Pierre-Marie Barbe-Richaud, photographe. Région Bourgogne-Franche-Comté, Service Inventaire et Patrimoine, 2008-
- enquête thématique régionale, salles de spectacle de Bourgogne-Franche-Comté
- (c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
Dossier non géolocalisé
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Aire d'étude et canton
Bourgogne-Franche-Comté
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Commune
Auxerre
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Adresse
1 boulevard du 11 Novembre
,
12-13 rue Denis Larabit
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Cadastre
2022
DY
593, 595, 633
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Dénominationsbrasserie (restaurant), salle des fêtes, salle de spectacle
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Appellationscasino des Charmilles, salle Jean Souty, Grand Casino Auxerrois
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Destinationscinéma
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Parties constituantes non étudiéeslogement, café, vestibule, chaufferie, pergola, transformateur
L’établissement est bâti en 1858 et s'il absent d'un plan d’Auxerre édité entre cette date et 1862, il apparaît sur un autre daté de 1873, sous la forme d’un bâtiment en T. C’est certainement le café du marchand de vin Jean Etienne Souty, agrandi en 1880 (date portée sur le logement) et représenté sur un plan de 1895 avec deux ailes en saillie (logement et café). Appelé casino des Charmilles ou salle Jean Souty, il est à la fois café, dancing, salle de spectacle et de réunion, et fait face au kiosque à musique édifié en 1893 sur la promenade du Temple (actuel boulevard du 11 Novembre). Il est exploité en 1907 par le limonadier Vidal qui, le 24 octobre, demande au maire l'autorisation d'y ouvrir un café-concert. Il accueille le 12 janvier 1908 le Cinématographe Géant puis les projections d'Henri Botex, photographe établi au 61 rue de Paris, avant que celui-ci ne fasse construire durant l’hiver 1909-1910 son propre cinéma au 65 rue de Paris. Le gérant du casino, Jules Kohler, maintient les projections malgré une installation insuffisante en termes de sécurité incendie (à cause, notamment, de l'utilisation du bois pour la cabine du projectionniste).
Le propriétaire des lieux (Jean Etienne Souty, remplacé par Faivret en 1909 puis en 1912 par Georges Souty, marchand de musique place Robillard, et sa sœur Mme Patural) et Kohler décident toutefois de refaire l’établissement, réfection confiée à l’architecte Adrien Lelièvre qui propose successivement deux projets. Dans le premier, une nouvelle salle doit être bâtie, parallèle au boulevard et ouvrant sur la place de l’Arquebuse (rue Denis Larabit). Dotée de deux galeries et d’un orgue monumental, elle doit être reliée à l'édifice existant par sa salle de bal, partiellement tronquée et transformée en foyer. Le deuxième "est bien plus complet et répond mieux aux besoins du public". Il comprend la démolition du corps central (entre les deux ailes), remplacé par un nouveau (de 17 m de largeur sur 39 m de profondeur) accueillant la salle de spectacle. Il présentera côté boulevard une façade de trois travées, séparées par des pilastres ioniques ; le rez-de-chaussée et le premier étage seront ouverts chacun de trois baies en arc plein-cintre, l’étage étant surmonté d’une terrasse et d’un étage en surcroît en retrait. Munie d'un balcon, la salle - de 12 m sur 18 - sera dotée d'une scène de 12 m de large sur 11,20 m de profondeur, en avant des loges d'acteur. Un bâtiment en rez-de-chaussée (future brasserie) est prévu au sud-est, à l'arrière de l'aile gauche abritant le café. Ce projet, pour une jauge de 700 places assises, est exécuté et les travaux sont achevés en novembre 1912. Le Grand Casino Auxerrois se transforme en complexe de loisirs, réunissant une brasserie, un dancing et une salle de spectacle (à charpente métallique) polyvalente accueillant cinéma, théâtre, concerts, etc. Outre l'inscription Salle Jean Souty en façade au-dessus des baies de l'étage, il porte d'ailleurs au-dessus de celles du rez-de-chaussée les mention cinéma, théâtre et skating. Il projette les films de la maison Gaumont.
Il est dirigé à partir de 1922 par René Pinon qui, en 1934, fait construire une salle des fêtes dans le jardin (au long de la rue Larabit). Pinon invite le conseil municipal le 7 septembre 1934 pour la réouverture de l’établissement, qui compte 1 200 places (1 048 sièges ont été fournis cette même année par les Ets Bertrand Faure, de Puteaux) et qui est signalé en 1940 comme cinéma équipé en 35 mm. En 1945, le papier à en-tête de Pinon, le qualifiant de directeur-propriétaire, mentionne : Grand Casino Auxerrois, Salle des fêtes et Select-Cinéma (futur Paris). En 1949, le site comporte de cinq corps de bâtiments accolés, grossièrement orientés nord-sud : le corps principal, salle de spectacle de 320 places au rez-de-chaussée, est encadré par le logement de 1880 au nord-ouest et du côté de la place, à l’est, par deux autres corps à usage de café et logement du gérant ; la salle des fêtes se développe au sud.
Il est tenu à la fin des années 1950 par la Société d’Exploitation Cinématographique Auxerroise, SA au capital de 9 millions de F présidée par Daniel Reynaud (6 rue de l’Alboni à Paris), exploitant à Auxerre les cinémas Casino, Paris et Théâtre (projections depuis 1955 dans le théâtre municipal). Il est réorganisé en 1959, suivant le projet des architectes Robert Mazoyer et Pierre Mégiès, avec une surélévation de la brasserie pour agrandir le logement du gérant, une plus large ouverture de la façade sur la place de l’Arquebuse et l’établissement d’une communication directe entre le hall du cinéma et la brasserie. En 1965, Reynaud écrit : "Le Casino particulièrement bien placé devient vétuste et de vastes plans de transformations importantes sont retardés". Ces transformations, conçues par le seul Mégiès et ne concernant que la salle de cinéma (corps central), sont autorisées le 28 septembre 1966 (mais toujours pas réalisée en mai 1968). Cette salle doit être élargie à l’ouest (côté cour), sur trois travées en partant du fond de scène, par la mise à l’alignement du mur. Les loges d’acteur derrière la scène seront transférées au sous-sol, où un bloc sanitaire sera créé (organisé en trois parties : pour le bar, le cinéma et la salle des fêtes). Les ailes latérales du balcon seront supprimées (ainsi que les poteaux en fonte les supportant) et la scène existante sera reportée vers le sud et réduite. La toiture et le sol (qui sera en pente) seront eux-aussi repris. Au final, la capacité du cinéma devrait être de 890 places : 686 à l’orchestre et 204 au balcon (l’annuaire professionnel de 1970 en totalise 850). Un cinquième corps est édifié au nord-ouest avant 1971 tandis qu’un bâtiment bas est ajouté en 1971-1972 devant l’entrée, au nord (côté boulevard du 11 Novembre). De nouvelles réorganisations ont lieu au cours de cette décennie 1970, avec la création de trois nouvelles salles (en 1974 ?). En 1980, la capacité de l’établissement est de 1 240 places, réparties entre quatre salles : 700 dans la 1 (salle "historique"), 280 dans la 2 (en sous-sol, sous la 1), 180 dans la 3 (en sous-sol, sous le hall d’entrée) et 80 dans la 4 (à l’étage où elle remplace le logement du gérant du bar ?). Il dispose également en 1987 d'une salle des fêtes d'une capacité de 400 couverts ou 600 places.
Il est acheté vers 1990 [1988 ? 1991 ?], en même temps que le Paris, à Francine Reynaud par Jean Labé. Le cinquième corps est doublé en largeur entre juillet 1996 et août 1999, suivant le projet de l’architecte Jacques Freudenthal (53 rue de la République, à Meudon), qui transforme le site en multiplexe (en même temps, un petit bâtiment isolé au sud est détruit pour être remplacé par un parking). Les salles 5 à 8 sont créées, portant la capacité totale à 1 640 places, et l’entrée est déplacée à l’est, sur la rue Denis Larabit. L’établissement passe au groupe CGR en 2010. Totalisant 350 000 entrées en 2019, il compte huit salles et 1 592 places (550 places dans la salle 1, 249 dans la 2, 167 dans la 3, 116 dans la 4, 92 dans la 5, 115 dans la 6, 93 dans la 7 et 210 dans la 8). L’épidémie de Covid diffère un projet d’extension prévoyant la construction de trois salles supplémentaires sur un petit parking au sud-ouest. En 2022, l’équipe compte onze personnes : trois membres de direction, sept agents d’accueil et un contrôleur. Le matériel est composé de projecteurs numériques Christie CP 2220 (trois projecteurs argentiques désaffectés ont été conservés : un Cinemeccanica Zenith VX et deux Kinoton FP50D).
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Période(s)
- Principale : 3e quart 19e siècle , daté par source, daté par travaux historiques
- Principale : 4e quart 19e siècle , porte la date, daté par source
- Principale : 2e quart 20e siècle , daté par source
- Principale : 3e quart 20e siècle , daté par source
- Principale : 4e quart 20e siècle , daté par travaux historiques
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Dates
- 1880, porte la date
- 1912, daté par source
- 1934, daté par source
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Auteur(s)
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Auteur :
Lelièvre Adrienarchitecte attribution par sourceLelièvre Adrien
Lelièvre, Alexandre Adrien (1855-1935). Né à Montereau-sur-le-Jard le 26 mai 1855, décédé en 1935. Architecte à Sens lors de son mariage (à Joigny) le 17 octobre 1881 avec Maria Noémie Petit, fille de l'entrepreneur en bâtiments François Petit. Demeure 1 rue de Preuilly à Auxerre le 17 juin 1893 à la naissance de son fils Robert Adrien (qui habitera en 1912 au 6 rue Jules Massot à Auxerre, sera élève architecte lors de sa mobilisation en 1913 et décèdera le 9 octobre 1914 à Doullens dans la Somme).
(Sources : https://www.culture.fr/Grand-Memorial/ et https://www.geneanet.org/cimetieres/view/6948649/persons/?individu_filter=LELIEVRE%2BAlexandre+Adrien)
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Auteur :
Mazoyer Robertarchitecte attribution par sourceMazoyer Robert
Mazoyer, Robert Etienne (1890-1966). Né au Creusot (Saône-et-Loire) le 16 février 1890, mort à Auxerre le 14 novembre 1966. Entre à l'école des Beaux-Arts de Paris le 11 juillet 1908 (atelier de Jules Godefroy et Eugène Freynet, puis de Victor Laloux), diplômé le 24 février 1914. Architecte à Paris entre 1914 et 1931 puis à Auxerre entre 1931 et 1967, architecte départemental de l'Yonne en 1940. Souvent associé dans ses projets à son confrère auxerrois Ferdinand Rousseau.
(Sources : https://agorha.inha.fr/ark:/54721/54ac6c89-70aa-4d36-96ce-37f8eb098c74, https://www.caue-observatoire.fr/ouvrage/mairie-14/?from=tax&id=26025 et https://gw.geneanet.org/jborda1?n=mazoyer&oc=&p=robert+etienne)
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Auteur :
Mégiès Pierrearchitecte attribution par sourceMégiès Pierre
Mégiès, Pierre. Architecte au 3 avenue Victor Hugo à Auxerre en 1959, au 34 avenue de la Puisaye en 1966.
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Auteur :
Freudenthal Jacquesarchitecte attribution par travaux historiquesFreudenthal Jacques
Freudenthal, Jacques. Diplômé de l'école Camondo en 1965. Architecte demeurant en 1996 au 53 rue de la République à Meudon (Hauts-de-Seine). Auteur du multiplexe Métropolis de Charleville-Mézières (Ardennes), bâti en 2004.
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Auteur :
Les bâtiments anciens ont des murs en moellons calcaires enduits, ceux plus récents font appel au pan de fer ou de béton armé. L'ancienne salle de spectacle (actuelles salles 1 et 2) compte deux étages de sous-sol, avec une cave (servant de foyer) voûtée en berceau plein cintre, deux étages carrés et un comble. Elle est coiffée d'un toit à longs pans et tuiles mécaniques (avec au nord une terrasse et un appentis couvert en ciment amiante). Le foyer du public qui la précède du côté du boulevard (accessible par un escalier extérieur droit), et surmonte la salle 3 au sous-sol, est à structure métallique, en rez-de-chaussée et protégé par une terrasse. Les deux ailes ont chacune un étage carré et un étage de comble, ainsi qu'un toit à longs pans, pignons couverts et tuiles mécaniques. Largement modifiée, l'ancienne brasserie et logement du gérant sert d'entrée, avec vestibule (accueil) au rez-de-chaussée et salle 4 à l'étage. Les corps au sud accueillent les salles 5 à 8 sur deux niveaux et les cabines de projection (desservies par un escalier en vis). Ils sont coiffés de toits à longs pans, pignons couverts avec couverture métallique ou de tuiles mécaniques. Les dessertes se font à l'aide d'escaliers intérieur droits ou tournants.
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Murs
- calcaire moellon enduit
- fer pan de fer
- béton pan de béton armé enduit
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Toitstuile mécanique, béton en couverture, ciment amiante en couverture, métal en couverture
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Étages2 étages de sous-sol, 2 étages carrés, étage de comble
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Couvrements
- voûte en berceau plein-cintre
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Élévations extérieuresélévation ordonnancée
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Couvertures
- toit à longs pans pignon couvert
- appentis
- terrasse
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Escaliers
- escalier de distribution extérieur : escalier droit en maçonnerie
- escalier dans-oeuvre : escalier droit en maçonnerie
- escalier dans-oeuvre : escalier tournant en maçonnerie
- escalier dans-oeuvre : escalier en vis
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Statut de la propriétépropriété d'une société privée
- (c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
- (c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
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- (c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
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- (c) Société des Plans régulateurs de Villes
- (c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
- (c) Pierre Mégiès
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- (c) Pierre Mégiès
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- (c) Pierre Mégiès
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Radosavljevic, Katerine. Directrice du CGR Cinémas. Auxerre
9 novembre 2022, 21-22 mars 2023
Documents d'archives
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Archives municipales d'Auxerre : 1 PC 1535 Permis de construire. Aménagement du Grand Casino Auxerrois, 1 boulevard du 11 Novembre. 1959.
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Archives municipales d'Auxerre : 1 PC 3238 Permis de construire. Transformation de la salle du cinéma Casino, 1 boulevard du 11 Novembre. 1966.
Bibliographie
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Atelier d'Architecture Boucon et Besançon. Ville d’Auxerre. Théâtre de la ville. Proposition de réaménagement du théâtre municipal. Document définitif. Châtillon : l'auteur, 19 novembre 1987. 93 p. dactyl. : ill. ; 30 cm.
P. 30. -
Le Ciné Casino d'Auxerre : bon comme un Chablis... Côté Cinéma, n° 46, 14-27 juin 2006, p. 15-16 : ill.
Document accessible sur internet à l’adresse : https://www.boxofficefrance.fr/media/focus/s5/id485/cc046_cine-casino_auxerre_cgr-cinemas_auxerre---casino.pdf (consultation du 17 mars 2023)
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Gardiennet, Marie-Céline. Histoire du spectacle cinématographique dans l'Yonne de 1896 à 1930. Université de Bourgogne, 1998. 211 p. : ill. ; 30 cm. Mém. Maît. : Histoire : Dijon : 1998.
Notamment p. 58-62, 133 : ill. -
Meusy, Jean-Jacques. Cinémas de France, 1894-1918. Une histoire en images. Paris : Arcadia éditions, 2009. 295 p. : ill. ; 32 cm.
P. 164-167 : ill. -
Pineaux, Denise. Architecture civile et urbanisme à Auxerre 1800-1914. Auxerre : Imprimerie moderne, 1978. 477 p. : ill. ; 24 cm.
P. 335-337. -
La reconstruction des Charmilles. L'Indépendant auxerrois, 24e année, n° 36, dimanche 11 et lundi 12 février 1912 ; 24e année, n° 79, mardi 2 avril 1912.
Documents figurés
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Plan de la ville d'Auxerre et de ses faubourgs. Dessin imprimé, par U. Richard. S.d. [entre 1858 et 1862]. 54,5 x 72 cm, sans éch. Impr. Lemercier, 57 rue de Seine. (B.M. Jacques Lacarrière : GPL z 098)
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Plan d’Auxerre 1873. Dessin imprimé, s.n. Impr. et lith. A. Gallot, Auxerre. 71 x 84,5 cm, 1/4 000.
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Plan d'Auxerre édité par Albert Gallot, imprimeur. Dessin en couleur imprimé, s.n. S.d. [1895]. 56,5 x 62 cm, 1/5 000. (AM : CP 4/25)
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Plan d'Auxerre édité par Albert Gallot, imprimeur. Dessin en couleur imprimé, s.n. S.d. [1903]. 56,5 x 62 cm, 1/5 000.
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Auxerre - Le Casino Auxerrois. Carte postale, s.n. S.d. [1925-1926 ?]. Louys Bauer impr. à Dijon. 1925 date de sortie du film Surcouf mentionné sur l'affiche de gauche.
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Plan topographique pour l'extension de la ville d'Auxerre. Yonne. Dessin imprimé, par la Société des Plans régulateurs de Villes Danger. 1931. 90 x 86,5 cm, 1/5 000.
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Plan topographique de la ville de Auxerre (Yonne) dressé sous l'administration de M. Renaitour député-maire, par la société des plans régulateurs de villes MM. Danger FF 6, rue d'Angoulême, Paris, échelle 1:2000e, 1931. Dessin imprimé, par la Société des Plans régulateurs de Villes Danger. 1931. 79,5 x 119 cm, 1/2 000.
- [Partie nord]. (CP 12/9)
- [Partie sud]. (CP 12/10)
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Prises de vues aériennes de l'IGN (20e siècle). Consultables en ligne via le site du Géoportail (www.geoportail.gouv.fr)
Photographies des 14 avril 1949, 1971, 1972, 20 avril 1977, 18 juillet 1996 et 24 août 1999 -
Grand Casino Auxerrois. Rez de chaussée. Etat des lieux. Dessin (tirage), par l'architecte P. Mégiès. S.d. [1959]. 87,5 x 46,5 cm, 1/100.
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Grand Casino Auxerrois. Projet d'aménagement. Dessin (tirage), par l'architecte P. Mégiès. Auxerre mai 1959.
- Plan de masse. 32 x 70,5 cm, 1/200.
- Rez de chaussée. 68 x 88 cm, 1/50.
- Etage. Etat des lieux. 41,5 x 38 cm, 1/100.
- Etat actuel. Façade place de l'Arquebuse. 32,5 x 85 cm, sans éch.
- La façade. 39 x 85,5 cm, 1/50.
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Grand Casino Auxerrois. Bld du 11 Novembre. Auxerre. Projet d'aménagement. Plan rectificatif de la sortie n° 2 du balcon. Dessin (tirage), par l'architecte P. Mégiès. 30 juillet 1959. 55,5 x 72,5 cm, 1/50.
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SECA Le Casino. Bould du 11 Novembre à Auxerre. Agrandissement de la salle de spectacles. Etat actuel. Dessin (tirage), par l'architecte P. Mégiès. Auxerre avril 1966. 1/50.
- [Plan]. 72,5 x 92 cm.
- Coupe longitudinale actuelle. 50,5 x 82 cm.
- Coupe transversale actuelle. 38 x 73,5 cm.
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SECA Le Casino. Bould du 11 Novembre à Auxerre. Agrandissement de la salle de spectacles. Dessin (tirage), par l'architecte P. Mégiès. Auxerre avril 1966. 1/50.
- Plan de masse - situation. 38 x 75 cm, 1/2 000.
- Sous-sol. 67,5 x 92 cm.
- Rez de chaussée. 69,5 x 103 cm.
- Balcon. 69 x 103 cm.
- Coupes AA' et BB'. 69,5 x 94,5 cm.
- Façade sur cour. 48,5 x 74,5 cm.
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Grand Casino Auxerrois. Projet d'aménagement. Etage. Dessin (tirage), par l'architecte P. Mégiès. Auxerre mai 1966. 67 x 81 cm, 1/50.
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[Salle 1, vue depuis l'écran]. Photographie, s.n. S.d. [décennies 1970-1980 ?].
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[Façades du Casino Auxerrois]. Photographie en couleur, s.n. S.d. [décennie 1990].
Poupard, Laurent. Chercheur au service Inventaire et Patrimoine de la Région Bourgogne-Franche-Comté, 1987-
Poupard, Laurent. Chercheur au service Inventaire et Patrimoine de la Région Bourgogne-Franche-Comté, 1987-