Jérôme Mongreville, photographe. Région Bourgogne-Franche-Comté, Service Inventaire et Patrimoine, 1983-
- enquête thématique régionale, salles de spectacle de Bourgogne-Franche-Comté
- (c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
Dossier non géolocalisé
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Aire d'étude et canton
Bourgogne-Franche-Comté
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Commune
Besançon
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Adresse
60-62 Grande Rue
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Cadastre
2023
AB
191
;
1835
K
688, 726, 727, 729, 730, 730 bis
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Dénominationsmaison, grand magasin, cinéma
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Appellationsgrand magasin Au Bon Marché, cinéma Vox
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Parties constituantes étudiées
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Parties constituantes non étudiéescour
Le Bon Marché
Le magasin Au Bon Marché est créé dans la deuxième moitié du 19e siècle par Camille Miot (Sylvain Camille, 1832-1908). L’Annuaire du Doubs de 1866 signale Miot comme marchand de nouveautés aux 62 et 64 Grande Rue tandis que celui de 1878 entérine l’extension de son affaire à la maison au n° 60 (achetée vers 1876). Miot réutilise donc trois bâtiments du 18e siècle, dont deux sont datés : la maison Hugon au n° 62 (1752) et l’hôtel Foraisse au n° 64 (rebâti en 1751 et agrandi en 1756). C’est certainement vers cette époque, à la fin des années 1870, qu’il fait construire pour son grand magasin une vaste halle à l’arrière des bâtiments. Le 18 mars 1878, il s’associe avec Auguste Isidore Roger, négociant à Besançon, pour créer une société en nom collectif dont l’objet est l’ « exploitation d’un commerce de nouveautés ». En juillet 1887, cette affaire, dont la raison commerciale et la signature sociale sont C. Miot et Roger, est prorogée jusqu’au 1er juillet 1888. Le capital est de 480 000 F, fournis à parts égales par les deux associés, et le siège est établi aux 60, 62 et 64 Grande Rue. Nouvelles prorogations par la suite, notamment le 27 juin 1894 pour la période s’étendant du 1er juillet 1894 au 1er juillet 1900.
En 1895, un article intitulé « Une visite aux magasins du "Bon Marché" à Besançon » décrit une entreprise prospère (« En 1866, cette maison réalisait environ 100,000 francs d’affaires par an, actuellement ce chiffre est plus que décuplé ! »), organisée en 22 rayons : ameublement, literies, tapis, lainages, bonneterie, costumes et confection, tapisserie, etc. Le journaliste ajoute : « Après n’avoir occupé que deux petits magasins, elle comprend aujourd’hui trois maisons entières : les numéros 60, 62, 64 de la Grande Rue de Besançon ». Et plus loin : « Des chambres commodes sont données au personnel féminin dont les parents habitent en dehors de la ville. » L’organisation de l’entreprise est calquée sur celle du magasin Au Bon Marché parisien, créé en 1838 par les frères Videau mais, surtout, développé à partir de 1852 par les époux Aristide et Marguerite Boucicaut, qui créent le concept de grand magasin
La maison Miot et Roger disparaît par anticipation puisque le 24 août 1898 est constituée la société en nom collectif Miot et Eydoux, qui associe Camille Miot (demeurant au 104 Grande Rue) à son gendre Henri Ernest Eydoux, employé de commerce. Habitant autrefois au 46 rue de Verneuil à Paris, Eydoux emménage au 73 Grande Rue (il logera par la suite au n° 49 et finalement au n° 121 de la même rue). L’objet de l’entreprise est « l’exploitation d’un fonds de commerce de marchand de nouveautés, exploité actuellement par M. Sylvain Camille Miot seul, à Besançon, Grande Rue n° 60, 62, 64, portant l’enseigne « au Bon Marché ». Elle est créée pour 25 ans, avec pour raison et signature sociales Miot et Eydoux. Le fonds social est de 750 000 F : 250 000 F apportés par Eydoux et 500 000 F par Miot, correspondant à l’établissement de commerce (dans trois immeubles dont un - le n° 60 - lui appartient et les autres sont loués à Victor Delavelle), la clientèle et les marchandises. L’Annuaire du Doubs de 1900 mentionne en outre le n° 58, acheté par la société vers cette date. Vraisemblablement elle aussi reconstruite au 18e siècle, cette maison (K 726) et son jardin (K 727) appartenaient en 1835 pour moitié au baron François Daclin et à sa sœur Rosalie, pour moitié au docteur Joseph Pourcy.
L’acte de société est modifié le 17 mars 1903 pour entériner l’entrée dans l’affaire de Paul Miot (Alphonse Paul, 1876-1904), employé de commerce. Cette arrivée avait été envisagée dès 1898, de même que le départ de son père (qui, du fait de cette arrivée, peut se retirer à compter du 1er juillet 1907). Toutefois, Paul décède le 17 juillet 1904 et, le 5 août 1905, Camille Miot décide de cesser d’être associé en nom collectif (à compter du 1er juillet 1905) pour devenir simple commanditaire. La société change alors et passe en commandite simple avec la raison sociale Eydoux, tout en conservant l’enseigne Au Bon Marché et son implantation aux 58 à 64 de la Grande Rue. L’Annuaire du Doubs de 1910 mentionne Eydoux dans les rubriques Bonneterie, Fabricants et marchands de parapluie, Tailleurs d’habits et confections, Tailleurs et tailleuses en robes et confections, Marchands de tissus, nouveautés et rouennerie. Le Bon Marché s’étend toujours du n° 58 de la Grande Rue au n° 64. Lorsque la société est dissoute le 6 août 1926, les commanditaires sont Eydoux, sa femme et le frère de cette dernière, Louis Miot (Jean Marie Camille Louis, 1873-1930), ancien avoué près de la cour d’appel de Besançon. L’acte de dissolution mentionne que l’affaire est alors présente aux 56, 58, 60 et 62 Grande Rue et au 5 rue du Palais de Justice.
Les Nouvelles Galeries
L’établissement est racheté par les Nouvelles Galeries, installées dans l’église de l’ancien couvent des Dames de Battant (59 rue des Granges) puis en 1904 de l’autre côté de la rue, à l’emplacement de l’hôtel National (au n° 44). Cette société anonyme a été créée à Paris le 19 mai 1897 par Ariste Nicolas Canlorbe, demeurant au 14 boulevard Gambetta à Nogent-sur-Marne, sous le nom de Société française des Grands Bazars et Nouvelles Galeries réunies. Ayant son siège social au 66 rue des Archives, à Paris, et un capital initial de 7 500 000 F (15 000 actions de 500 F), elle est issue de la réunion de plusieurs affaires, dont la société des Grands Bazars réunis, fondée le 1er janvier 1892. L’un des administrateurs de la nouvelle société est le Bisontin Paul Demogé (Marc Paul François, 1861-1914), domicilié au 59 rue des Granges, fondateur à Besançon dans la décennie 1860 du Bazar parisien (qu’il liquidera en 1899). Le 20 avril 1899, l’affaire prend la raison sociale Société française des Nouvelles Galeries réunies (l’ancienne étant conservée comme sous-titre). Elle grossit rapidement d’où d’incessantes augmentations de capital, celle du 27 mars 1900 (lorsque le fonds social est porté à 30 889 000 F) accompagnée d’une nouvelle version des statuts due à deux administrateurs et négociants bisontins, le même Demogé (5 rue Charles Nodier) et Léon Charpy (59 rue des Granges). L’Annuaire du Doubs de 1910 signalait les Nouvelles Galeries aux 44 rue des Granges mais aussi au 71 Grande Rue, celui de 1925 fait état des 69 et 71 Grande Rue. En 1926, l’implantation dans cette rue correspond donc aux n° 58, 60, 62, 69 et 71 (l’annuaire de 1937 désigne les trois premiers comme une « annexe des Nouvelles Galeries »).
Le Vox et L'Est Républicain
L’ensemble immobilier est repris juste après le Deuxième Guerre mondiale par la société La République de l’Est, établie au 15 rue Proudhon, éditrice du journal du même nom dirigé avant la guerre par le marquis Leonel de Moustier. La halle du Bon Marché est convertie en cinéma en 1947 par Léon Fritz, patron de deux autres salles bisontines : le Central (59 rue des Granges) et le Rex (18 rue des Chaprais). Elle a une capacité de 1 050 places et son architecte, le parisien Edouard Lardillier, voit son projet primé au festival de Venise. Spécialisé dans les salles de spectacle (300 salles de cinéma entre 1945 et 1964), celui-ci les conçoit ou rénove celles existantes. La République de l’Est disparaît en 1957, remplacée en 1960 par Les Dépêches puis en 1973 par L'Est Républicain. Le sous-sol est transformé en 1976 lorsque sont aménagées trois nouvelles salles de cinéma (deux sous la halle et la troisième au n° 62) ; en même temps, les constructions entre les maisons et la halle sont modifiées et réunies sous un même toit en appentis. Le "complexe cinématographique U.G.C. Vox" est inauguré le 1er octobre 1976. Le Vox ferme en 2004 (les salles seront vandalisées par la suite). En 2023, le site abrite toujours les bureaux de L’Est Républicain et des commerces tandis que l’ancien cinéma Vox, propriété de la SMCI (Société Moderne pour les Commerces et les Immeubles), doit être démoli pour céder la place à des loge
Le magasin Au Bon Marché est créé dans la deuxième moitié du 19e siècle par Camille Miot (1832-1908). L’Annuaire du Doubs de 1866 signale Miot comme marchand de nouveautés aux 62 et 64 Grande Rue tandis que celui de 1878 entérine l’extension de son affaire à la maison au n° 60 (achetée vers 1876). Miot réutilise donc trois bâtiments du 18e siècle, dont deux (ceux loués) sont datés : la maison Hugon au n° 62 (1752) et l’hôtel Foraisse au n° 64 (rebâti en 1751 et agrandi en 1756). C’est certainement vers cette époque, à la fin des années 1870 (en 1878 lorsqu'il s'associe avec Roger ?), qu’il fait construire pour son grand magasin une vaste halle à l’arrière des bâtiments. La société en nom collectif Miot et Eydoux, constituée le 24 août 1898 entre Camille Miot et son gendre Henri Ernest Eydoux, exploite ces bâtiments et acquiert en outre vers 1900 celui au 58 Grande Rue (vraisemblablement rebâti au 18e siècle). Devenue société en commandite simple Eydoux, elle est dissoute en 1926 ; l’acte de dissolution mentionne que l’affaire est alors présente aux 56, 58, 60 et 62 Grande Rue et au 5 rue du Palais de Justice. L’établissement est racheté par les Nouvelles Galeries, dont il devient une annexe. Cette entreprise créée à Paris en 1897 s'était installée à Besançon dans l’église de l’ancien couvent des Dames de Battant (au 59 rue des Granges) avant d'être transférée en 1904 à l’emplacement de l’hôtel National (au n° 44). L’ensemble immobilier de la Grande Rue est repris juste après le Deuxième Guerre mondiale par la société La République de l’Est, établie au 15 rue Proudhon, éditrice du journal du même nom. En 1947, la halle du Bon Marché est convertie en cinéma (de 1 050 places) par l'architecte parisien Edouard Lardillier pour Léon Fritz, patron de deux autres salles bisontines : le Central (59 rue des Granges) et le Rex (18 rue des Chaprais). La République de l’Est disparaît en 1957, remplacée en 1960 par Les Dépêches puis en 1973 par L'Est Républicain. Le sous-sol est transformé en 1976 lorsque sont aménagées trois nouvelles salles de cinéma (deux sous la halle et la troisième au n° 62) ; en même temps, les constructions entre les maisons et la halle sont modifiées et réunies sous un même toit en appentis. Le "complexe cinématographique U.G.C. Vox" est inauguré le 1er octobre 1976. Le Vox ferme en 2004 (les salles seront vandalisées par la suite). En 2023, le site abrite toujours les bureaux de L’Est Républicain et des commerces tandis que l’ancien cinéma Vox, propriété de la SMCI (Société Moderne pour les Commerces et les Immeubles), doit être démoli pour céder la place à des logements.
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Période(s)
- Principale : 4e quart 19e siècle
- Secondaire : 2e quart 20e siècle , daté par travaux historiques
- Secondaire : 4e quart 20e siècle , daté par travaux historiques
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Dates
- 1947, daté par source, daté par travaux historiques
- 1976, daté par travaux historiques
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Auteur(s)
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Auteur :
maître d'oeuvre inconnumaître d'oeuvre inconnuCliquez pour effectuer une recherche sur cette personne.
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Auteur :
Lardillier Edouardarchitecte attribution par travaux historiquesLardillier Edouard
Lardillier, Edouard (1908-1964). Architecte spécialisé dans la construction et la rénovation de salles de spectacle et des cinémas. Auteur en août 1932 d’un article, dans la revue La Technique cinématographique, intitulé : Pour transformer ou construire une salle de cinéma.
(Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89douard_Lardillier)
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Auteur :
L'ancienne halle du Bon Marché est en pan de fer (avec des reprises en béton ?) ; elle a une charpente métallique (à laquelle a été suspendu le plafond de la salle de cinéma) soutenant une verrière à longs pans. Son mur pignon occidental est en moellons calcaires enduits, de même que ses murs latéraux. Elle abrite deux salles de cinéma au sous-sol et une grande salle au rez-de-chaussée (sur deux niveaux dont un balcon). La maison au n° 58 a une façade (sur la Grande Rue) en pierre de taille. Elle comporte un sous-sol, voûté d'arêtes, deux étages carrés et un étage en surcroît, desservis par un escalier tournant en maçonnerie. Elle est coiffée d'un toit à longs pans et pignons couverts, à couverture de tuiles mécaniques. A l'arrière, l'extension de 1976 comporte deux étages carrés et elle est protégée par un toit en appentis, revêtu de shingle. Le bâtiment au 5 rue du Palais de Justice est en moellons calcaires enduits. Son rez-de-chaussée est occupé par un porche et il compte deux étages carrés et un étage en surcroît. Il a un toit à longs pans (avec pignon découvert au nord) et des tuiles plates mécaniques.
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Murs
- calcaire moellon enduit
- pierre de taille
- fer pan de fer
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Toitsverre en couverture, tuile plate, tuile plate mécanique, bitume
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Étagessous-sol, 1 étage carré
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Couvrements
- voûte d'arêtes
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Élévations extérieuresélévation à travées
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Couvertures
- toit à longs pans pignon couvert
- pignon découvert
- appentis
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Escaliers
- escalier dans-oeuvre : escalier tournant à retours avec jour en maçonnerie
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Statut de la propriétépropriété d'une société privée
- (c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
- (c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
- (c) François Gaume
- (c) Cabinet Coquard
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- (c) François Gaume
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- (c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
- (c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
- (c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
- (c) Bibliothèque municipale, Besançon
- (c) Bibliothèque municipale, Besançon
- (c) Bibliothèque municipale, Besançon
- (c) Bernard Faille
- (c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
- (c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
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- (c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
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- (c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
- (c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
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- (c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
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Documents d'archives
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Archives départementales du Doubs : 6 U 505 Tribunal de Commerce. Dépôt d’actes. Actes des sociétés. Miot et Eydoux. 1898-1924 ; Miot et Roger. 1887-1894.
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Archives départementales du Doubs : 6 U 549-550 Tribunal de Commerce. Dépôt d’actes. Actes des sociétés. Société française des Nouvelles Galeries réunies. 1901-1927.
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Archives municipales de Besançon : 1 T 21 Autorisations d'occupation du sol (permis de construire, permis de démolir, déclarations de travaux et déclarations de poses de panneaux publicitaires), autorisations d'occupation du domaine public. 1947.
Dossier Fritz (Central Cinéma/Rex Cinéma). Aménagement salle de cinéma, 52-54-56 Grande-Rue. 1947. -
3 P 57 Cadastre de la commune de Besançon, 1835-1976
- 3 P 845/1-9 : Atlas parcellaire (1833-1834)
- 3 P 57/1-3 : Registre des états de sections (1835)
- 3 P 57/4-18 : Matrice cadastrale des propriétés bâties et non bâties (1835-1914)
- 3 P 57/32-41 : Matrice cadastrale des propriétés bâties (1882-1910)
- 3 P 57/76-116 : Matrice cadastrale des propriétés bâties (1911-1965)
Bibliographie
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Cornier, Marie-José. L'Est Républicain. S.l. [Besançon] : s.n. [l'auteur], s.d. [1982]. 42-[50] p. : ill. ; 30 cm. Rapport de stage. 50 p. d'annexes dont certaines dépl.
P. 3-7 : ill. -
Estavoyer, Lionel ; Gavignet, Jean-Pierre. Besançon (Doubs) : ses rues, ses maisons / dess. Jean Garneret. Nouv. éd. rev. et augm. - Besançon : Cêtre, 1989. 239 p. : ill. ; 22 cm.
P. 94-95, 118-122 : ill. -
Tatu, Michèle ; Bépoix, Denis. Histoires du cinéma à Besançon 1895-1995. Vesoul : Erti Editeur, 1995.110 p. : ill. ; 24 cm.
P. 56-57, 75, 89 : ill. -
Une visite aux magasins du "Bon Marché" à Besançon. Journal de géographie industrielle & commerciale, 1895, série C n° 122, p. 2-3 : ill.
Documents figurés
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[Plan cadastral napoléonien] Section K, de la Ville Sud-Ouest en quatre feuilles, 2e feuille, du n° 288 à 840, levée à l’échelle d’1 à 1250, par Mr Berçot Géomêtre, dessin (plume, lavis), s.d. [1834], 68 x 101 cm, échelle 1:1 250 (graphique), orienté.
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Vue extérieure des magasins du "Bon Marché" à Besançon. Dessin imprimé, par Henriette et Durand. S.d. [1895]. Publié dans : Une visite aux magasins du "Bon Marché" à Besançon. Journal de géographie industrielle & commerciale, 1895, p. 3.
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Vue intérieure des magasins du "Bon Marché" à Besançon. Dessin imprimé, par Henriette et Durand. S.d. [1895]. Publié dans : Une visite aux magasins du "Bon Marché" à Besançon. Journal de géographie industrielle & commerciale, 1895, p. 3.
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Besançon-les-Bains - Les Grands Magasins de Nouveautés. Au Bon Marché - Eydoux. Vue intérieure - Galerie centrale. Carte postale publicitaire, s.n. [1er quart 20e siècle, avant 1923]. Porte la date 11 juillet 1923 (manuscrite) au recto et (manuscrite et tampon) au verso.
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[Personnel du grand magasin "Au Bon Marché"]. Carte postale, s.n. S.d. [1er quart 20e siècle].
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Roger Pierre, Jean-Marc Thibault Un cheval pour deux. Photographie, par Bernard Faille. Mai 1962.
Documents multimédia
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Goudot, Jean-Claude. Les Nouvelles Galeries autrefois... Vivre aux Chaprais [en ligne]. 22 juillet 2017, ill. [consultation du 12 octobre 2023]. Accès internet : https://www.chaprais.info/2017/07/les-nouvelles-galeries-autrefois/
Annexes
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Une visite aux magasins du "Bon Marché" à Besançon. 1895.
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Projet de salle de spectacle. Demande de Léon Fritz, 17 mai 1947.
Poupard, Laurent. Chercheur au service Inventaire et Patrimoine de la Région Bourgogne-Franche-Comté, 1987-
Poupard, Laurent. Chercheur au service Inventaire et Patrimoine de la Région Bourgogne-Franche-Comté, 1987-