Dossier thématique IA00141446 | Réalisé par
Poupard Laurent (Contributeur)
Poupard Laurent

Poupard, Laurent. Chercheur au service Inventaire et Patrimoine de la Région Bourgogne-Franche-Comté, 1987-

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  • patrimoine industriel
taillanderies de Franche-Comté
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  • (c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine

Dossier non géolocalisé

  • Aires d'études
    Franche-Comté

Directement issue du martinet, dont elle reprend une partie de l’équipement (marteau hydraulique et fournaise), la taillanderie n’est parfois que l’un des ateliers d’une usine métallurgique bien plus importante. Elle est dédiée à la production des outils tranchants, notamment des faux : une enquête statistique de 1744 mentionne ainsi explicitement que 20 des 42 martinets recensés dans le Doubs fabriquent des faux ; ils sont deux sur les dix que compte le Jura mais il n’y en a pas en Haute-Saône, où six martinets sont alors signalés.

Une industrie des 18e et 19e siècles

Article délicat à réaliser (leur fabrication est un travail très technique, supposant la maîtrise du fer et de l’acier au cours d’un processus organisé en neuf passes et dix-sept chauffes), les faux sont au 18e siècle fréquemment importées, surtout d’Allemagne et d’Autriche (célèbre pour l’acier de Styrie). Les rares taillanderies françaises se concentrent dans le Doubs, les Ardennes, en Alsace et en Isère. Désireux de s’affranchir de cette dépendance, le gouvernement révolutionnaire puis l’administration napoléonienne soutiennent le développement des recherches, portant spécialement sur la fabrication de l’acier. En 1816, une manufacture est créée à Toulouse, dont la production atteint 100 000 faux trois ans plus tard. Les taillanderies se multiplient dans la première moitié du 19e siècle tandis que se généralise l’usage de la faux, permettant un gain de rapidité spectaculaire : il ne faut plus que 25 heures pour moissonner un hectare de blé contre 100 avec la faucille (mais trois seulement avec les faucheuses moissonneuses de 1900 !).

La production d’une taillanderie ne se limite cependant pas à cet article et comprend haches et cognées, herminettes, serpes et volants, faucilles, houes, binettes et serfouettes, bêches, pics et pelles, pioches, coutres et socs de charrue, etc. Le tout décliné en une multitude de formes et de dimensions afin de répondre aux usages de chaque contrée.

La plupart du temps, la taillanderie est une structure artisanale ou semi-artisanale, à l’origine implantée en montagne, dans le massif du Jura. Ainsi se signalent dans le Haut-Jura les établissements de Morez (celui créé en 1706 par Jean-Baptiste Dolard ou cet autre appartenant en 1812 à la famille de Lamartine), de Syam (tenu au 18e siècle par la famille Pery qui, ayant bénéficié d’un « transfert de technologie » de taillandiers du Tyrol, produit 15 000 à 18 000 faux en 1763), de Sirod (fondé par Charpaux en 1858) et de Doucier (8 000 à 10 000 faux en 1806). En 1812, le Haut-Doubs concentre 36 des 39 taillanderies recensées dans le département, avec pas moins d’une quinzaine dans le val de Mouthe et les environs de Jougne, et une demi-douzaine dans la zone de Pontarlier. Les progrès de l’agriculture et la maîtrise de la production de l’acier conduisent, dans la première moitié du siècle, à une multiplication des ateliers, qui s’installent aussi en plaine : les 47 taillanderies signalées dans le Doubs en 1851 sont disséminées sur la quasi-totalité du département à l’exception des cantons limitrophes de la Haute-Saône. Six ou sept sont localisées dans ou à proximité des vallées de la Loue (vers Ornans) et du Lison (Nans-sous-Sainte-Anne).

Leur activité diminue cependant à la fin du 19e siècle, alors que l’agriculture se mécanise et que la production des outils taillants s’industrialise dans quelques usines, notamment à Corravillers en Haute-Saône. La plupart disparaissent donc - dans un mouvement encore accentué par la généralisation des outils en fer fondu et non plus forgé -, certaines, comme celle des Philiponet à Indevillers, en conséquence de la Première Guerre mondiale (notons que la production française de faux connaît à la veille de ce conflit son apogée avec un million de pièces). Dans le Doubs, les deux dernières taillanderies à fermer sont en 1969 celle des frères Philibert à Nans-sous-Sainte-Anne et, à l’extrême fin du 20e siècle, celle de Claude Vuillemin à Grand’Combe-Châteleu. La fabrication cesse dans le Jura en 1973 à Sirod, en Haute-Saône en 2004 à Corravillers.

Le val de Morteau

Le val de Morteau constitue l’un des berceaux de la taillanderie franc-comtoise, avec sept établissements recensés en 1744 à Grand’Combe-Châteleu et aux Gras, et trois à Montlebon.

Trois taillanderies sont connues aux Gras, aux mains des familles Nicod et Bobillier. Celle du Dessus de la Fin, qui se signale par un linteau gravé d’une faux et de la date 1571, est exploitée au 18e siècle par les Nicod (aussi établis à Maisons-du-Bois-Lièvremont au début du siècle suivant). En 1797, Pierre François Nicod fabrique 12 000 faux, le double de la production de son beau-frère, Pierre Bobillier, installé juste en amont. Dans sa demande en autorisation de maintien en activité du 27 août 1812, il précise : « Cette usine consiste en un seul bâtiment ne faisant qu’un avec celui d’habitation, et où se trouvent établis trois feux, et cinq petits martinets propres à tirer, élargir et finir les faux ; lesquels martinets se meuvent alternativement et à volonté, par un seul et même cylindre, ou arbre à une roue ; deux autres roues font mouvoir les soufflets de trois fournaises. Le fer et l’acier qui sont les seules matières à traiter, se tirent, savoir : le fer des forges des Départements du Doubs et de la Haute-Saône, et l’acier vient de l’Allemagne par la voie du commerce [...] Comme l’usine ne roule que par le moyen de l’eau du ruisseau des Gras, et du bief de la Dreuve, dont le confluant est au dessus et très-proche de l’usine, et qui ne sont l’un et l’autre alimentés en grande partie que par la fonte des neiges, cette usine n’est roulante qu’environ quatre mois de l’année, à diverses reprises, sur tout encore en raison du peu de pente qu’offre le court espace de terrain qui sépare cette usine de l’usine supérieure. » (Archives départementales du Doubs : 7 S 55, 1805-1919).

Cette usine supérieure, fondée en 1506 et rebâtie en 1799 par Etienne François Bobillier, réunit en 1812 moulin à blé, scierie et taillanderie contiguë à l’habitation, contenant le même équipement que la précédente et « roulant » aussi peu de temps qu’elle. Toutes deux passent aux deux fils d’Etienne François, Isidore et Sylvain, et en 1823 consomment 9,5 t de « fer fin taillandier » des forges de la Ferrière-sous-Jougne, 3,5 t d’acier de Styrie et 1 000 stères de bois de sapin pour produire 14 000 faux (dont 8 000 pour la première) avec 26 personnes. La fabrication y cesse dans la deuxième moitié du 19e siècle.

Dans la commune de Grand’Combe-Châteleu, à quelques centaines de mètres en aval sur le même ruisseau du Théverot, se trouve le martinet de la Malepierre. Attesté avant 1563, il est reconstruit dans la décennie 1720 pour Etienne François Bobillier, également à l’origine de la ferme voisine. Il associe un siècle plus tard moulin, scierie, forge et taillanderie (équipée de trois feux et quatre martinets mis en mouvement par deux roues hydrauliques en-dessus). La production est de 7 000 faux en 1819 (pour moitié exportées en Suisse), 16 000 en 1834 alors que la société Célestin Bobillier et Frères compte 16 personnes et exploite la marque J.A.C.B. (pour Joseph Aimé Célestin Bobillier). Elle fonctionne jusqu’au début des années 1920.

Au village, Amédée Vuillemin fonde en 1883 son affaire sur un site constitué d’une ferme et d’un atelier rebâtis en 1876 par son père, Louis. Amédée y développe taillanderie (achetant une partie du matériel de la Malepierre) et tournerie (fabriquant notamment des manches d’outils et des tabourets à vis pour les horlogers). L’établissement manque souvent d’eau et Amédée l’a surnommé : « Ecoute s’il pleut » car en cas de pluie, le bassin se remplit et il faut sans attendre gagner son poste de travail. Un moteur diesel est donc installé en 1897-1898, remplacé en 1917 par un moteur électrique. En 2016, le métal et le bois sont toujours travaillés sur le site par les descendants d’Amédée : le premier par Benoît, ferronnier d’art, qui a conservé les machines de la taillanderie, et le second par son cousin Laurent, ébéniste.

Des taillandiers se sont aussi installés dans la commune voisine : Montlebon. La carte de Cassini, gravée en 1762, figure treize établissements hydrauliques sur le ruisseau de la Douve, dont un certain nombre de forges et martinets créés au 16e siècle. En 1821, dans le vallon de Derrière le Mont, trois d’entre eux sont des taillanderies (autant qu’en 1744), appartenant à Vermot-Desroches, Nicod et Binétruy, et occupant ensemble huit à dix personnes ; deux fabriquent essentiellement des faux (environ 8 000 par an) et le troisième « des instruments aratoires et de la grosse taillanderie » (14 t par an). Il n’en reste plus qu’un en activité au début des années 1880, qui disparaît avant la Première Guerre mondiale.

Les vallées de la Loue et du Lison

La Loue et le Lison, un de ses affluents, ont animé plusieurs taillanderies aux 19e et 20e siècles.

A Mouthier-Haute-Pierre, nous retrouvons la même famille Nicod déjà rencontrée aux Gras, mais via une branche établie à Jougne. En 1924 en effet, la veuve du taillandier Arthur Nicod transfère son activité de la Ferrière-sous-Jougne dans l’ancien moulin Maugain, à Mouthier, rebâti en 1918 par l’architecte Paul Robbe. Reprise peu après par Georges Petithuguenin, l’affaire emploie une vingtaine d’ouvriers et cesse ses activités vers 1950. Quelques kilomètres en aval, à Lods, Auguste Louvrier a fait construire en 1832 une usine, actionnée par trois roues hydrauliques verticales (roues « pendantes »), à la fois moulin, scierie, taillanderie (à deux martinets) et atelier de construction mécanique (Louvrier a fait breveter en 1847 une batteuse à grains mue par la force animale). La taillanderie est détruite dans les années 1880. Citons aussi le martinet de Hauterive, fondé vers 1700 à Vuillafans et converti au milieu du 19e siècle à la fabrication du fil de fer et des clous.

L’établissement le plus célèbre est sans conteste celui de Nans-sous-Sainte-Anne. Signalé dès 1276 à la source du Lison, il est transformé en taillanderie en 1798 par Martinien Lagrange, auparavant taillandier aux forges de Vuillafans. C’est vraisemblablement son fils Pierre François qui le transfère en 1828 au Creux de la Doye, sur le ruisseau de l’Arcange, où vingt ans plus tard, équipé de « quatre tournants entraînant deux ordons de martinet, des pistons et une meule », il emploie six ouvriers.

Il est acheté en 1865 par Louis Joseph Philibert, issu d’une famille de taillandiers de Grand’Combe-Châteleu (travaillant pour les Bobillier) également passée par Jougne. Dans les années 1880 et 1890, la famille Philibert rénove totalement le site : atelier de fabrication à quatre gros marteaux actionnés par deux roues hydrauliques en-dessus, soufflet à double effet adapté aux quatre foyers de forge, machines modernes, turbine et dynamo de Gramme fournissant l’électricité utilisée pour l’éclairage, etc. (les moteurs seront modernisés au début des années 1920). Entre 1895 et 1914, l’usine compte jusqu’à 20 ouvriers et produit en moyenne 20 000 faux et 10 000 outils taillants par an, diffusés dans la France entière et en Algérie ; elle peut fabriquer 180 faux et 87 outils taillants différents, déclinés en plus de 540 variantes. la taillanderie est exploitée par les petits-fils de Louis Joseph - Léonard, Auguste et Emile - jusqu’en 1969 (la production n’est alors plus que de 3 000 faux). Transformée en musée en 1978 et ouverte à la visite, elle est classée monument historique en 1984.

Le secteur de Baume-les-Dames et Sancey

Toujours dans le Doubs, des taillanderies se sont aussi installées au 19e siècle dans les environs de Baume-les-Dames et Sancey-le-Long. Près de Baume, les eaux du Cusancin ont actionné les martinets de celle de Pont-les-Moulins, active durant la première moitié du 20e siècle sous la direction de la famille Boussard. « Forges, taillanderie en tous genres et sur modèles. Spécialité de haches, serpes et pioches. Charrues et outils de vignes et de jardins. Force électrique - Lumière » sont signalés sur un papier à en-tête. En amont sur la rivière, à Guillon-les-Bains, Louis Muhr transforme en taillanderie un moulin acquis en 1851. L’établissement se transmet de père en fils jusqu’au dernier taillandier Roger Muhr, lequel cesse son activité vers 1973. L’atelier, à l’étage de soubassement, se composait de deux martinets, d’une presse, d’une meule à polir et de diverses petites machines (ferraillées vers 1976), animées par une turbine tandis qu’une roue hydraulique en-dessous actionnait le soufflet en bois.

A Sancey, à la fin de la décennie 1840, le moulin de Chaucheux cède la place à l’usine des Calots, taillanderie établie par Pierre Victor Dupré. L’établissement est repris en 1881 par les frères Renaud, Justin et Emile François, forgerons mécaniciens des Fontenelles. Il est alors converti à la fabrication des pompes à eau manuelles, activité déjà pratiquée aux Fontenelles, puis devient une scierie au décès de Marcel Renaud.

En Haute-Saône

Peu nombreuses, les taillanderies de Haute-Saône sont de dimension industrielle.

Celle de Corravillers est autorisée en 1856. Due à l’entrepreneur vosgien Pierre Clément, de Remiremont, et dotée de trois turbines, elle est progressivement agrandie de 1875 à 1905. Elle cesse la fabrication des faux avant la Première Guerre mondiale mais poursuit, avec une centaine de personnes en 1918, celle des outils agricoles (pioches, pelles, pics, râteaux, houes, etc.), en grande partie vendus dans les colonies françaises. L’usine est reprise au milieu des années 1990 par la société Forge de Magne, qui y cesse en 2004 la fabrication (outils de jardin), transférée dans ses ateliers de Douzy dans les Ardennes. Le site est actuellement à l’abandon.

Pour sa part, l’usine de taillanderie de Pesmes date de 1893 : l’industriel dolois Auguste Chrétien installe une fabrique d’outils sur le site des forges, autorisées en 1660 et dont le dernier haut fourneau a été arrêté en 1874. Connue en 1929 sous le nom de Manufacture générale franc-comtoise, l’affaire est reprise en 1930 par René Amstutz, qui a ouvert en 1919 une fabrique de pinces à Villars-sous-Dampjoux. Amstutz y transfère en 1936 une partie des équipements des anciennes forges de Fraisans, peut-être dans les ateliers couverts de sheds bâtis dans ce quart de siècle. La production comprend sécateurs, échenilloirs et cisailles à haies mais aussi du petit outillage : tenailles, cisailles, burins, marteaux divers, tournevis, pinces coupantes, etc. L’usine emploie une cinquantaine de personnes après la Deuxième Guerre mondiale mais seulement douze lorsque la Société des Forges de Pesmes dépose son bilan en 1973. Acquise en 1976 par la Société ardennaise des Forges et Taillanderie de la Givonne, elle redémarre avec 34 personnes et produit 200 t d’outils en 1980. Devenue L’Outillage franc-comtois en 1991, elle cesse ses activités deux ans plus tard. Le site est alors repris par la commune et un musée y ouvre ses portes en 1998.

  • Période(s)
    • Principale : 18e siècle, 19e siècle, 20e siècle

Documents d'archives

  • Cartes publicitaires, papiers à en-tête et tarifs de l'entreprise Vuillemin, photographies et cartes postales, 2e moitié 19e siècle et 20e siècle

    Collection particulière : Benoît Vuillemin, Grand'Combe-Châteleu

Bibliographie

  • Brelot Claude-Isabelle ; Mayaud Jean-Luc. L'industrie en sabots. La taillanderie de Nans-sous-Sainte-Anne (Doubs). Paris : Garnier Frères, 1982, 277 p.

  • Claerr-Roussel, Christiane ; Poupard, Laurent ; Mairot, Philippe [et al.]. Les forges de Syam - Jura / Direction régionale des affaires culturelles de Franche-Comté, Service régional de l'Inventaire général ; photogr. Yves Sancey. - Paris : Erti, 1996. 64 p. : ill. ; 30 cm. (Images du patrimoine ; 156).

  • Favereaux, Raphaël. Patrimoine industriel de la Haute-Saône / Région Franche-Comté, Direction de l'Inventaire du Patrimoine ; photogr. Jérôme Mongreville ; cartogr. André Céréza. - Lyon : Lieux Dits, 2010. 112 p. : ill. ; 30 cm. - (Images du patrimoine ; 261)

  • Favereaux, Raphaël ; Poupard, Laurent. Patrimoine industriel : Jura / Direction régionale des Affaires culturelles de Franche-Comté, Service régional de l'Inventaire général ; photogr. Jérôme Mongreville, Yves Sancey ; cartogr. Christophe Batardy. - Besançon : Association pour la Promotion et le Développement de l'Inventaire comtois, 1998. 360 p. : ill., cartes ; 27 cm. (Indicateurs du patrimoine).

  • Favereaux, Raphaël ; Poupard, Laurent. Franche-Comté, terre d'industrie et de patrimoine / Région Bourgogne-Franche-Comté, Service Inventaire et Patrimoine ; photogr. Sonia Dourlot, Jérôme Mongreville, Yves Sancey ; dessins Mathias Papigny, Aline Thomas ; cartogr. Pierre-Marie Barbe-Richaud, André Céréza. Lyon : Lieux Dits, 2021. 416 p. : ill. ; 30 cm.

    P. 131-141 : ill.
  • Garneret, Jean. Le martinet et la faux en Franche-Comté. Actes du colloque sur l'artisanat (Besançon, 10-12 juin 1960). - Annales littéraires de l'Université de Besançon, vol. 45, Les Belles Lettres, 1961, p. 67-85

  • Indicateur Fournier du Doubs 1926.

  • Recensement des usines comtoises en 1744. In : Revue d’histoire de la sidérurgie, t.2, 1961, p. 275

  • Tresse, René. Le développement de la fabrication des faux en France de 1786 à 1827 et ses conséquences sur la pratique des moissons. In : Annales. Economies, sociétés, civilisations, 10ᵉ année, n° 3, 1955, p. 341-358. (doi : https://doi.org/10.3406/ahess.1955.2455)

  • Vernus, Michel. La faux. De l'outil au symbole. - Salins-les-Bains : Musées des Techniques et Cultures comtoises, 2005. 67 p. : ill. ; 30 cm. (Paroles d’objets)

Documents figurés

  • Plan géométrique d'un terrain contencieux entre messire Maximilien Emmanuel comte de Vaterville, baron et seigneur du Château Vilain, demandeur, contre Pierre François Pery, demeurant à Sciam, deffendeur [...], dessin (plume, lavis), par l'arpenteur royal Baronnet, 15 juin 1763, échelle de 10 perches de 9 pieds et demi chacune

    Archives départementales du Doubs, Besançon : Atlas des Eaux et Forêts (non coté)
  • Etablissements Léon Clément et Cie. Papier à en-tête, 1938.

    Archives départementales de la Haute-Saône, Vesoul : 5 M
Date(s) d'enquête : 1988; Date(s) de rédaction : 2020
(c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
Poupard Laurent
Poupard Laurent

Poupard, Laurent. Chercheur au service Inventaire et Patrimoine de la Région Bourgogne-Franche-Comté, 1987-

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