Dossier d’œuvre architecture IA89000004 | Réalisé par
Hugonnet-Berger Claudine
Hugonnet-Berger Claudine

Hugonnet-Berger, Claudine. Chercheur au service de l'Inventaire de Bourgogne.

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Poupard Laurent (Contributeur)
Poupard Laurent

Poupard, Laurent. Chercheur au service Inventaire et Patrimoine de la Région Bourgogne-Franche-Comté, 1987-

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  • enquête thématique régionale, théâtres de Bourgogne
  • enquête thématique régionale, salles de spectacle de Bourgogne-Franche-Comté
halle et théâtre municipal, actuellement salle Claude Debussy
Œuvre étudiée
Auteur
Copyright
  • (c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine

Dossier non géolocalisé

Localisation
  • Aire d'étude et canton Bourgogne - Joigny
  • Commune Joigny
  • Adresse 61 rue Saint-Jacques
  • Cadastre 2022 AC 108  ; 1823 F 620
  • Dénominations
    halle, théâtre
  • Précision dénomination
    théâtre municipal
  • Appellations
    salle Claude Debussy
  • Destinations
    cinéma, salle de spectacle, cercle de sociabilité
  • Parties constituantes non étudiées
    chaufferie, hangar, parc

Dans la séance du conseil municipal du 8 janvier 1816, le maire Antoine Chaudot expose que le marché au blé qui se tient sur la place de l'Hôtel de Ville "est d'un accès constamment difficile et que dans l'hyver, il est souvent impossible d'y faire arriver les voitures". Il propose donc de le déplacer du centre-ville à la "Petite Butte", près de la porte Saint-Jacques, "qui comme promenade n'offre aucune espèce d'agrément". L'architecte voyer Cerneau établit un projet en U, avec deux halles parallèles (hangars orientés nord-sud), longues de 26,50 m, encadrant une place fermée au nord par le logement du concierge et par un escalier donnant accès à la rue Saint-Jacques, située en contre-haut. L'ingénieur en chef des Ponts et Chaussées du département valide l'emplacement et préconise qu'il soit fermé au sud, du côté de la rue de Paris et de la rivière, par un muret et que son entrée y soit marquée par des bornes. De son côté, l'inspecteur général de la Navigation approuve lui-aussi l'emplacement et se félicite que cet aménagement permette de supprimer la grille "dite de Paris" (réputée dater de 1758), "ce qui favoriserait le hallage, le service de la routte de Paris à Gex et la circulation des voitures allant à ce marché". Il ajoute : "cette grille au surplus ainsi que celle qui est sur le pont de la ditte ville pourrait être utilisée pour la fermeture de ce marché. La destruction de ces deux grilles est réclamée depuis longtemps par la marine de l'Yonne, l'occasion de les employer d'une manière utile autant qu'agréable est arrivée". Les deux halles sont bâties en 1818-1819, mais pas sur le modèle représenté sur le plan soumis en décembre 1817 au Conseil des Bâtiments civils (montrant une façade comportant cinq fenêtres séparées par quatre portes).

Le bâtiment du concierge n'ayant pas été réalisé, le maire expose le 7 mai 1820 qu'il faut construire "un vaste bâtiment dont le rez de chaussée serviroit de halle [... avec] au premier étage une vaste salle pour le recrutement et les adjudications publiques". Le conseil municipal valide dans sa séance du 5 mai 1821 la destruction de la porte Saint-Jacques, qui sera masquée par le nouveau bâtiment. Sa conception est confiée à l'architecte auxerrois Emile Leblanc, dont un premier projet est jugé trop coûteux par le conseil le 1er mai 1822. Le deuxième est adopté le 10 octobre 1822 moyennant quelques modifications. Dans sa séance du 7 octobre 1823, le conseil des Bâtiments civils par la voix de son rapporteur Maximilien Joseph Hurtault, venu sur place dans le courant de l'été, propose de placer la nouvelle halle à l'alignement du quai afin de conserver la porte Saint-Jacques. Il critique le projet, trouvant notamment que l'élévation (au sud) "n'est point dans le caractère convenable à un édifice de ce genre" (elle est animée par un avant-corps central avec balcon à l'étage, doté de quatre colonnes ioniques supportant un entablement et un fronton) et propose des modifications. Modifications suffisamment importantes pour qu'il soit considéré comme l'auteur du bâtiment dans le volume 1 du Choix d'édifices publics projetés et construits en France depuis le commencement du XIXe siècle, qui en donne les dessins et montre un bâtiment en retrait de la rue Saint-Jacques, reculé vers le sud pour préserver la porte. Le conseil municipal, dans sa réunion du 16 juin 1824, maintient sa décision de détruire cette porte, la démolition débutant le 16 août suivant.

L'adjudication des travaux de la halle a lieu le 20 juillet 1824 au profit du maître maçon Bachelery. La première pierre est posée le 28 octobre 1824, l'étage de soubassement réalisé en 1825, le rez-de-chaussée surélevé et l'étage carré en 1826. La charpente présente des malfaçons si bien que Leblanc refuse de recevoir les travaux et il faut attendre mars 1827 pour que s'achèvent les réparations et que commence la couverture en ardoises. Toutefois les voûtes du soubassement, décintrées les 6 et 7 octobre 1827, menacent de s'effondrer dès le 8, les murs n'ayant pas une épaisseur suffisante. Le conseil municipal décide de faire appel à un architecte "dont le talent soit reconnu" pour achever la construction. Les voûtes sont démolies et remplacées en 1828 par un plancher soutenu par des piliers, travaux confiés à l'entrepreneur Jubin, de Villeneuve-sur-Yonne. La couverture est terminée début 1828. Un contemporain, Augustin Pérille-Courcelle, décrit alors le bâtiment, encore inachevé (le second oeuvre sera fini à la fin de l'année) : au rez-de-chaussée, une salle de 50 pieds sur 33 occupe les trois travées centrales, encadrée à l'est par le logement du concierge et à l'ouest par "une chambre du Conseil et dépendance". "La grande salle doit servir aux grandes réunions, telles qu'assemblées pour le tirage de recrutement et conseil de révision, adjudication des bois, etc. pour lesquelles la salle de l'Hôtel de Ville se trouve souvent trop petite. On a aussi le projet d'y construire une salle de spectacle déplaçable à volonté."

L'aménagement de cette grande salle est confié en 1829 au Parisien Alexandre Bourla (38 bis rue des Petites Ecurie), auteur de théâtres à Paris (il se dit lui-même "architecte des théâtres du Cirque olympique et du Panthéon"), à Limoges et à Tournai. Il livre avant la fin de l'année un projet, qu'il simplifie dans une deuxième version en avril 1830 (les dessins conservés montrent, curieusement, une élévation sur la rue Saint-Jacques avec avant-corps central, loggia, colonnes doriques et ioniques, fronton sculpté). Ce projet est de nouveau modifié en juillet 1832 "pour restreindre la dépense aux faibles ressources qui nous restent". La scène doit occuper les deux travées orientales, la salle les deux suivantes, la dernière à l'ouest correspondant à un foyer avec cheminée. La salle, au décor d'inspiration pompéienne, comprend des loges d'avant-scène et deux balcons, chacun avec galerie et loges ; le deuxième balcon, en retrait, est partiellement en amphithéâtre. Les travaux, adjugés en novembre 1832 à J. Bourbault et H. Bougault, débutent en décembre. La salle ouvre le 14 juin 1833 pour une représentation de comédiens amateurs et Pérille-Courcelle note sa "nouveauté [...], sa coupe gracieuse, la fraîcheur et le bon goût de ses décors". L'ancienne salle de spectacle, aménagée vers 1822 par un tapissier et "couverte d'un dôme circulaire en toile", est alors délaissée (elle avait une capacité de 400 places, réparties entre l'orchestre et trois galeries). Un petit corps de garde est ajouté à l'est en 1842, sur un dessin de l'architecte d'arrondissement Roblot. Des réparations sont nécessaires dès 1859 : à cette date, la couverture en ardoises est en mauvais état du fait d'une charpente insuffisamment pentue ; elle est donc remplacée à la fin de l'année ou au début de la suivante par une couverture en zinc, sous la surveillance de l'architecte voyer A. Benoît. Le perron sur la rue Saint-Jacques est reconstruit en 1861.

Les deux niveaux du bâtiment (étage de soubassement pour la halle au blé et rez-de-chaussée surélevé pour le théâtre) connaissent des évolutions différentes. En 1884, la municipalité attribue le premier à L'Etoile de l'Yonne, "Société municipale de gymnastique, de tir et de préparation militaire" fondée en 1882, pour y établir son gymnase. Cette association l'occupe toujours en 1926 lorsque la Compagnie d'Entreprises générale d'Electricité Bornhauser, Molinari et Cie (19 bis rue de Pont-Neuf à Poitiers), chargée de l'électrification de la vallée du Vrin, souhaite en louer la travée orientale. Cette société, représentée par l'ingénieur Jean Rapeneau, désire en outre disposer de "la partie du hangar située à l'est et faisant suite à l'atelier des bouilleurs de cru" et être autorisée à construire un bureau dans le prolongement d'un des deux bâtiments existants (le corps oriental et ce bureau ont disparu depuis). L'autorisation est accordée avec obligation de construire une cloison isolant la travée louée des autres.

Pour sa part, le théâtre accueille tournées, représentations et projections cinématographiques. Ainsi, le 10 août 1919, la Ville loue le théâtre à Edmond Galiment, "entrepreneur d'exploitation cinématographique" (24 rue de Trévise, Paris), pour cinq ans "les samedis, dimanches et jours fériés, pour y donner des représentations cinématographiques". Galiment s'engage à installer le chauffage central à vapeur à basse pression et à remplacer les banquettes du parterre par des fauteuils. Lorsque Galiment cesse son activité en 1920, le Cinéma-Pathé devient Cinéma Palace. En 1931, l'établissement est présenté comme Théâtre municipal Artistic-Cinéma par son directeur, Raymond Besnard (demeurant 136 boulevard Exelmans à Paris et également présent à Sens avec l'Eden Casino). Besnard le modernise cette année-là, "la nouvelle exploitation parlante aboutissant au triplement des dépenses des saisons précédentes". Dans cette salle de 450 places, il y a trois projections par semaine et un certain nombre de "tournées de comédies, vaudevilles ou revues choisies avec soin". Besnard attire l'attention de la municipalité sur son "état de vétusté que la troupe, pendant la guerre, a accentué". Il demande des réparations, auxquelles il s'engage à contribuer pour moitié. Un projet est dressé par l'architecte parisien Marcel Bourgeon, de l'agence Lacourrege et Cartron (96 avenue des Ternes), qui semble à ce moment-là s'établir à son compte (associé avec Marcel Dumontant ?). Le devis rédigé le 21 mai 1931 mentionne : réfection du rez-de-chaussée de la salle avec démolition des avant-scènes, des loges, des cloisons en bois, du plancher, ouverture de baies, réfection du proscenium, construction d'un nouveau plancher et "d'un bas flanc de 1.30 hauteur au fond de la salle (bois de réemploi)" pour séparer l'orchestre du promenoir ; dans le hall remplacement de l'escalier en bois par un en béton armé revêtu de marbre, destruction de cloisons, création d'un tambour d'entrée et sol en granito ; réfection partielle des peintures, "cadre de scène, aménagement de rideau de scène et de l'écran", éclairage. Le projet est complété en 1932, avec notamment la réfection du plancher de la scène et des loges d'acteur, le montant passant de 100 000 F à 145 347 F. Un petit corps de bâtiment à structure en pan de fer et hourdis de briques creuses est prévu contre le mur est, supporté par des poutres métalliques et accueillant le bureau du directeur au premier niveau et au-dessus une cabine (en triple poste ?) pour projection depuis l'arrière de l'écran. La validation par le conseil municipal le 3 août rappelle "que les vieilles peintures faisant le décor intérieur de la salle ne devront pas être endommagées". Adjugés le 26 septembre (les lots maçonnerie, menuiserie et serrurerie à l'entreprise Henri Claustrat, 16 rue de Steinkerque à Paris), les travaux comprennent aussi le chauffage (par la Scop La Laborieuse, 24 place du Forum à Reims) et la fourniture de 293 fauteuils (par la fabrique Abel Motté, 6 bis passage du Bureau et 168 rue de Charonne, à Paris). Ils sont achevés avant la fin de l'année, la réception provisoire ayant lieu le 30 janvier 1933. Signalée en 1942 comme équipée pour la projection en 35 mm, la salle semble perdre ses décors à la fin des années 1950. En 1973, le site accueille toujours les projections du cinéma Artistic (qui est signalé exploité par la Société Cinéma et Spectacles dirigée par J. Tourte, comme ce sera encore le cas en 1980 avec la précision : "Fonctionne également en substandard") ; il a conservé le bâtiment en bois de l'ancienne halle occidentale, qui sert d'entrepôt municipal, et "un agréable jardin y a été aménagé voici quelques mois".

La rénovation du bâtiment est de nouveau à l'ordre du jour dans la décennie 1980. En 1980, le cabinet d'architectes Davy et Zanetta (8 avenue Gambetta, à Joigny) établit un projet pour transformer l'étage de soubassement en "Foyer des Anciens". Il prévoit l'aménagement de cinq salles, d'une cuisine et d'un bloc sanitaire, ainsi que la modification de la chaufferie. Les travaux ont lieu en 1981 et le local rénové est inauguré le 10 février 1982. La toiture en zinc est remplacée par une couverture en ardoises, sous la surveillance du cabinet d'architecture Gérald Anceaux (4 rue de la Passerelle, à Aillant-sur-Tholon). Le 6 février 1981, le conseil municipal avait demandé l'étude de la restauration du théâtre à Camille Demangeat, scénographe domicilié à Beaujard, commune de Villeneuve-sur-Yonne. Le projet est confié à l'architecte Didier Michelon (1 rue de la Bertauche, à Sens) qui rédige le 12 juin 1987 un avant-projet sommaire pour une salle de conférence et de projection de 200 places (la scène étant maintenue pour les conférences) et un autre le 15 février 1988 pour la réfection des façades avec suppression du corps d'entrée des années Trente (suppression réalisée). Le projet évolue en 1990 vers une réhabilitation lourde (7 millions de F HT) ne conservant que les murs et la toiture pour installer un auditorium de 250 places, à gradins, dont l'entrée et la cabine de projection sont reportées à l'ouest. L'avant-projet sommaire de mai 1992 adopté, les travaux sont effectués en 1994 et 1995 (le gros oeuvre par la Sarl Moresk), et la salle Claude Debussy est inaugurée le 27 avril 1996. Elle a profité du classement fin 1991 de Joigny en ville d'art et d'histoire et de la volonté de la municipalité, en 1992, de relancer le cinéma (celui des Ducs de Bourgogne ayant fermé en juillet 1988). Elle accueille en effet des projections (argentiques avec un Kinoton FP 30D puis numériques à partir de 2014) jusqu'à l'ouverture du cinéma Agnès Varda en 2016 et encore, outre les concerts, des pièces de théâtres (soit en moyenne 25 spectacles par an, d'octobre à mai). Du fait de sa bonne acoustique, elle sert également de studio d'enregistrement.

En 1816, le conseil municipal décide de déplacer le marché au blé rue Saint-Jacques, près de la porte du même nom (qui sera démolie en 1824). L'architecte voyer Cerneau établit un projet au plan en U, comportant deux halles en bois parallèles réunies au nord par un logement pour le concierge ; un escalier donne accès à la rue située en contre-haut. Les deux halles sont bâties en 1818-1819 mais pas le logement, que le conseil décide de remplacer par un grand bâtiment accueillant une halle surmontée d’ "une vaste salle pour le recrutement et les adjudications publiques". Après un premier projet jugé trop coûteux, le deuxième projet de l'architecte auxerrois Emile Leblanc est adopté le 10 octobre 1822. Il est notablement modifié le 7 octobre 1823 suivant les observations du rapporteur du conseil des Bâtiments civils, Maximilien Joseph Hurtault. Les travaux sont adjugés le 20 juillet 1824 au maître maçon Bachelery et la première pierre est posée le 28 octobre suivant. Des malfaçons retardent le chantier, de nouveau arrêté le 8 octobre 1827 lorsque les voûtes décintrées la veille menacent de s'écrouler. Le conseil confie alors l’achèvement du bâtiment à l'entrepreneur Jubin, de Villeneuve-sur-Yonne, qui remplace les voûtes par un plancher. L'aménagement de la grande salle est confié en 1829 au Parisien Alexandre Bourla, auteur de théâtres à Paris, Limoges et Tournai. Le projet adopté en juillet 1832 prévoit une scène à l’est, une salle au décor d'inspiration pompéienne avec des loges d'avant-scène et deux balcons, un foyer à l’ouest. Les travaux sont adjugés en novembre 1832 à J. Bourbault et H. Bougault et la salle ouvre le 14 juin 1833.

Un petit corps de garde est ajouté à l'est en 1842, sur un dessin de l'architecte d'arrondissement Roblot. Des réparations à la couverture sont nécessaires dès 1859 et le perron sur la rue Saint-Jacques est reconstruit deux ans plus tard. L’étage de soubassement (halle) est attribué en 1884 à une société de gymnastique tandis que le rez-de-chaussée surélevé (théâtre) sert aux tournées, représentations et projections cinématographiques : Cinéma-Pathé, Cinéma Palace en 1920 puis en 1931 Théâtre municipal Artistic-Cinéma, dirigé par Raymond Besnard (également présent à Sens avec l'Eden Casino). Besnard le modernise cette année-là suivant le projet de l'architecte parisien Marcel Bourgeon (entraînant la démolition des avant-scènes et des loges et la construction d'une cabine de projectionniste à l'extérieur contre le mur est). Signalée en 1942 comme équipée pour la projection en 35 mm, la salle semble perdre ses décors à la fin des années 1950. En 1973, le site accueille toujours les projections du cinéma Artistic, exploité par la Société Cinéma et Spectacles dirigée par J. Tourte. En 1981, l'étage de soubassement est transformé en "Foyer des Anciens" sous la direction du cabinet d'architectes Davy et Zanetta, de Joigny. Le 6 février 1981, le conseil municipal demande l'étude de la restauration du théâtre à Camille Demangeat, scénographe à Villeneuve-sur-Yonne. Le projet est confié à l'architecte Didier Michelon, de Sens, qui rédige deux avant-projets sommaires en 1987 (salle de conférence et de projection de 200 places) et 1988. Le projet évolue en 1990 vers une réhabilitation lourde ne conservant que les murs et la toiture pour installer un auditorium de 250 places, à gradins, dont l'entrée et la cabine de projection sont reportées à l'ouest. L'avant-projet sommaire de mai 1992 adopté, les travaux sont effectués en 1994 et 1995, et la salle Claude Debussy est inaugurée le 27 avril 1996. Dotée d'un projecteur argentique (Kinoton FP 30D) puis numérique à partir de 2014, elle accueille projections cinématographiques, concerts (elle sert également de studio d'enregistrement) et pièces de théâtre, soit en moyenne 25 spectacles par an (d'octobre à mai).

  • Période(s)
    • Principale : 1er quart 19e siècle , daté par source, daté par travaux historiques
    • Principale : 2e quart 19e siècle , daté par source, daté par travaux historiques
    • Secondaire : 3e quart 19e siècle , daté par source, daté par travaux historiques
    • Secondaire : 2e quart 20e siècle , daté par source
    • Secondaire : 4e quart 20e siècle , daté par source
  • Dates
    • 1824, daté par source, daté par travaux historiques
  • Auteur(s)
    • Auteur :
      Cerneau
      Cerneau

      Cerneau. Arpenteur-géomètre à la fin du 18e siècle et sous l'Empire. Architecte voyer de Joigny en 1817.

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      architecte voyer attribution par source
    • Auteur :
      Leblanc Emile
      Leblanc Emile

      Leblanc, Emile (1799-1870 ou 1871). Architecte du département de l'Yonne en 1842. Architecte en chef du château de Versailles en 1848 et 1849 puis du château de Compiègne.

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      architecte attribution par travaux historiques
    • Auteur :
      Hurtault Maximilien Joseph
      Hurtault Maximilien Joseph

      Hurtault, Maximilien Joseph (1765-1824). Elève de Richard Mique et grand prix de Rome en 1797. Architecte au château de Fontainebleau et architecte de la ville de Paris en 1801. Elu membre de l'Académie des Beaux-Arts en 1819. Inspecteur général des Bâtiments civils.

      (Sources : https://data.bnf.fr/fr/15107969/maximilien_joseph_hurtault/, http://cths.fr/an/savant.php?id=124209 et https://fr.wikipedia.org/wiki/Maximilien_Joseph_Hurtault)

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      architecte des Bâtiments civils attribution par source, attribution par travaux historiques
    • Auteur :
      Bourla Alexandre
      Bourla Alexandre

      Bourla, Benoît Alexandre (1792-1850). Issu d'une famille d'architectes : fils de Jean Bruno Alexandre Bourla (vers 1751-1813), neveu de Pierre Bruno Bourla (1783-1866), petit-fils de Jean Bruno Joseph Bourla (?-1816). Admis à l'école des Beaux-Arts de Paris le 15 mai 1811. Architecte spécialisé dans la construction des théâtres (Joigny, Limoges, Tournay, Paris : le Cirque Olympique 1826-1828, le Panthéon 1832, la Gaîté 1835), salles de spectacle et salles des fêtes (Paris). Auteur de projets (non réalisés) de théâtres incombustibles au Havre et à Alger.

      (Source : https://agorha.inha.fr/ark:/54721/9c75905e-fd56-415e-8056-8887adea61c8)

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      architecte attribution par source, attribution par travaux historiques
    • Auteur :
      Roblot
      Roblot

      Roblot. Architecte de la ville et de l'arrondissement de Joigny en 1845.

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      architecte d'arrondissement attribution par travaux historiques
    • Auteur :
      Bourgeon Marcel
      Bourgeon Marcel

      Bourgeon, Marcel. Architecte à Paris en 1931. Membre de l'agence Lacourrege et Cartron (96 avenue des Ternes), il semble s'associer avec Marcel Dumontant. Etabli au 7 boulevard de Dixmude (et auparavant au 2 ou au 9 rue Frédéric Bastiat).

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      architecte attribution par source
    • Auteur :
      Davy et Zanetta Architectes
      Davy et Zanetta Architectes

      Davy et Zanetta Architectes. 8 avenue Gambetta à Joigny, en 1980. Cabinet réunissant Dominique Davy, architecte urbaniste, François Davy, architecte en chef des bâtiments civils et des palais nationaux, et Robert Zanetta, assistant. Se dit le successeur du cabinet Moreau et Devertu, 262 rue Saint-Jacques à Paris.

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    • Auteur :
      Michelon Didier
      Michelon Didier

      Michelon, Didier. Architecte à Sens (1 rue de la Bertauche en 1988, 5 boulevard Maupéou en 1994).

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      architecte attribution par source

Le bâtiment en pierre de taille comporte un étage de soubassement (halle au blé), un rez-de-chaussée surélevé et un étage carré (théâtre), ainsi qu'un comble. Le soubassement comporte 12 piliers (disposés en 3 lignes de 4) et se poursuit au nord par une cave voûtée en berceau plein-cintre, passant sous la terrasse et la chaussée (servant autrefois à l'évacuation des eaux ?). La salle avait à l'origine un plan en U, avec deux balcons et des loges d'avant-scène, et elle était accompagnée de deux foyers pour le public. Rectangulaire, elle est actuellement en gradins, avec régie son et lumière au-dessus de l'accueil à l'ouest et loge d'acteur à l'est. Les dessertes sont assurées par deux escaliers extérieurs en maçonnerie (un escalier droit à l'ouest pour joindre l'étage de soubassement et un escalier symétrique au nord, en façade, pour gagner la terrasse surélevée, aussi accessible par un ascenseur destiné aux handicapés dans l'angle nord-ouest) et deux autres récents en béton à l'intérieur. Le bâtiment est coiffé d'un toit à croupes à égouts retroussés couvert d'ardoises. Il se poursuit à l'est par l'ancien corps de garde (chaufferie actuelle) contre lequel s'adosse l'ancienne cabine de projection sur deux niveaux (pan de fer et briques creuses enduites) ; ces deux corps sont surmontés chacun d'un toit à croupe métallique. La halle (hangar) au sud-ouest est en pan de bois, avec charpente en bois apparente, toit à croupe au sud et pignon couvert au nord, tuiles mécaniques.

  • Murs
    • calcaire pierre de taille
    • bois pan de bois
    • fer pan de fer
    • brique creuse enduit
  • Toits
    ardoise, tuile mécanique, métal en couverture
  • Étages
    étage de soubassement, rez-de-chaussée surélevé, 1 étage carré, étage de comble
  • Couvrements
    • voûte en berceau plein-cintre
  • Élévations extérieures
    élévation à travées
  • Couvertures
    • toit à longs pans croupe
    • toit à longs pans pignon couvert
  • Escaliers
    • escalier de distribution extérieur : escalier symétrique en maçonnerie
    • escalier de distribution extérieur : escalier droit en maçonnerie
    • escalier dans-oeuvre : escalier tournant à retours avec jour en maçonnerie
    • escalier dans-oeuvre : escalier droit en maçonnerie
  • Autres organes de circulation
    ascenseur
  • Statut de la propriété
    propriété publique
  • Bouchier, Thierry. Directeur des affaires culturelles et du conservatoire de Joigny.

    18 octobre 2022

Documents d'archives

  • Archives municipales de Joigny : 1 M 2 Halle aux grains. 1816-1927.

    Archives municipales, Joigny : 1 M 2
  • Archives municipales de Joigny : 1 M 23 Halle aux grains. 1980.

    Archives municipales, Joigny : 1 M 23
  • Archives municipales de Joigny : 3 M 2 Théâtre. 1859-1934.

    Archives municipales, Joigny : 3 M 2
  • Archives municipales de Joigny : 14 W 5 Ancien cinéma, salle de théâtre, salle Claude Debussy. 1980-1996. 5 boîtes.

    Archives municipales, Joigny : 14 W 5
  • Archives municipales de Tonnerre : 7 M. Théâtre. An XI-1922.

    Archives municipales, Tonnerre : 7 M
    Contrat de location du théâtre de Joigny à Edmond Galiment. 10 août 1919.
  • La salle Debussy à Joigny. Présentation [notice technique]. Mars 2018. [4] p. : ill. 30 cm.

Bibliographie

  • Annuaire du cinéma Bellefaye. Paris : Bellefaye, 1948-2015.

    Titres :

    Annuaire du cinéma. [1948]-1963.

    Annuaire du cinéma et télévision. 1964-1985

    Annuaire du cinéma, télévision, vidéo. 1986-2005.

    Annuaire du cinéma et de l'audiovisuel. 2006-2015.

    Numérique à partir de 2016.

    1950 p. 502, 1960 p. 589, 1970 p. 568, 1980 p. 563.
  • Annuaire général de la Cinématographie et des Industries qui s'y rattachent. Paris : Cinémagazine, 1922-...

    Suite de : Almanach du Cinéma. Paris : Cinémagazine-édition, 1922-1924.

    1930-31, p. 480.
  • Annuaire Général du Spectacle en France. 1942-1943. [Paris] : [Impr. spéciale des Guides du Commerce de Paris], 1943. 1052 p. : ill. ; 25 cm.

    p. 752.
  • Bolzinger, J. Une Maison des Jeunes et de la Culture en 1833 au Théâtre de Joigny. L'Echo de Joigny, n° 11, 1973, p. 15-18 : ill.

  • Breuillet, François. Les grilles de la halle au blé, témoins de la circulation à Joigny. L'Echo de Joigny, 1970, n° 1, p. 6-7 : ill.

  • David de Pénanrun, Louis-Thérèse ; Roux, François ; Delaire, Edmond Augustin. Les architectes élèves de l'École des beaux-arts (1793-1907). 2e éd. Paris : Librairie de la Construction moderne, 1907. [1 f.]-XII-484 p. ; 25 cm.

    p. 193.
  • Gardiennet, Marie-Céline. Histoire du spectacle cinématographique dans l'Yonne de 1896 à 1930. Université de Bourgogne, 1998. 211 p. : ill. ; 30 cm. Mém. Maît. : Histoire : Dijon : 1998.

    Bibliothèque universitaire, Dijon : Magasin 199323
  • Gourlier, Charles ; Biet, J.-E. ; Grillon, Edme Jean-Louis ; Tardieu, Eugène. Choix d'édifices publics projetés et construits en France depuis le commencement du XIXe siècle. Paris : Louis Colas, 1825-1850. 3 vol. : tout en ill. ; in fol. Vol. 1 : 1825-1836. 1837 ; vol. 2 : 1837-1844. 1847 ; vol. 3 : 1845-1850. 1851.

    Vol. 1, 1837, Edifices mixtes, pl. 5-6.
  • Hugonnet-Berger, Claudine ; Maulmin, Pascale de ; Sonnet, Bernard. Théâtres en Bourgogne : architectures du spectacle 1800-1940 / Service régional de l'Inventaire général, Direction régionale des Affaires culturelles de Bourgogne ; photogr. Michel Rosso ; carte Alain Morelière. Dijon : Direction régionale des Affaires culturelles, 1996. 28 p. : ill. ; 23 cm. (Itinéraires du Patrimoine ; 124).

    P. 20-22 : ill.
  • Pérille-Courcelle, Augustin. Journal ou Annales sur Joigny. 1822-1833. [L'auteur], s.d. [1844]. Manuscrit.

    Bibliothèque municipale, Joigny
    Années 1824, 1826-1829, 1832.
  • Pinon, Pierre. Une ville s'équipe : Joigny sous la Restauration et la Monarchie de Juillet. Dans : Archéologie, histoire et folklore du nord de l'Yonne : actes du 56e congrès de l'Association bourguignonne des Sociétés savantes, Villeneuve sur Yonne, 31 mai - 2 juin 1985. Villeneuve-sur-Yonne : Amis du Vieux Villeneuve, 1986.

    p. 154-167 : ill.
  • Urbamedia. Création d'un cinéma à Joigny (Yonne). Etude de marché. Paris : Urbamedia, mai 1989. 44 p. ; 30 cm.

    Archives municipales, Joigny : 14 W 5

Documents figurés

  • Plan des bâtimens, hallages, places & du marché à blé de Joigny projeté sur le terrain de la Petite Bute […] Dessin (plume, lavis), par Cerneau. Joigny le 18 avril 1817. 81 x 38 cm, sans éch.

    Archives municipales, Joigny : Portefeuille de plans 4030
  • Elévation de la partie de hâlle à construire dans la ville de Joigny. Dessin sur calque (plume), s.n. [par l'architecte Cerneau ?]. Décembre 1817. 1/100.

    Archives nationales, Paris : F/21/1908
  • [Plans, coupes et élévations]. Dessin imprimé, par l'architecte Hurtault. S.d. [1823-1824]. Publiés dans : Gourlier, Charles ; Biet, J.-E. ; Grillon, Edme Jean-Louis ; Tardieu, Eugène. Choix d'édifices publics projetés et construits en France depuis le commencement du XIXe siècle. Vol. 1. Paris : Louis Colas, 1837, Edifices mixtes, pl. 5-6.

  • Dept de l'Yonne. Hâlle à Joigny. Dessin sur calque (plume), s.n. [par l'architecte Hurtault]. Avril 1824. Sans échelle. Porte la date octobre 1823 sur la jaquette.

    Archives nationales, Paris : F/21/1908
  • Théâtre de la ville de Joigny [élévations et coupes]. Dessin (plume, lavis) sur papier collé sur carton, par l'architecte A. Bourla. S.d. [1829-1830]. 1/100.

    - Elévation générale côté de la place St Jacques. N° 6. (G/82/89/2008-039060)

    - Coupe sur la longueur de la salle. N° 7. (G/82/89/2008-039062)

    - Coupe sur la largeur au droit de l'avant-scène, Coupe sur la largeur au droit des loges [et] Détail du plafond. N° 8. (G/82/89/2008-039064)

    - Coupe du théâtre ajusté en salle de bal [et] Coupe du théâtre ajusté en salle de vente. N° 9. (G/82/89/2008-039061)

    - Détail pris au droit de l'avant-scène [et] Détail pris au fond de la salle. N° 10. (G/82/89/2008-039063)

    - Détail des frontons. (G/82/89/2008-039065)

    Médiathèque du patrimoine et de la photographie, Charenton-le-Pont : G/82/89/2008-039060 à G/82/89/2008-039065
  • Ville de Joigny. Construction de la salle de spectacle [plans]. Dessin (plume, lavis), par A. Bourla. 1832. 1/33.

    - Plan et détails du rez-de-chaussée. 65 x 99 cm.

    - Rez de chaussée. Pour le menuisier. 49 x 61 cm.

    - Détails du rez de chaussée. Pour le charpentier. 50,5 x 62,5 cm.

    - Détails de la scène. Pour le menuisier machiniste. 50,5 x 47 cm.

    - Plan du 1er étage comprenant 1ères loges de face, 1ères loges de côté, 1ère galerie, balcon, 1ères loges d'avant-scène. 61,5 x 99 cm.

    - Plan du 1er étage. 64,5 x 99 cm.

    - [1er étage : loges et banquettes]. Pour le menuisier. 49 x 62,5 cm.

    - Détail du 1er étage. Pour le charpentier. 50 x 64 cm.

    - Plan du 2e étage, amphithéâtre et 2e avant-scène. 61,5 x 99 cm.

    - Plan et détails du 2e étage. 61,5 x 98 cm.

    - [2e étage : loges et banquettes]. Pour le menuisier. 47 x 63,5 cm.

    - Détail du 2e étage. Pour le charpentier. 51 x 47 cm.

    Archives municipales, Joigny : Portefeuille de plans 4030
  • Ville de Joigny. Construction de la salle de spectacle [coupes]. Dessin (plume, lavis), par A. Bourla. 1832. 1/33.

    - Coupe générale sur la longueur de la salle. 38,5 x 55 cm.

    - Coupe sur la longueur de la salle. Pour la Ville de Joigny. 31 x 47 cm.

    - Coupe générale sur la longueur de la salle. Pour le menuisier. 39 x 47 cm.

    - Coupe générale sur la longeur [sic] de la salle. Pour le charpentier. Dessin (plume, lavis, crayon de papier). 39 x 52,5 cm.

    - Coupe de la salle en regardant les 1ères loges. 38,5 x 50 cm.

    - Coupe sur la largeur de la salle. Pour la Ville de Joigny. 35,5 x 47 cm.

    - Coupe de la salle en regardant les 1ères loges. Détails pour le menuisier. 36,5 x 50 cm.

    - Coupe de la salle en regardant les 1ères loges. Pour le charpentier. 36,5 x 54,5 cm.

    - Coupe sur la largeur de la salle côté du rideau. Pour la Ville de Joigny. 48 x 60,5 cm.

    - Coupe prise au droit de l'avant-scène. Pour le menuisier. 38,5 x 53 cm.

    - Coupe prise au droit de l'avant-scène. Pour le charpentier. 41 x 54,5 cm.

    - Coupe de la partie théâtrale prise sur la hauteur [avec dessin des machines]. Pour le menuisier machiniste. 64,5 x 50 cm, sans éch. [1/33 ?].

    - Coupe de la partie théâtrale prise sur la hauteur. Pour le charpentier. Dessin (plume, lavis, crayon de papier). 63,5 x 49,5 cm, sans éch. [1/33 ?].

    Archives municipales, Joigny : Portefeuille de plans 4030
  • [Plan et coupes de la charpente]. Dessin (plume), s.n. [par l'architecte voyer A. Benoît ?]. S.d. [1859 ?]. 55,5 x 43,5 cm, sans éch.

    Archives municipales, Joigny : Portefeuille de plans 4030
  • Plan et élévation de la passerelle [à établir contre le mur ouest pour aménager une issue de secours]. Dessin (plume, lavis), s.n. S.d. [1899]. 40 x 31 cm, 1/50.

    Archives municipales, Joigny : 3 M 2
  • Théâtre municipal. Transformations. Dessin (tirage), par les architectes Marcel Dumontant et Marcel Bourgeon. Paris le 18 mai 1931. 1/50.

    - Plan du rez-de-chaussée. 55,5 x 75 cm.

    - Coupes. 55 x 75 cm.

    Archives municipales, Joigny : 3 M 2
  • Théâtre municipal. Transformations. Dessin (tirage), par l'architecte Marcel Bourgeon. Paris 26 juin 1932. 1/50.

    - Etat actuel. Plan du rez-de-chaussée. 25 juin 1932. 54,5 x 75 cm.

    - Cabine et bureau. Planche de détail. 41 x 63,5 cm.

    - Coupes. 55,5 x 75 cm.

    - Détails de menuiseries. 54,5 x 75 cm. Sans échelle.

    - Façade. 55 x 75 cm.

    Archives municipales, Joigny : 3 M 2
  • Projet d'aménagement de l'ancienne halle aux grains. Dessin (tirage), par le Cabinet Davy et Zanetta Architectes. Mai-juin 1980. 1/50.

    - Plans - coupes. APD.DCE. 1. 60,5 x 170 cm.

    - Façade. 55,5 x 104 cm.

    Archives municipales, Joigny : 1 M 23
  • [Façade antérieure du théâtre, de trois quarts droite]. Photographie en couleur, s.n. S.d. [1988]. 3 tirages.

    Archives municipales, Joigny : 14 W 5
  • Réaménagement de l'ancien théâtre. Etat actuel. Dessin (tirage), par l'architecte Didier Michelon. 17 mai 1988. 1/50.

    - Façade nord. RT 87_355_008. 44 x 105 cm.

    - Façade sud. RT 87_355_009. 54 x 105 cm.

    - Pignons. RT 87_355_010. 54 x 126 cm.

    Bibliothèque municipale, Joigny : Dossiers de protection. Halle aux Grains
  • Réaménagement de l'ancien théâtre. APD. Dessin (tirage), par l'architecte Didier Michelon. 18 mai 1988. 1/50.

    - Plan R.d.C. RT 87_355_011. 47,5 x 100 cm.

    - Plan R + 1. RT 87_355_012. 40 x 61,5 cm.

    - Façade nord. RT 87_355_013. 43,5 x 103 cm.

    - Pignons. RT 87_355_014. 54 x 125,5 cm.

    Bibliothèque municipale, Joigny : Dossiers de protection. Halle aux Grains
  • Réaménagement de l'ancien théâtre. Plans - coupes - façades. Etat des lieux. Dessin (tirage), par l'architecte Didier Michelon. 6 décembre 1992. 72 x 118,5 cm, 1/100.

    Archives municipales, Joigny : 14 W 5
  • Réaménagement de l'ancien théâtre [plan et coupes]. Dessin (tirage), par l'architecte Didier Michelon. Septembre 1994. 1/50.

    - Plan RdC 0.00. 67,5 x 121,5 cm.

    - Coupe 1. 67,5 x 113,5 cm.

    - Coupes 2-3. 68 x 118,5 cm.

    Archives municipales, Joigny : 14 W 5

Documents multimédia

  • Base Conbavil. Dépouillement analytique des procès-verbaux des séances du Conseil des Bâtiments civils (1795-1840). Base accessible sur le site de l'Institut national d'Histoire de l'Art : https://www.inha.fr/fr/ressources/outils-documentaires/conseil-des-batiments-civils-conbavil.html

    Halle de Joigny : 2 enregistrements (archives nationales : f/21/1908), décembre 1817 et avril 1824 (consultation du 7 décembre 2022).
  • Michelon, Didier. Salle de spectacles Debussy à Joigny [en ligne]. Septembre 2022 [consultation du 9 décembre 2022]. Accès internet : https://www.caue-observatoire.fr/ouvrage/salle-de-spectacles-debussy-a-joigny

Annexes

  • Mention des travaux de la halle au blé dans les annales de Joigny, années 1824-1832.
  • Le théâtre de Joigny, par Claudine Hugonnet-Berger, 1996.
  • Notice technique sur la salle, 2018.
Date(s) d'enquête : 1996; Date(s) de rédaction : 1996, 2022
(c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
Hugonnet-Berger Claudine
Hugonnet-Berger Claudine

Hugonnet-Berger, Claudine. Chercheur au service de l'Inventaire de Bourgogne.

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Poupard Laurent
Poupard Laurent

Poupard, Laurent. Chercheur au service Inventaire et Patrimoine de la Région Bourgogne-Franche-Comté, 1987-

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