Dossier d’œuvre architecture IA70001072 | Réalisé par
Dufoulon Fabien (Contributeur)
Dufoulon Fabien

Fabien Dufoulon, chercheur. Région Bourgogne-Franche-Comté, Service Inventaire et Patrimoine, 2018-

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  • enquête thématique régionale, val de Saône
château
Œuvre étudiée
Auteur
Copyright
  • (c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine

Dossier non géolocalisé

Localisation
  • Aire d'étude et canton Val de Saône - Scey-sur-Saône-et-Saint-Albin
  • Hydrographies Saône
  • Commune Scey-sur-Saône-et-Saint-Albin
  • Lieu-dit Bois du prince de Bauffremont
  • Adresse rue de Saint-Albin , avenue des Pâtis , rue Armand Paulmard
  • Cadastre 1836 C1 438 Ruines du château de l'Ancien Régime. ; 2018 AI 235 Site de l'ancien château, puis usine de scierie, puis friche industrielle. ; 2018 AM 57 Clôture (grille) sur l'avenue des Pâtis. ; 2018 0D 846 Clôture (grille) sur la rue de Saint-Albin. ; 2018 AI 235 Clôture (grille) sur la rue Armand Paulmard. ; 1836 C 438 Ruines du château du 18e siècle. ; 1836 D 1218 Château d'Alexandre Louis Emmanuel de Bauffremont.

La seigneurie de Scey-sur-Saône appartient à une branche cadette des comtes de Bourgogne issue de Guillaume, comte de Mâcon de 1102 à 1157. En 1237, elle passe à Alix de Dreux en échange des droits qu'elle possède à Salins. En 1277, elle constitue la dot de sa petite-fille, Marguerite de Choiseul, lors de son mariage avec Liébaud IV de Bauffremont. La famille de ce dernier conserve la seigneurie jusqu'à la Révolution au cours de laquelle ses biens sont nationalisés. Le château abrite de manière éphémère un hôpital militaire, avant son incendie en 1795. Alexandre Louis Emmanuel de Bauffremont, qui vit en Espagne au début de la Révolution, parvient à récupérer la terre lors d'un procès à la suite duquel son nom est radié de la liste des nobles émigrés en 1795. Au 19e siècle, la propriété des ducs de Bauffremont comprend également le grand moulin sur la Saône et la fonderie à proximité du bourg.

Le site du château du Moyen Âge et des temps modernes (section AI, parcelle n°235) est occupé par un scierie après sa destruction. Il correspond aujourd'hui à une friche industrielle qui appartient à la communauté de communes des Combes. Une autre partie du domaine, située à l'ouest de la rue de Saint-Albin, est en revanche restée en mains privées. Une récente opération de diagnostic menée par l'Institut national de Recherches archéologiques préventives (INRAP) sous la direction de Valérie Viscusi en 2016 a permis de compléter les connaissances sur l'histoire et l'architecture du château rassemblées par Patrick Boisnard en vue de la protection de ses dépendances (clôture, écuries et communs, buanderie, fabrique) en 1996.

Premières constructions (10e siècle-17e siècle)

Les fouilles récentes permettent d'imaginer une "première implantation castrale fossoyée au cours du Moyen Âge central, sans doute alimentée en eau par le ruisseau nord-sud". À proximité, un "mur d'enceinte pourrait appartenir aux premiers vestiges d'un château en pierre". Il pourrait dater de l'époque de l'acquisition de la seigneurie par la famille de Bauffremont (dernier quart du 13e siècle).

Le château de l'époque féodale aurait été reconstruit, ou en tout cas modernisé, par Claude de Bauffremont, évêque de Troyes, en 1561. Les travaux semblent lui avoir fait perdre son caractère défensif. Dans son Histoire de dix ans de la Franche-Comté de Bourgogne, Girardot de Nozeroy évoque en effet ainsi la prise du château du baron de Scey en 1641 : "sa maison de Scey fut assaillie et transportée, car elle est plus-tost maison de plaisance que forteresse". Ce château pourrait correspondre aux vestiges découverts approximativement entre la première implantation castrale et le nouveau château édifié au 18e siècle.

Château de Charles Emmanuel de Bauffremont (vers 1715-1720)

La reconstruction du château est due à Charles Emmanuel de Bauffremont, abbé commendataire de Luxeuil et de Saint-Paul de Besançon. Les fouilles récentes ont confirmé qu'il s'agit d'une reconstruction totale, sans conservation ou réutilisation des édifices antérieurs mises à part quelques maçonneries remployées au premier niveau de l'aile sud. Le nouveau château se situe au sud de l'ancien, et le recouvre partiellement. Le début des travaux a longtemps été situé à l'extrême fin du 17e siècle ou au début du 18e siècle, à la suite de Maurice Cousin (1933) qui tirait ses renseignements de la famille de Bauffremont. Cette datation "haute" semblait pouvoir être confirmée par la mention de travaux menés par Antoine Munier, serrurier à Besançon, en 1696-1697. La redécouverte et la publication par Henry Ronot d'un dessin intitulé "Élévation de la façade du château de Scey" et daté de 1718 a remis en cause cette hypothèse. On peut aujourd'hui penser que le château a plus vraisemblablement été construit vers 1715-1720. La date de 1723 portée "dans l’œil de bœuf d'un des frontons" (cité dans le Procès-verbal de reconnaissance de l'état actuel du ci-devant château, 29 vendémiaire an V) correspondrait ainsi à la fin du chantier. Sur le site, la date inscrite sur la stèle commémorant la construction du château (1733) est erronée.

Si le dessin publié par Ronot est signé Bouchardon, rien ne prouve que l'architecte et sculpteur Jean-Baptiste Bouchardon soit l'architecte du château. La destruction de l'édifice et le manque de documentation ne permettent pas d'en avoir la certitude. Par ailleurs, on peut noter d'importantes différences entre ce qui pourrait être un projet de Bouchardon et les relevés du château (dessins et gravures) exécutés au 18e siècle. L'affirmation de la place des ailes, élargies d'une travée et terminées par des pavillons décorés de pilastres colossaux et couverts de toits à l'impériale, change assez profondément la composition de l'ensemble. Le modèle de l'édifice, tel qu'il a été construit, est finalement moins le château de plan massé qui s'impose progressivement en France au 17e siècle que les grandes demeures de l'époque précédente (château de Verneuil, palais du Luxembourg) associant corps et pavillons autour d'une cour de plan rectangulaire.

Peu de temps après le procès au cours duquel le domaine est restitué à Alexandre Louis Emmanuel de Bauffremont, le château est incendié dans la nuit 20 au 21 vendémiaire an IV (12-13 octobre 1795).

Château d'Alexandre Louis Emmanuel de Bauffremont (années 1810-1820)

Le site du château incendié est abandonné. Une nouvelle demeure est construite à l'ouest, au-delà des Boulingrins et du canal de décharge de la fonderie que longe la rue de Saint-Albin. La construction est antérieure à 1836. Le cadastre ancien dit napoléonien mentionne en effet un "château, cour et jardin d'agrément" (parcelle n°1218). Cette demeure est connue grâce à deux cartes postales anciennes (vers 1910-1920). Elle témoigne de l’engouement pour le style des villas rurales italiennes, qui s'inscrit plus largement dans le néo-palladianisme des années 1810 et 1820. L'initiative de sa construction doit sans doute revenir à Alexandre Louis Emmanuel de Bauffremont, qui meurt en 1833. Cette demeure est appelé "ancien château" dans l'atlas cantonal de 1858, ce qui pose assez tôt la question de son abandon comme résidence. Transformée en hôpital militaire pendant la Première Guerre mondiale, elle est détruite peu de temps après.

Le pavillon d'entrée donnant sur la rue de Saint-Albin ainsi que la buanderie (avec son lavoir) pourraient être contemporaines de la demeure.

Château de Roger Alexandre de Bauffremont (années 1850-1860)

L'atlas cantonal de 1858 rend compte de l'ambition de Roger Alexandre de Bauffremont pour le domaine, dont il prend possession à la fin des années 1840. Le "château projeté" au sommet de la côte du parc n'est finalement jamais construit, vraisemblablement faute de moyens. Seule l'écurie (que l'on appelle aujourd'hui improprement "château") est construite. Elle se situe dans l'axe de l'allée des Boulingrins qui conduit à la rue Armand Paulmard vers l'est. On peut rattacher à cette période les différents éléments constituant la clôture du domaine, et notamment les grilles de la rue Armand Paulmard et de la rue de Saint-Albin, situées précisément dans l'axe de l'allée des Boulingrins, et les celles de l'avenue des Pâtis, au nord du site de la forge.

Le 1er juillet 1899, le domaine est vendu au comte Ferdinand O'Gorman. Son fils Patrice la met à disposition du service de santé de l'armée en 1916. Le 21 juin 1918, le domaine est acquis par Hubert Bresson, membre d'une famille d'industriels à l'origine de la distillerie de Fougerolles.

Il ne reste que des vestiges archéologiques des différents châteaux qui se sont succédés sur le site. Seuls des documents figurés permettent de connaître les élévations des châteaux des 18e et 19e siècles. Subsistent en revanche des éléments de la clôture du domaine, ainsi que diverses constructions aujourd'hui indépendantes : pavillon d'entrée, écurie, pigeonnier et dépendances, buanderie et lavoir, fabrique de jardin.

Premières constructions (détruites)

En l'absence de document figuré antérieur à sa destruction, le château du Moyen Âge remanié à la Renaissance est mal connu. D'après Maurice Cousin (1933), il comprenait sept tours avant sa destruction. Certains vestiges pourraient avoir été remployés à Scey-sur-Saône comme les éléments constitutifs de la croix monumentale du chemin de l’Écu ou encore le bénitier de l'église Saint-Martin.

Château de Charles Emmanuel de Bauffremont (détruit)

L'édifice est beaucoup mieux connu grâce à la conservation de plusieurs dessins et gravures. Il adopte un plan régulier en U composé d'un corps principal à pavillon central en fond de cour et de deux ailes latérales terminées par des pavillons. Contrairement aux usages, la cour n'est pas disposée face au village, mais ouverte vers l'ouest et le parc. Le château est bâti sur une terrasse. La cour est surélevée par rapport au jardin. L'accès à cette cour se fait par deux escaliers et une rampe centrale. Le premier niveau de l'édifice correspond au rez-de-chaussée du côté du jardin et au sous-sol du côté de la cour. Il est surmonté de deux étages carrés et d'un étage attique. Le corps principal est couvert d'un toit à longs pans. La toiture des ailes paraît moins élevée et pourrait consister en toits brisés. Chacun des trois pavillons est couvert d'un dôme à l'impériale reposant sur un étage carré. Leurs façades donnant sur la cour (pour les trois pavillons) et vers l'ouest (pour les pavillons des ailes) sont rythmées par des pilastres colossaux surmontés d'un entablement et d'un fronton.

La distribution du château est connue grâce à un procès verbal d'inventaire dressé en septembre 1793. D'autres renseignements sont contenus dans le Procès-verbal de reconnaissance de l'état actuel du ci-devant château du 1er fructidor an V (18 août 1797) qui suit l'incendie de 1795. Le rez-de-jardin est occupé par les cuisines et cinq chambres d'office (aile nord), les chambres des rôtisseurs, cuisiniers et maître d'hôtel (corps central) et l'orangerie (aile sud). Les appartements occupent le rez-de-chaussée (niveau de la cour) et le premier étage auquel on accède par un grand escalier situé dans le corps central. Une "galerie des princes" occupe le rez-de-chaussée de l'aile sud. La chapelle est aménagée au premier étage du pavillon à l'extrémité de l'aile nord, et la bibliothèque au premier étage de celui de l'aile sud.

Les fouilles récentes ont permis de préciser que les élévations étaient en pierre de taille, à l'exception des murs du sous-sol enfouis côté cour. Les blocs ont été systématiquement récupérés, vendus et remployés. Les dessins aquarellés conservés laissent enfin penser que les toitures étaient couvertes d'ardoises.

Château d'Alexandre Louis Emmanuel de Bauffremont (détruit)

L'édifice est connu grâce au plan du cadastre ancien dit napoléonien et à des photographies datant de la Première Guerre mondiale. Il est vraisemblablement construit en moellon calcaire enduit. Il adopte un plan régulier en U et s'élève sur deux niveaux. La couverture du corps central est composée de trois parties : un toit à longs pans et pignon couvert, et deux toits à longs pans et croupes. Les ailes latérales sont couvertes de toits à longs pans et pignons couverts. L'édifice comporte 65 ouvertures, d'après l'état de section du cadastre. Les baies sont principalement rectangulaires. Des oculi sont percés dans les pignons et à l'étage du corps principal. On peut enfin noter la présence d'autres corps, mal connus, fermant la cour sur les côtés nord-ouest et nord-est.

Clôture du domaine (partiellement conservée)

La clôture est composée de murs en pierre et de grilles en ferronnerie disposées sur des murets en pierre. Les clôtures sur la rue de Saint-Albin et sur l'avenue des Pâtis sont complètes. Celle sur la rue Armand Paulmard a été raccourcie dans sa partie sud, comme le montrent les photographies anciennes. Les entrées sur la rue Armand Paulmard et sur la rue de Saint-Albin, disposées dans le même alignement, sont comparables. Quatre piliers de section carrée en brique et pierre forment une demi-lune. L'entrée sur l'avenue des Pâtis est en revanche composée de colonnes de section circulaire, disposées de la même manière. La partie supérieure de chacune des entrées est ornée du chiffre de la famille de Bauffremont en ferronnerie.

  • Murs
    • calcaire
    • brique
  • État de conservation
    détruit, vestiges
  • Techniques
    • ferronnerie
  • Représentations
    • monogramme
  • Précision représentations

    Le monogramme "B" renvoie à la famille de Bauffremont.

  • Statut de la propriété
    propriété publique, Parcelles AI 235 et AM 57 (cadastre de 2018)
    propriété privée, Parcelle 0D 846 (cadastre de 2018)
  • Intérêt de l'œuvre
    à signaler
  • Protections
    inscrit MH partiellement, 1996/12/05
  • Précisions sur la protection

    Inscription par arrêté du 5 décembre 1996.

  • Référence MH

Documents d'archives

  • Archives départementales de la Haute-Saône. Cadastre de la commune de Scey-sur-Saône-et-Saint-Albin. [1836-1954].

    - Atlas parcellaire (1836)

    - État de section (1839) : 3 P 230

    - Matrices cadastrales (1839-1914) : 3 P 1593 (folio de 1 à 580), 3 P 1594 (folio 581 à 1140), 3 P 1595 (folio 1141 à 1718), 3 P 1596 (folio 1719 à 2214), 3 P 1597 (folio 2215 à 2355)

    - Matrice cadastrale des propriétés bâties (1882-1914) : 3 P 2437

    - Matrice cadastrale dite "noire" des propriétés bâties (1911-1954) : 3 P 4650

    - Matrices cadastrales dites "noires" des propriétés non bâties (1914-1954) : 3 P 4645 , 3 P 4646 (folio 1 à 600), 3 P 4647 (folio 601 à 1200), 3 P 4648 (folio 1201 à 1798), 3 P 4649 (folio 1793à 1924)

    Archives départementales de la Haute-Saône, Vesoul
  • Archives départementales de la Haute-Saône. 1 Q 163. Procès verbal d'inventaire du château de Scey-sur-Saône. 1793.

    Archives départementales de la Haute-Saône, Vesoul : 1 Q 163
  • Pillot, Nicolas, Laurent, Jean Antoine. Procès-verbal de reconnaissance de l'état actuel du ci-devant château. 1er fructidor an V [18 août 1797]. In : Archives départementales de la Haute-Saône. 1 Q 466.

    Archives départementales de la Haute-Saône, Vesoul : 1 Q 466

Bibliographie

  • Girardot de Nozeroy, Jean. Histoire de dix ans de la Franche-Comté de Bourgogne, 1632-1642. Éditeur scientifique : Jules Crestin. Besançon : impr. de Outhenin-Chalandre fils, 1843.

    Bibliothèque nationale, Paris : 4-LK2-763
    p. 267-268
  • Cousin, Maurice. Un Procès à l'époque révolutionnaire : à propos de l'incendie du château de Scey-sur-Saône. Vesoul : [s.n.], 1933. 123 p.

  • La Haute-Saône : nouveau dictionnaire des communes. - Vesoul : Société d'agriculture, lettres, sciences du arts de la Haute-Saône, 1969-1974. 6 t. ; 22 cm.

    Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire et Patrimoine, Besançon : RUS 158
    t. V, p. 231-232
  • Morel, Claude, Cordier, Claude. Histoire de Scey-sur-Saône et de la famille princière de Bauffremont. 1985.

    p. 45-48
  • Boisnard, Patrick. Château de Scey-sur-Saône : dossier de protection au titre des monuments historiques. 1996.

    Conservation régionale des Monuments historiques, Besançon
  • Ronot, Henry. Jean-Baptiste Bouchardon, architecte et sculpteur. Préf. Marc Fumaroli ; collab. Séverine Darroussat, Valérie Noël. Dijon : Éd. Faton, 2002. 241 p. ISBN 2-87844-053-6.

    p. 75-79
  • Dinant, Georges. Le Château de Scey-sur-Saône. Saint-Rémy-lès-Chevreuse : G. Dinant, 2006. 60 p.

  • Viscusi, Valérie. Rapport de diagnostic. Sondages à l'emplacement du château. Bourgogne-Franche-Comté, Haute-Saône, Scey-sur-Saône-et-Saint-Albin, rue Paulmard, le Bourg. Dijon : INRAP Grand Est sud, 2016. 222 p.

Documents figurés

  • Plan phasé des vestiges et proposition de restitution du plan des bâtiments / Valérie Viscusi et Mickaël Lagache. 2016. Dessin numérique. In : Viscusi, Valérie. Rapport de diagnostic. Sondages à l'emplacement du château. Bourgogne-Franche-Comté, Haute-Saône, Scey-sur-Saône-et-Saint-Albin, rue Paulmard, le Bourg. Dijon : INRAP Grand Est sud, 2016. 222 p. p. 126.

  • Plan de Scey-sur-Saône / [s.n.]. [1858]. In : Dieu, Hyppolite. Atlas cantonal de la Haute-Saône, 1858.

    Archives départementales de la Haute-Saône, Vesoul
  • Vue du château de Beaufremont à Sée [i.e. Scey] sur Sône [sic] en Comté / [Jean-Baptiste] Lallemand. [s.d.]. Dessin. In : Bibliothèque nationale. EST RESERVE VE-26 (R).

    Bibliothèque nationale, Paris : EST RESERVE VE-26 (R)
  • Deuxième vue du château de Beaufremont sur le chemin du pont à Sée [i.e. Scey] sur Saone en Comté / [Jean-Baptiste] Lallemand. [s.d.]. Dessin. In : Bibliothèque nationale. EST RESERVE VE-26 (R).

    Bibliothèque nationale, Paris : EST RESERVE VE-26 (R)
  • Château de Scey-sur-Saône, incendié dans la nuit du 20 au 21 Vendémiaire, an IV (octobre 1795). [carte postale]. [s.n.] : [s.l.], [s.d.].

    Archives départementales de la Haute-Saône, Vesoul : 11 Fi 482-40
  • Scey-sur-Saône (Haute-Saône). Allée des Boulingrins. [carte postale]. [s.l.] : [s.n.], [s.d.].

    Archives départementales de la Haute-Saône, Vesoul : 11 Fi 482-4
  • Scey-sur-Saône. Avenue des Boulingrins. [carte postale]. [s.l.] : A. Dussy, [s.d.].

    Archives départementales de la Haute-Saône, Vesoul : 11 Fi 482-12
  • Scey-sur-Saône. Pont des Boulingrins et Entrée du Château. [carte postale]. [s.l.] : [s.n.], [s.d.].

    Archives départementales de la Haute-Saône, Vesoul : 11 Fi 482-35
  • Scey-sur-Saône. Le Château. [carte postale]. Scey-sur-Saône : Jeunet, [s.d.].

    Collection particulière
  • Scey-sur-Saône. Le Château transformé en hôpital militaire. [carte postale]. [s.l.] : Robez-Masson, [s.d.].

    Collection particulière
  • Scey-sur-Saône. Dans le parc du château, la passerelle de l'embarcadère. [carte postale]. [s.l.] : [s.n.], [s.d.].

    Collection particulière
  • Scey-sur-Saône. Parc du Château. Cascade près Notre-Dame de Lorette. [carte postale]. Scey-sur-Saône : Jeunet, [s.d.].

    Archives départementales de la Haute-Saône, Vesoul : 11 Fi 482-3
  • Vue du château de Beauffremont. Gravure, s.d. [2e moitié 18e siècle].

    Bibliothèque municipale, Besançon

Annexes

  • sculptures du château de Scey-sur-Saône
Date(s) d'enquête : 2018; Date(s) de rédaction : 2018
(c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
Dufoulon Fabien
Dufoulon Fabien

Fabien Dufoulon, chercheur. Région Bourgogne-Franche-Comté, Service Inventaire et Patrimoine, 2018-

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