Dossier d’œuvre architecture IA58001228 | Réalisé par
Dufoulon Fabien (Contributeur)
Dufoulon Fabien

Fabien Dufoulon, chercheur. Région Bourgogne-Franche-Comté, Service Inventaire et Patrimoine, 2018-

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  • enquête thématique régionale, thermalisme en Bourgogne-Franche-Comté (le)
maison 5 avenue Claude Dellys dite Villa Les Myosotis, puis maison d'enfants
Œuvre étudiée
Auteur
Copyright
  • (c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine

Dossier non géolocalisé

Localisation
  • Aire d'étude et canton Bourgogne-Franche-Comté
  • Commune Saint-Honoré-les-Bains
  • Adresse 5 avenue Claude Dellys
  • Cadastre 2019 AD 144-145
  • Dénominations
    maison
  • Précision dénomination
    maison de villégiature
  • Appellations
    Villa Les Myosotis
  • Destinations
    colonie de vacances
  • Dossier dont ce dossier est partie constituante
  • Parties constituantes non étudiées
    parc

À cet emplacement est d'abord construite une modeste maison (4 ouvertures) par le peintre sur verre Lucien-Léopold Lobin au début des années 1880. La fréquentation de la station thermale par l'artiste explique sans doute son intervention dans plusieurs villas, dont celles du docteur Binet et du docteur Collin.

Construction de la villa

Henriette Mathé, rentière résidant à Paris, achète le terrain en 1893. Elle s'adresse à l'architecte départemental Claude Camuzat, qui fait construire une villa qui correspond aujourd'hui à la partie sud de l'édifice actuel. On la reconnaît dans son état ancien sur les cartes postales qui circulent dans la première décennie du 20e siècle. Le travail de l'architecte est exceptionnellement bien documenté. On conserve en effet environ 80 dessins (Archives départementales de la Nièvre, fonds Charles Brazeau) correspondant à cette première campagne de travaux. Ils couvrent une période allant d'août 1893 à avril 1895. La villa est achevée cette année-là et compte alors 27 ouvertures. Dès le premier projet (8 août 1893), les principaux éléments du plan et des élévations sont en place. À la suite vraisemblablement d'une demande du commanditaire, un deuxième projet est rapidement présenté. Au détriment de l'une des deux chambres du rez-de-chaussée qui perd sa garde-robe, un escalier en vis est ajouté pour desservir tous les niveaux, y compris le sous-sol (cuisines et bûchers) et les combles (chambres de bonnes). L'architecte présente enfin un troisième et dernier projet (6 septembre 1893) dans lequel il modifie la disposition des alcôves des chambres à l'étage. Le plan définitif ne semble être adopté que le 5 mai 1894. La dernière modification concerne la toiture et la façade nord. La croupe de la toiture vient remplacer le pignon couvert initialement prévu. Parmi les autres documents datés on compte les plans du solivage (5 juin 1894) et divers dessins d'exécution : consoles du balcon et dessus de la porte d'entrée (1er juillet 1894), corniches et moulures extérieures (22 août 1894, 17 septembre 1894, 11 octobre 1894) ou encore balustres et couronnement de balustrade (5 décembre 1894, 20 avril 1895). L'architecte dessine aussi la porte d'entrée (25 octobre 1894), les lambris en sapin du salon et de la salle à manger (novembre 1894) et les corniches des petites chambres (15 janvier 1895). On conserve enfin un dessin du décor de ferronnerie du dessus de la porte d'entrée au chiffre d'Henriette Mathé daté du 26 avril 1895. Pour le garde-corps des deux balcons, l'architecte reprend sans doute un modèle existant. Charles Brazeau l'utilise en effet dans un édifice qu'il signe à Nevers (actuellement, immeuble n°1 square de la Résistance) et on le retrouve ailleurs (immeuble n°10 avenue Marceau, immeuble n°22 avenue Hoche, maison n°40 rue Jean-Baptiste Gresset).

Agrandissement de la villa

C'est au printemps 1906 qu'un projet de jardin d'hiver est élaboré par l'architecte. Après avoir d'abord songé à créer deux vérandas adossées de part et d'autre de la villa, l'une ouvrant sur la salle à manger au sud et l'autre sur le salon au nord, il propose la construction d'un véritable édicule isolé de plan octogonal. On en conserve un plan daté de mai 1906. Le jardin d'hiver est érigé sur un soubassement et relié à la villa par un passage, peut-être suspendu, donnant sur un couloir aménagé en sacrifiant l'alcôve de l'une des chambres du rez-de-chaussée. E. Renault ou E. R. Chault (?), constructeur à Nevers, a apposé deux plaques de firme. Le sol est sans doute dès cette époque décoré d'une mosaïque. Ce jardin d'hiver est agrandi tardivement (sans doute dans les années 1930-1940). Les panneaux métalliques des anciens côtés sont remontés en façade orientale, et le décor de mosaïque du sol est complété par de simples carreaux de céramique.

Henriette Mathé, désormais épouse Carrez, fait agrandir la villa avant la première guerre mondiale. Camuzat lui propose la construction d'un pavillon de plan carré au nord. Les projets datent de novembre 1912 et de mars 1913. Ils montrent une hésitation quant à la distribution. Dans certains dessins, le pavillon se présente comme une extension autonome, relié à la villa par un couloir et cloisonné pour former un appartement. Le parti finalement adopté consiste au contraire à créer à chaque niveau du pavillon une seule grande pièce largement ouverte sur le reste de l'édifice pour former un grand appartement. Pour permettre la circulation entre le deuxième étage carré du nouveau pavillon et la villa, la toiture de cette dernière est exhaussée (projets de charpente datés de mai 1913). Les trois anciennes lucarnes en pierre sont conservées. En août et septembre 1913, l'architecte élabore la forme de la toiture, des chéneaux et des corniches du nouveau pavillon. C'est sans doute à cette époque que sont dessinés les autres détails ornementaux (lucarnes et agrafe). Les travaux de menuiserie sont confiés à Jean-Marie Perceau de Saint-Honoré-les-Bains. Les toitures sont enfin ornées des riches crêtes faitières et d'épis en forme de vase (modèle de l'album Miltgen) qui ont depuis été remplacés. L'appui des baies du second étage (modèle de l'album Durenne) est en revanche encore en place, tout comme le garde-corps du balcon exécuté selon le même dessin que celui des deux premiers balcons. Les travaux portent également sur l'aménagement intérieur (décor du couloir d'entrée, décor de la salle de bain, décor du grand salon au rez-de-chaussée et de la grande chambre au premier étage). Les travaux sont sans doute achevés au début de l'année 1914.

Aménagement de la maison d'enfants

La Villa Les Myosotis reste la propriété de la famille Mathé-Carrez jusqu'à la mort sans héritier d'Henriette Carrez en 1953. Le demeure revient alors à l’État, qui y établit une colonie de vacances pour les enfants d'Algérie, et notamment les victimes du tremblement de terre d'Orléansville de septembre 1954. Le séjour des enfants à Saint-Honoré-les-Bains a été immortalisé par un film du Service cinématographique du gouvernement général de l'Algérie. Au nord de la villa, le bâtiment à deux niveaux abritant les dortoirs et celui en rez-de-chaussée aménagé en salles de classes doivent avoir été construits autour de 1955. Les cuisines se situent en revanche encore au sous-sol de l'ancienne demeure, et le jardin d'hiver est utilisé comme réfectoire. La Villa Les Myosotis est finalement donnée par le général de Gaulle à l'Ordre des Pupilles d'Alger en 1962. Le domaine est loué par le docteur Paul Largier à partir de 1968. D'importants travaux sont effectués à partir de cette date pour moderniser la maison d'enfants, établissement privé dont il devient le directeur. Le bâtiment des classes est doublé en longueur (vers le nord) et en profondeur (vers l'ouest) et abrite le restaurant, la cuisine, l'économat et la salle des fêtes. Deux bâtiments annexes sont par ailleurs construits pour servir de salle de classe et d'atelier (préfabriqués). Dans la villa elle-même, une grande lucarne rampante permet d'ouvrir plus largement l'étage de comble du côté sud. Le domaine peut ainsi accueillir jusqu'à 70 enfants et adolescents. Sa fermeture en 2013 marque la fin de ce qui constitue l'une des spécificités de la station thermale de Saint-Honoré-les-Bains, inaugurée à la Villa Bon Accueil dans les années 1930. Il n'existe plus aujourd'hui dans la commune de lieu dédié spécifiquement à l'accueil des plus jeunes.

La Villa Les Myosotis abrite aujourd'hui des chambres d'hôtes. D'importants travaux ont été récemment réalisés à l'intérieur. Les décors anciens encore en place ont été conservés.

Situation de la villa

La villa est érigée au sein d'un parc qui s'étend aujourd'hui sur 1,36 hectare. Elle domine le flanc sud de la colline des Garennes et bénéficie d'une vue exceptionnelle sur les Pâtureaux et sans doute également à l'origine sur le château de La Montagne, situé à 1 100 mètres à vol d'oiseau. On y accède à l'origine uniquement par l'actuelle avenue Claude Dellys, puisque le domaine ne s'étend pas jusqu'à l'actuelle rue Joseph Duriaux. La frange sud du domaine actuel est en effet un fragment du parc thermal annexé en 1901. La clôture du côté de l'actuelle avenue Claude Dellys est ancienne et partiellement conservée. Elle est composée d'une grille sur muret avec un pilier d'angle. Le portillon donnant sur l'actuelle rue Joseph Duriaux doit être plus tardif. Ils subsistent deux pompes anciennes dans le parc. Une pompe à roue (type pompe à chapelets) est près du puits et une pompe à levier correspondant peut-être à un réservoir souterrain (?) se situe à proximité de la villa. Les cages du terrain de football et les jeux d'enfants (tourniquet et balançoire à bascule) ont été installés à l'époque de la maison d'enfants.

Plan et élévation de la villa

La demeure est composée d'un corps de plan rectangulaire de trois travées de longueur et de deux travées de largeur s'élevant sur un rez-de-chaussée surélevé et un étage carré couvert d'un toit à longs pans, auquel s'ajoute un pavillon de plan carré d'une travée de côté s'élevant sur un rez-de-chaussée et deux étages carrés couvert d'un toit à plusieurs pans brisées et terrasson sommital. La façade principale est tournée vers l'est. Elle associe la pierre de taille et la brique. La travée sud forme un avant-corps à pans coupés surmonté d'une croupe polygonale, auquel fait écho le pavillon également à pans coupés. La porte d'entrée est précédée d'un perron à balustrade. Les fenêtres sont rectangulaires à l'exception de la grande baie à l'étage du pavillon couverte d'un arc en anse de panier. Le premier étage ouvre sur l'extérieur par trois balcons sur consoles en pierre avec garde-corps en fer et fonte. La partie supérieure de la porte d'entrée présente un décor en pierre sculptée (disque et table, volutes, gouttes) et en fer forgé (entrelacs avec chiffre d'Henriette Mathé, la propriétaire).

La distribution intérieure se fait à partir d'un couloir qui traverse la demeure et donne accès à l'escalier en bois. Son sol est décoré d'une mosaïque. Du côté nord, au rez-de-chaussée comme au premier étage, deux pièces ouvrent l'une sur l'autre. Elles correspondent à l'actuelle "suite Georges" (à l'origine, salon et grand salon) au rez-de-chaussée et à l'actuelle "suite Henriette" (à l'origine, chambre de toilette et grande chambre) au premier étage. Du côté sud se situent un salon (ancienne salle à manger) et une cuisine (ancienne chambre) au rez-de-chaussée et l'actuelle "suite Catharina" (à l'origine, deux chambres à coucher distinctes) au premier étage. Plusieurs pièces conservent leur parquet ancien, comme la chambre de toilette (parquet à l'anglaise) et la grande chambre (parquet à points-de-Hongrie). Est également conservé le sol d'une salle de bain (située au-dessus du couloir d'entrée) qui ouvrait à l'origine sur la chambre de toilette. La grande chambre du premier étage est la pièce la plus remarquable. Elle ouvre sur la chambre de toilette par une arcade couverte d'un arc en anse de panier qui répond à celui de la baie de la chambre. Les lambris de plâtre sont conservés.

Jardin d'hiver

Le jardin d'hiver est accessible depuis l'extérieur par un perron. Il donne également sur une pièce du rez-de-chaussée dont on ignore la fonction première (actuellement, une cuisine). La partie centrale, la plus ancienne, repose sur un soubassement couvert d'un plancher métallique (entrevous en berceau segmentaire en brique sur solives métalliques). Une poutre métallique, encore visible dans l'extension, pourrait suggérer que l'accès au jardin d'hiver se faisait à l’origine par un couloir suspendu. Les principaux éléments du décor sont, à l'extérieur, les garde-corps en fer forgé (perron et balconnet) et, à l'intérieur, le décor du sol en mosaïque. Le chiffre du balconnet ("H.M.") est celui d'Henriette Mathé. Celui du sol ("M.C.") doit renvoyer au mariage Mathé-Carrez.

  • Murs
    • calcaire moellon enduit (incertitude)
    • calcaire pierre de taille
    • brique
    • métal
  • Toits
    ardoise, zinc en couverture
  • Plans
    plan régulier
  • Étages
    étage de soubassement, rez-de-chaussée surélevé, 2 étages carrés, étage de comble
  • Élévations extérieures
    élévation à travées
  • Couvertures
    • toit à longs pans croupe polygonale
    • toit à plusieurs pans brisés
  • Escaliers
    • escalier dans-oeuvre : escalier tournant en charpente
  • Autres organes de circulation
    ascenseur
  • Typologies
    baie rectangulaire ; baie avec arc surbaissé
  • État de conservation
    restauré
  • Techniques
    • ferronnerie
    • sculpture
    • mosaïque
  • Représentations
    • monogramme
    • volute
    • entrelacs
    • acanthe
  • Statut de la propriété
    propriété d'une personne privée
  • Intérêt de l'œuvre
    à signaler

Documents d'archives

  • Archives départementales de la Nièvre. Cadastre de la commune de Saint-Honoré-les-Bains. [1832-1951].

    - Atlas parcellaire (1832) : 3 PP 246

    - État de section (1832) : 3 P 246/1

    - Matrices cadastrales des propriétés bâties et non bâties : 3 P 246/2 (folio 1 à 380), 3 P 246/3 (folio 381 à 780), 3 P 246/4 (folio 781 à 1168)

    - Matrice cadastrale des propriétés bâties (1882-1914) : 3 P 246/5

    - Matrice cadastrale dite « matrice noire » des propriétés bâties : 3 P 246/6

    - Matrices cadastrales des propriétés non bâties : 3 P 246/7, 3 P 246/8, 3 P 246/9

    Archives départementales de la Nièvre, Nevers : 3 P 246
    Section A, parcelle 470.
  • Archives départementales de la Nièvre. 11 J 61. Fonds Charles Brazeau. Projets divers non identifiés.

    Archives départementales de la Nièvre, Nevers : 11 J 61
  • Archives départementales de la Nièvre. 11 J 78. Fonds Charles Brazeau. Aménagement d'une maison à Saint-Honoré-les-Bains.

    Archives départementales de la Nièvre, Nevers : 11 J 78

Bibliographie

  • Cario, Fabrice, Cario, Yveline. Saint-Honoré-les-Bains, la perle du Morvan. [s.l.] : La Licorne, 1984. 90 p.

    P. 20.
  • Delarue, Monique. Ducros, Henri. Fréguin, Michel. Olivier, Henri. Saint-Honoré-les-Bains. Saint-Cyr-sur-Loire : Alan Sutton, 2005. Mémoire en images, ISSN 1355-5723. 128 p. ISBN 2-84253-539-1.

    P. 71.
  • Destrade, Pierre. Gauthé-Ranty, Paule. 62 ans après son premier séjour, Hamid Ait Hammouda retrouve Saint-Honoré-Les-Bains. Le Journal du Centre, 1er janvier 2018.

Documents figurés

  • Propriété de Madame Mathé. Projet d'une villa à construire à Saint-Honoré-les-Bains. Premier projet / [Claude Camuzat]. 8 août 1893. Dessin. 60,5 x 36 cm.

    Archives départementales de la Nièvre, Nevers : 11 J 78
  • Madame Mathé. Premier projet. Plan du rez-de-chaussée / [Claude Camuzat]. 8 août 1893. Dessin. 70 x 57 cm. Échelle 1/100.

    Archives départementales de la Nièvre, Nevers : 11 J 78
  • Madame Mathé. Premier projet. Plan du premier étage / [Claude Camuzat]. 8 août 1893. Dessin. 40 x 44,5 cm. Échelle 1/100.

    Archives départementales de la Nièvre, Nevers : 11 J 78
  • Propriété de Madame Mathé. Projet de construction d'une villa à Saint-Honoré-les-Bains. Deuxième projet. Plan du premier étage / [Claude Camuzat]. [Août 1893]. Dessin. 48,5 x 53,5 cm. Échelle 1/50.

    Archives départementales de la Nièvre, Nevers : 11 J 78
  • Madame Mathé. Plan du rez-de-chaussée, n°3 / [Claude Camuzat]. 6 septembre 1893. Dessin. 40 x 45 cm. Échelle 1/50.

    Archives départementales de la Nièvre, Nevers : 11 J 78
  • Madame Mathé. Plan du premier étage, n°3 / [Claude Camuzat]. 6 septembre 1893. Dessin. 37 x 48 cm. Échelle 1/50.

    Archives départementales de la Nièvre, Nevers : 11 J 78
  • Propriété de Madame Mathé. Projet de construction d'une villa à Saint-Honoré-les-Bains (Nièvre). Plan du rez-de-chaussée / C. Camuzat. 5 mai 1894. Dessin. 40 x 54 cm. Échelle 1/50.

    Archives départementales de la Nièvre, Nevers : 11 J 78
  • Propriété de Madame Mathé. Projet de construction d'une villa à Saint-Honoré-les-Bains (Nièvre). Plan du premier étage / C. Camuzat. 5 mai 1894. Dessin. 40 x 54 cm. Échelle 1/50.

    Archives départementales de la Nièvre, Nevers : 11 J 78
  • Propriété de Madame Mathé. Projet de construction d'une villa à Saint-Honoré-les-Bains (Nièvre). Façade latérale de gauche et façade postérieure / C. Camuzat. 5 mai 1894. Dessin. 74 x 52 cm. Échelle 1/50.

    Archives départementales de la Nièvre, Nevers : 11 J 78
  • Villa de Madame H. Mathé à Saint-Honoré-les-Bains. Plan de l'escalier de service / [Claude Camuzat]. [Vers 1894-1895]. Dessin. 35 x 30 cm. Échelle 1/20.

    Archives départementales de la Nièvre, Nevers : 11 J 78
  • Propriété de Madame Mathé à Saint-Honoré-les-Bains (Nièvre). Construction d'une villa. Couronnement du balustre de départ / [Claude Camuzat]. 20 avril 1895. Dessin. 63 x 58 cm. Grandeur d'exécution.

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  • [Balustre] / [Claude Camuzat]. [Vers 1895]. Dessin. 113 x 68 cm. Grandeur d'exécution.

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  • Propriété de Madame Mathé à Saint-Honoré-les-Bains (Nièvre). Porte d'entrée. Détails et profils / [Charles Camuzat]. 25 octobre 1894. Dessin. 69 x 55 cm. Grandeur d'exécution.

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  • Propriété de Madame Mathé demeurant à Saint-Honoré-les-Bains (Nièvre) / [Claude Camuzat]. 26 avril 1895. Dessin. 58 x 55 cm. In : Archives départementales de la Nièvre. 11 J 78. Fonds Charles Brazeau. Aménagement d'une maison à Saint-Honoré-les-Bains.

    Archives départementales de la Nièvre, Nevers : 11 J 78
  • Madame H. Mathé à Saint-Honoré-les-Bains. Plan du rez-de-chaussée. Projet de pavillon-véranda / [Claude Camuzat]. Mai 1906. Dessin. 54 x 44 cm. Échelle 1/50. In : Archives départementales de la Nièvre. 11 J 78. Fonds Charles Brazeau. Aménagement d'une maison à Saint-Honoré-les-Bains.

    Archives départementales de la Nièvre, Nevers : 11 J 78
  • Villa de Madame H. Mathé à Saint-Honoré-les-Bains. Projet de construction d'un pavillon, angle sud-est. Plan, rez-de-chaussée / C. Camuzat. Novembre 1912. Dessin. 52 x 39 cm. Échelle 1/50.

    Archives départementales de la Nièvre, Nevers : 11 J 78
  • Villa de Madame H. Mathé à Saint-Honoré-les-Bains. Projet de construction d'un pavillon, angle sud-est. Plan, premier étage / Charles Camuzat. Novembre 1912. Dessin. 52 x 39 cm. Échelle 1/50.

    Archives départementales de la Nièvre, Nevers : 11 J 78
  • Villa de Madame H. Mathé à Saint-Honoré-les-Bains. Projet de construction d'un pavillon sud-est. Façade au midi / C. Camuzat. Novembre 1912. Dessin. 47 x 48 cm. Échelle 1/50.

    Archives départementales de la Nièvre, Nevers : 11 J 78
  • Villa de Madame H. Mathé à Saint-Honoré-les-Bains. Projet de construction d'un pavillon sud-est. Façade à l'est / C. Camuzat. Novembre 1912. Dessin. 47 x 49,5 cm. Échelle 1/50.

    Archives départementales de la Nièvre, Nevers : 11 J 78
  • Villa de Madame H. Carez à Saint-Honoré-les-Bains (Nièvre). Projet de construction d'un pavillon sud-est. Plan du rez-de-chaussée / Claude Camuzat. Mars 1913. Dessin. 49,5 x 42,5 cm. Échelle 1/50.

    Archives départementales de la Nièvre, Nevers : 11 J 78
  • Villa de Madame H. Carez à Saint-Honoré-les-Bains (Nièvre). Projet de construction d'un pavillon sud-est. Plan du premier étage / Claude Camuzat. Mars 1913. Dessin. 49 x 38 cm. Échelle 1/50.

    Archives départementales de la Nièvre, Nevers : 11 J 78
  • Villa de Madame H. Carez à Saint-Honoré-les-Bains (Nièvre). Projet de construction d'un pavillon sud-est. Plan du deuxième étage / Claude Camuzat. Mars 1913. 41 x 31 cm. Dessin. Échelle 1/50.

    Archives départementales de la Nièvre, Nevers : 11 J 78
  • Villa de Madame H. Carez à Saint-Honoré-les-Bains (Nièvre). Projet de construction d'un pavillon sud-est. Plan des combles mansardés / Claude Camuzat. Mars 1913. Dessin. 47 x 31 cm. Échelle 1/50.

    Archives départementales de la Nièvre, Nevers : 11 J 78
  • Pavillon de la Villa Carez à Saint-Honoré. Plan de distribution des combles / [Claude Camuzat]. Novembre 1913. Dessin. 33 x 26 cm.

    Archives départementales de la Nièvre, Nevers : 11 J 78
  • Projet pour le terrasson de la villa Mathé / [Claude Camuzat]. [Vers 1913]. Dessin. 51 x 33 cm.

    Archives départementales de la Nièvre, Nevers : 11 J 78
  • Villa de Madame H. Carez à Saint-Honoré-les-Bains (Nièvre). Projet de construction d'un pavillon sud-est. Façade au midi / C. Camuzat. Mars 1913. Dessin. 51 x 50 cm. Échelle 1/50.

    Archives départementales de la Nièvre, Nevers : 11 J 78
  • Villa de Madame H. Carez à Saint-Honoré-les-Bains (Nièvre). Projet de construction d'un pavillon sud-est. Façade à l'est / C. Camuzat. Mars 1913. Dessin. 56 x 47 cm. Échelle 1/50.

    Archives départementales de la Nièvre, Nevers : 11 J 78
  • Villa de Madame H. Carez à Saint-Honoré-les-Bains (Nièvre). Projet de construction d'un pavillon sud-est. Façade au nord / C. Camuzat. Mars 1913. Dessin. 51 x 48 cm. Échelle 1/50.

    Archives départementales de la Nièvre, Nevers : 11 J 78
  • Villa de Madame H. Carez à Saint-Honoré-les-Bains (Nièvre). Projet de construction d'un pavillon sud-est. Coupe transversale / C. Camuzat. Mars 1913. Dessin. 51 x 43,5 cm. Échelle 1/50.

    Archives départementales de la Nièvre, Nevers : 11 J 78
  • Villa Carez à Saint-Honoré, nouveau pavillon. Clef de la grande baie du premier étage, détail et profil / [Claude Camuzat]. Novembre 1913. Dessin. 69 x 53cm. Grandeur d'exécution.

    Archives départementales de la Nièvre, Nevers : 11 J 78
  • Pavillon de M. Carez à Saint-Honoré. Lucarnes en zinc du nouveau pavillon / C. Camuzat. [s.d.]. Dessin. 53 x 33 cm. Échelle 1/10. In : Archives départementales de la Nièvre. 11 J 78. Fonds Charles Brazeau. Aménagement d'une maison à Saint-Honoré-les-Bains.

    Archives départementales de la Nièvre, Nevers : 11 J 78
  • Façade principale du pavillon. Appui en fonte et fer de la fenêtre du deuxième étage / [Claude Camuzat]. [Début du 20e siècle]. Dessin. 34 x 32 cm. Échelle 1/20.

    Archives départementales de la Nièvre, Nevers : 11 J 78
  • [Crête faîtière] / [Claude Camuzat]. [Début du 20e siècle]. Diazographie. 39,5 x 36 cm. Échelle 1/10.

    Archives départementales de la Nièvre, Nevers : 11 J 78
  • Saint-Honoré-les-Bains. Villa Les Myosotis. [carte postale]. [s.l.] : [s.n.], [s.d.].

    Collection particulière
  • Saint-Honoré-les-Bains. Le Parc. Échappée sur la Vieille Montagne / [auteur inconnu]. Chalon-sur-Saône : Bourgeois Frères, [première moitié du 20e siècle]. Carte postale.

    Collection particulière

Documents multimédia

  • Service cinématographique du gouvernement général de l'Algérie. Vacances françaises. Réalisé par Philippe Este. Images de Lucien Millet et Maxime Delly. Montage d'Albert Lefevre. Enregistrement sonore de René Rora. [vers 1955].

Date(s) d'enquête : 2019; Date(s) de rédaction : 2019
(c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
Dufoulon Fabien
Dufoulon Fabien

Fabien Dufoulon, chercheur. Région Bourgogne-Franche-Comté, Service Inventaire et Patrimoine, 2018-

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