- escalier dans-oeuvre
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Autres organes de circulationrampe d'accès
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Énergies
- énergie hydraulique produite sur place
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Typologiesbaie horlogère ; baie multiple
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Statut de la propriétépropriété privée
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Référence Patriarcheprésent sur POP
- (c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
- (c) Ministère des Finances, Service du cadastre
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Pêcheur, Jacques et Marie-Christine. Propriétaires d'une partie de l'ancienne ferme Daigney. Rosureux.
2019 -
Prêtre, Christian. Fils de Robert Prêtre et père de Nicolas Prêtre, dirigeant de la société Prêtre et Fils.
2 août 2018 -
Prêtre, Jacky. Fils d’Henri Prêtre et cousin de Christian Prêtre. Avanne-Aveney.
16 mai 2019
Documents d'archives
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Archives départementales du Doubs : 3 P 505 Cadastre de la commune de Rosureux, 1832-1934.
- 3 P 505 : Atlas parcellaire (5 feuilles), 1832.
- 3 P 505/1 : Registre des états de sections, [1833].
- 3 P 505/2 : Matrice cadastrale des propriétés bâties et non bâties, [1834-1913].
- 3 P 505/3 : Matrice cadastrale des propriétés bâties, 1882-1910.
- 3 P 505/4 : Matrice cadastrale des propriétés non bâties, 1914-1934.
- 3 P 505/5 : Matrice cadastrale des propriétés bâties, 1911-1934.
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Archives de la société Prêtre à Mamirolle, 19e-21e siècles.
Notamment un registre d'inventaire intitulé "Horloges posées par Prêtre Asther Fils, Horloger Mécanicien à Rosureux (Doubs) 1885".
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Statistique de l'utilisation de la force motrice des eaux. Annuaire départemental du Doubs pour 1852, 40e année, 1851, p. 103-158.
P. 134. -
Fabrique spéciale d’horloges publiques Prêtre Asther Fils [...]. - Besançon : Impr. Abel Cariage, s.d. [4e quart 19e siècle]. 13 p. : 1 pl. dépl. h.t. (20,5 x 28 cm) ; 20,5 cm.
-
En-tête de la Fabrique spéciale d'Horloges monumentales Prêtre Fils, constructeur à Rosureux (Doubs), limite 19e siècle 20e siècle.
-
Fabrique d’horloges monumentales Prêtre & ses Fils [dépliant publicitaire]. - S.l. : s.n., s.d. [1er quart 20e siècle]. 42 x 27 cm.
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Fabrique d’horloges monumentales Prêtre Père & Fils [affiche publicitaire]. - Paris : Impr. Grandperrin, s.d. [1909]. 42 x 27 cm.
Bibliographie
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Boiteux, Marie-Claire. Les rouages de l’excellence. L’Est républicain, édition du Doubs, samedi 25 mars 2017, ill.
-
Courtieu, Jean (dir.). Dictionnaire des communes du département du Doubs. - Besançon : Cêtre, 1982-1987. 6 t., 3566 p. : ill. ; 24 cm.
T. 5, 1986, p. 2774, 2776-2777 : ill. -
Prêtre, Christian. Prêtre et Fils : sept générations d’horlogers mécaniciens. In : L’horlogerie, fille du temps : actes du cycle de conférences dans le massif du Jura, septembre 2016-juin 2017. - Besançon : Association française des Amateurs d’Horlogerie ancienne, 2017, p. 109-114 : ill.
-
Vuillet, Bernard. Entre Doubs et Dessoubre en 1900. Tome I, Le canton du Russey, d'après la collection de cartes postales de Georges Caille. - Les Gras : B. Vuillet, 1982. 360 p. : cartes postales ; 31 cm.
P. 324-329 : ill.
Documents figurés
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Horloge à sonnerie des quarts et heures système Prêtre Fils, dessin imprimé, s.n., s.d. [4e quart 19e siècle], 20,5 x 28 cm. Pl. dépl. placée en tête d’une notice intitulée : Fabrique spéciale d’horloges publiques Prêtre Asther Fils [...]
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[Horloge d’Arc-sous-Cicon], photographie, s.n., s.d. [limite 19e siècle 20e siècle].
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[Portrait de Lucien Prêtre (1813-1884)], photographie, par E. Gartheis au Locle (Suisse), s.d. [4e quart 19e siècle].
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[Carte d’exposant d’Asther Prêtre à l’Exposition universelle de 1878 à Paris], photographie, s.n., 1878.
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[Asther Prêtre et un deuxième personnage devant l’atelier], photographie, s.n., s.d. [vers 1895 ?]
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[Asther Prêtre en famille, avec un personnage non identifié, devant sa maison], photographie, s.n., s.d. [vers 1895 ?]
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[Vue d’ensemble de l’atelier], photographie, par Jouffroy à Ornans, s.d. [1er quart 20e siècle ?]
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[Portrait de Lucien Prêtre (1891-1937)], photographie, s.n., s.d. [1ère moitié 20e siècle].
Documents multimédia
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Monneret, Christian. Recherches généalogiques. Accessibles en ligne sur le site de Geneanet : http://gw.geneanet.org/
Familles Daigney, Guillemin, Pêcheur, Prêtre à Rosureux (consultation : 3 mai 2019). -
Prêtre, Alain. Recherches généalogiques. Accessibles en ligne sur le site de Geneanet : http://gw.geneanet.org/
Famille Prêtre à Rosureux (consultation : 3 mai 2019).
Annexes
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Historique de la fabrique d'horloges monumentales Prêtre et Fils
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Fabrique spéciale d’horloges publiques Prêtre Asther Fils [...], [4e quart 19e siècle]
Poupard, Laurent. Chercheur au service Inventaire et Patrimoine de la Région Bourgogne-Franche-Comté, 1987-
Poupard, Laurent. Chercheur au service Inventaire et Patrimoine de la Région Bourgogne-Franche-Comté, 1987-