Sancey, Yves. Photographe. Direction régionale des Affaires culturelles de Franche-Comté puis Région Bourgogne-Franche-Comté, Service Inventaire et Patrimoine. 1973-2013.
- patrimoine industriel, patrimoine industriel du Doubs
- (c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
Dossier non géolocalisé
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Aire d'étude et canton
Pays horloger (le) - Maîche
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Commune
Maîche
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Adresse
19, 21, 26 rue de Saint-Hippolyte
,
2 allée de l' Horloge
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Cadastre
2013
AB
189, 268, 269
;
2013
AK
163, 251-254
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Dénominationsusine d'horlogerie
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Précision dénominationusine d'ébauches de montre, usine de mouvements de montres, usine de montres
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Appellationsusine Joseph Jeambrun, usine France Ebauches
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Destinationsimmeuble, maison
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Parties constituantes non étudiéesatelier de fabrication, atelier de réparation, bureau, logement, garage, dépendance, verger
Joseph Jeambrun (1880-1949) est le fils de Victorin Jeambrun (1843-1923), qui fut tout à la fois paysan, horloger et boulanger à Maîche. Il est marié à Hélène Bouhélier (1883-1917) puis à Germaine Sarrazin (1892-1979), qui lui donneront chacune quatre enfants. Il est tout d'abord paysan-horloger à la ferme du Rigoulot, dans la commune des Bréseux, où il fabrique des échappements à cylindre. Mais, la commune refusant l'électrification, il vient en 1900 s'installer à Maîche, qui bénéficie de l'électricité depuis 1896, et y fait construire cette année-là au long de la rue de Saint-Hippolyte une maison dotée d'un atelier. Il lui ajoute en 1907, au sud, un deuxième bâtiment (avec atelier sur chacun des deux niveaux). Les deux sont reliés par une nouvelle construction durant la première guerre mondiale. Le site est exploité par la société Jeambrun Frères réunissant Joseph, Albert (1869-1933), Louis (1875-1950) et peut-être Victor (1878-1934). Se disant successeur de François Glasson et Frères, elle devient société Joseph Jeambrun en 1914.
En 1921, Joseph absorbe l'entreprise de Louis Mougin dont le gendre, Victor Jeambrun, marié en 1907 ou 1911 avec Cécile Mougin, n'est autre que son propre frère. Cette affaire, qui a démarré sur le Doubs à la Rasse (commune de Fournet-Blancheroche) avait été transférée en 1904-1905 à Damprichard, dans l'ancienne entreprise Péquignot ; Mougin et Jeambrun ont employé jusqu'à 150 à 200 ouvriers à la fabrication d'ébauches et de montres finies (sous la marque MJ). Avec cette acquisition, outre ses assortiments à cylindre, Joseph peut produire des ébauches de gros calibre (18 lignes, soit environ 4 cm), gamme élargie à partir de 1926 aux assortiments à ancre, ce qui implique la création (cette année-là ?) d'un quatrième corps de bâtiment au sud et dans le prolongement du deuxième (avec un décalage). Joseph, qui est l'un des premiers à Maîche à fabriquer les échappements à ancre, vend notamment les siens à la société Auguste L'Epée et Cie, à Sainte-Suzanne. Une statistique de 1926 fait état de 51 ouvriers, une autre de 1930 de 29 personnes dont 4 Suisses (au nombre desquels Eloïse et Irénée Courvoisier qui, venus travailler à Damprichard, ont suivi leur entreprise à Maîche et logent dans des appartements surmontant les ateliers). La société est malmenée par la crise de 1929, qu'elle surmonte en cédant la fabrication de l'assortiment cylindre à son voisin Auguste Perrot et en réorientant, sur l'initiative de Michel (1910-1986), le fils de Joseph, la production vers les tarauds et les perceurs au centième de mm. Elle est aussi aidée par un horloger de La Chaux-de-Fonds, Kaufmann, qui en 1934-1935 lui fournit acier et outillage pour réaliser un certain calibre d'ébauches. En 1938, Joseph se fait bâtir une maison face à l'usine (actuel n° 21) afin de laisser son domicile à Michel.
A l'issue de la deuxième guerre, Michel succède à son père à la tête de la société, devenue le 30 juillet 1943 Sarl des Ets Joseph Jeambrun. Avec l'ingénieur Charles Collet, il développe l'automatisation (transferts linéaires) de la fabrication des ébauches (marque JEJ). Il réalise de nouveaux agrandissements : côté des numéros pairs avant 1951 (vers 1944 ?) avec un bâtiment en retour d'équerre derrière celui de 1902, côté des numéros impairs (de l'autre côté de la route) en 1957-1958 avec un atelier de mécanique. A cette époque, l'entreprise aurait été le plus important employeur de Maîche avec plus d'une centaine de personnes. Le site héberge aussi depuis la fin de la guerre l'affaire en nom propre montée par Robert, un demi-frère de Michel. Après avoir commencé aux Bréseux chez l'horloger Jules Mairot, ce dernier a ouvert en 1946 sa propre fabrique d'horlogerie dans un bâtiment situé à l'arrière de l'usine côté des numéros pairs. Il y produit des montres à échappement à ancre (aux calibres de 9 3/4 à 10 1/2 lignes), fabrication abandonnée dès la fin de 1948, et des porte-échappements (pour systèmes à ancre, Roskopf ou cylindre), essentiellement destinés à des usages industriels. Il transfère en 1962 son affaire (Jeambrun appareillages) dans l'usine qu'il se fait bâtir chemin de la Rasse. A cette époque, le bâtiment de 1900 accueille bureaux et logements et les autres constructions côté des numéros pairs la fabrication des anciens calibres, le stockage et des logements ; les calibres récents sont produits côté des numéros impairs.
En 1964, la société des Ets Joseph Jeambrun et Cie est une SA au capital de 360 000 NF, porté à 1 260 000 F. Elle fusionne le 3 avril 1967 avec trois de ses concurrents - les sociétés Technic Ebauche (anciennement Maire et Perrier) présente sur deux sites à Maîche (au 1 avenue du Maréchal Leclerc et au 4 rue de la Gare), Ebauches Cupillard à Villers-le-Lac et Fabrique d'Ebauches de Montres du Genevois (Femga) à Annemasse (Haute-Savoie) - pour donner naissance à la société France Ebauches, présidée par François Perret. L'année suivante, le site de la Femga est fermé et des bureaux (services administratifs et commerciaux, centre technique, recherche et développement) sont ouverts au 6 rue du Muguet à Besançon, où est implanté le siège social. En 1971, les unités de Maîche sont regroupées rue de Saint-Hippolyte, où les bâtiments sont agrandis. Une nouvelle usine est bâtie à Valdahon (2 rue de l'Industrie) en 1975 et en 1977, avec 8 millions d'ébauches (marque FE), France Ebauches est au 2e rang mondial (derrière le Suisse Ebauches SA), générant un chiffre d'affaires de plus de 20 millions de francs dont 58 % réalisés à l'exportation. SA au capital de 15 320 000 F, elle emploie 710 personnes : 360 à Maîche, 150 à Villers-le-Lac, 175 à Valdahon et 25 à Besançon. En 1981, elle ouvre une autre usine dans la zone industrielle de Maîche (au 2 rue Henri Rotschi), où elle transfère les activités subsistant à Villers-le-Lac et où elle débute l'année suivante la fabrication de montres à quartz, avec des mouvements fournis par le groupe japonais Seiko. Les pièces en acier (tiges, ressorts et vis) et celles en laiton (ponts et platines) sont produites rue Rotschi tandis que l'unité de la rue de Saint-Hippolyte réalise des bobines et autres petits assemblages pour les montres à quartz. Au milieu des années 1980, France Ebauches est le 1er fabricant horloger français, le 1er fabricant d'ébauches de la CEE et le 6e fabricant mondial de mouvements à quartz analogiques ; elle emploie 835 salariés dans ses trois usines (les deux de Maîche et celle de Valdahon).
La société ouvre en Inde, près de Bombay, une usine de montres (marque Titan) en 1985 et en 1990 elle s'associe avec China Light, de Pékin, pour s'implanter sur le marché chinois : elle détient 70 % du capital de Francebauches Compagnie Limited, employant 700 ouvriers pour une production prévue de 700 000 mouvements, un million de modules à quartz et 725 000 bobines. Elle fabrique effectivement 14 millions de mouvements en 1990 (avec 1 000 salariés et un chiffre d'affaires de 320 millions de F) mais 8 millions seulement en 1994 (avec 349 salariés et un chiffre d'affaires de 200 millions de F). La baisse des prix de vente des montres lui occasionne des difficultés financières, qui s'accentuent à partir de 1992 et la conduisent au dépôt de bilan début 1994. Le capital est repris en octobre de cette année pour moitié par la société China Ressources et pour moitié par le groupe Huit, réunissant une partie des cadres et du personnel français. L'activité est en 1995 réunie sur le site de Valdahon, où la société devient France Ebauches Microtechniques puis Technotime (marque TT) en 2000 pour finalement disparaître en 2009.
Après 1994, les bâtiments de la rue de Saint-Hippolyte ont connu des sorts différents. Côté des numéros pairs, celui de 1902 et les extensions de la deuxième moitié du 20e siècle ont été détruits en 2005 et remplacés par un immeuble de 16 logements (5 chemin de la Pépinière), dont la construction a débuté en septembre 2006, pour la SAFC (Société anonyme de HLM de Franche-Comté, devenue Néolia en 2006) ; les autres subsistent mais sont désaffectés. Ceux du côté des numéros impairs ont abrité divers ateliers, notamment au cours des années 2000 LB (Laquage Burdet, pour l'horlogerie, la bijouterie et la lunetterie, Sarl disparue en 2003), Techni Décor (Sarl de mécanique industrielle, arrêtée en septembre 2008) et Maîche Décolletage (SA fermée en février 2000). Ils ont ensuite été remaniés et convertis en immeuble (19 rue de Saint-Hippolyte et 2 allée de l'Horloge), avec quelques commerces au rez-de-chaussée ; le corps bordant la rue Saint-Hippolyte a récemment été habillé d'un essentage de matériau synthétique imitation bois.
Paysan-horloger à la ferme du Rigoulot dans la commune des Bréseux, où il fabrique des échappements à cylindre, Joseph Jeambrun vient en 1900 s'installer à Maîche, où il fait construire au long de la rue de Saint-Hippolyte une maison dotée d'un atelier. Il lui ajoute en 1907, au sud, un deuxième bâtiment et les deux sont reliés par une nouvelle construction durant la première guerre mondiale. Le site est exploité par la Maison Jeambrun Frères, réunissant Joseph, Albert, Louis et peut-être Victor, qui devient société Joseph Jeambrun en 1914. En 1921, elle absorbe l'entreprise de Louis Mougin qui, après avoir débuté à la Rasse (commune de Fournet-Blancheroche), avait été transférée en 1904-1905 à Damprichard, dans l'ancienne entreprise Péquignot. Avec cette acquisition, Jeambrun peut produire des ébauches de gros calibre, gamme élargie à partir de 1926 aux assortiments à ancre (ce qui implique la création - cette année-là ? - d'un quatrième corps de bâtiment) vendus notamment à la société Auguste L'Epée et Cie, à Sainte-Suzanne. Une statistique de 1926 fait état de 51 ouvriers. La société est malmenée par la crise de 1929, qu'elle surmonte en cédant la fabrication de l'assortiment cylindre à son voisin Auguste Perrot et en réorientant, sur l'initiative de Michel, le fils de Joseph, la production vers les tarauds et les perceurs au centième de mm. En 1938, Joseph se fait bâtir une maison face à l'usine (actuel n° 21) afin de laisser son domicile à Michel. A l'issue de la deuxième guerre, ce dernier reprend la société, devenue Sarl des Ets Joseph Jeambrun le 30 juillet 1943. Avec l'ingénieur Charles Collet, il développe l'automatisation de la fabrication des ébauches (marque JEJ) et réalise de nouveaux agrandissements : côté des numéros pairs avant 1951 (vers 1944 ?) avec un bâtiment en retour d'équerre derrière celui de 1902, côté des numéros impairs (de l'autre côté de la route) en 1957-1958 avec un atelier de mécanique. Le site héberge aussi depuis la fin de la guerre l'affaire en nom propre montée par Robert, un demi-frère de Michel. Après avoir commencé aux Bréseux chez l'horloger Jules Mairot, ce dernier a ouvert en 1946 sa propre fabrique d'horlogerie dans un bâtiment situé à l'arrière de l'usine côté des numéros pairs. Il y produit des montres à échappement à ancre, fabrication abandonnée dès la fin de 1948, et des porte-échappements, essentiellement destinés à des usages industriels. Il transfère en 1962 son affaire (Jeambrun appareillages) dans l'usine qu'il se fait bâtir chemin de la Rasse. A cette époque, le bâtiment de 1900 accueille bureaux et logements et les autres constructions côté des numéros pairs la fabrication des anciens calibres, le stockage et des logements ; les calibres récents sont produits côté des numéros impairs.
La SA des Ets Joseph Jeambrun et Cie fusionne le 3 avril 1967 avec trois de ses concurrents - les sociétés Technic Ebauche (anciennement Maire et Perrier) présente sur deux sites à Maîche (au 1 avenue du Maréchal Leclerc et au 4 rue de la Gare), Ebauches Cupillard à Villers-le-Lac et Fabrique d'Ebauches de Montres du Genevois (Femga) à Annemasse (Haute-Savoie) - pour donner naissance à la société France Ebauches. En 1971, les unités de Maîche sont regroupées rue de Saint-Hippolyte, où les bâtiments sont agrandis. Une nouvelle usine est bâtie à Valdahon (2 rue de l'Industrie) en 1975. En 1977, avec 8 millions d'ébauches (marque FE), France Ebauches est au 2e rang mondial (derrière le Suisse Ebauches SA) et emploie 710 personnes : 360 à Maîche, 150 à Villers-le-Lac, 175 à Valdahon et 25 à Besançon. En 1981, elle ouvre une autre usine dans la zone industrielle de Maîche (au 2 rue Henri Rotschi), où elle transfère les activités subsistant à Villers-le-Lac et où elle débute l'année suivante la fabrication de montres à quartz, avec des mouvements fournis par le groupe japonais Seiko. Les pièces en acier (tiges, ressorts et vis) et celles en laiton (ponts et platines) sont produites rue Rotschi tandis que l'unité de la rue de Saint-Hippolyte réalise des bobines et autres petits assemblages pour les montres à quartz. Au milieu des années 1980, France Ebauches est le 1er fabricant horloger français, le 1er fabricant d'ébauches de la CEE et le 6e fabricant mondial de mouvements à quartz analogiques ; elle emploie 835 salariés dans ses trois usines (les deux de Maîche et celle de Valdahon). Toutefois, la concurrence et la baisse des prix des montres la conduisent au dépôt de bilan au début de 1994. En 1995, l'activité est réunie sur le site de Valdahon, où la société devient France Ebauches Microtechniques puis Technotime (marque TT) en 2000 pour finalement disparaître en 2009. Après 1994, les bâtiments de la rue de Saint-Hippolyte connaissent des sorts différents. Côté des numéros pairs, celui de 1902 et les extensions de la deuxième moitié du 20e siècle sont détruits en 2005 et remplacés par un immeuble de logements (5 chemin de la Pépinière), dont la construction a débuté en septembre 2006 ; les autres sont désaffectés. Ceux du côté des numéros impairs abritent divers ateliers, notamment au cours des années 2000 LB (Laquage Burdet), Techni Décor et Maîche Décolletage, puis ils sont convertis en immeuble (19 rue de Saint-Hippolyte et 2 allée de l'Horloge).
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Période(s)
- Principale : 1er quart 20e siècle , daté par travaux historiques, daté par source
- Principale : 2e quart 20e siècle , daté par travaux historiques, daté par source
- Principale : 3e quart 20e siècle , daté par travaux historiques, daté par source
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Auteur(s)
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Auteur :
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Auteur :
Les bâtiments industriels de la première moitié du 20e siècle sont en moellons calcaires enduits, avec toit à longs pans et pignons couverts, à couverture de tuiles mécaniques. Ils ont un sous-sol partiellement enterré, un rez-de-chaussée surélevé, un étage carré et un étage en surcroît, desservis par des escaliers dans-oeuvre. Le rez-de-chaussée des corps de bâtiment de 1900 est aussi accessible par un escalier extérieur symétrique en pierre. La petite extension au nord, peut-être en parpaings de béton enduits, a un étage carré desservi sur sa face arrière (à l'est) par un escalier extérieur droit en béton ; elle est couverte d'une croupe. Plus au nord, le garage récent est en béton avec toit terrasse dans le même matériau. Béton également pour les bâtiments postérieurs à la deuxième guerre mondiale : pan de béton armé, béton armé et parpaings de béton (?), enduit et essentage de planches, toits terrasse en béton et toits à longs pans à pignons couverts avec tuiles mécaniques. Comptant 4 ou 5 niveaux, ils sont desservis par des escaliers intérieurs et extérieurs (escalier en vis métallique au n° 19 par exemple). Si des baies multiples (typiques de l'époque avec leur arc segmentaire et leur encadrement en briques) sont encore visibles sur la façade postérieure du n° 26 , les baies d'atelier du n° 19 se lisent moins bien du fait de ses modifications et de son essentage de matériau synthétique imitation bois. La maison de Joseph, aux murs en moellons calcaires enduits, comporte un étage de soubassement, un rez-de-chaussée surélevé, un étage carré et un étage en surcroît. Elle est coiffée d'un toit à demi-croupes et tuiles mécaniques, dotée d'un bow-window sur la façade antérieure et d'une logette sur la face postérieure, précédée d'un garage en soubassement dont le toit terrasse conduit à l'entrée et par un escalier extérieur donne accès au soubassement.
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Murs
- calcaire moellon enduit
- béton pan de béton armé enduit
- béton parpaing de béton (incertitude)
- essentage de matériau synthétique
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Toitstuile mécanique, béton en couverture
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Étagesrez-de-chaussée surélevé, 1 étage carré, étage en surcroît, sous-sol
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Élévations extérieuresélévation à travées
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Couvertures
- toit à longs pans pignon couvert
- noue
- croupe
- demi-croupe
- terrasse
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Escaliers
- escalier dans-oeuvre
- escalier de distribution extérieur : escalier symétrique en maçonnerie
- escalier de distribution extérieur : escalier droit en maçonnerie
- escalier de distribution extérieur : escalier en vis sans jour en charpente métallique
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Énergies
- énergie électrique achetée
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Typologiesbaie multiple ; baie d'atelier
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État de conservationétablissement industriel désaffecté
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Statut de la propriétépropriété privée
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Référence Patriarcheprésent sur POP
- (c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
- (c) Ministère des Finances, Service du cadastre
- (c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
- (c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
- (c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
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- (c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
- (c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
- (c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
- (c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
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Jeambrun, Georges. Fils de Robert Jeambrun. Ancien dirigeant de la société Jeambrun Appareillages. Maîche.
24 juin 2015 -
Jeambrun, Jacques. Fils de Michel Jeambrun. Responsable jusqu'en 1988 de l'entretien et la sécurité chez France Ebauches. Maîche.
30 juin 2015 -
Simonin, Michel. Ancien horloger, auteur de livres sur Maîche et l'horlogerie du Haut-Doubs. Maîche.
16 avril 2015
Documents d'archives
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Archives départementales du Doubs : M 3044 Travail et main d’œuvre, 1926-1930.
Fabrique d'horlogerie Joseph Jeambrun (roues, cylindres, ébauches de montres). -
Archives municipales, Maîche : Cadastre de la commune de Maîche [1812-1977].
- Registre des états de sections (1812).
- Matrices cadastrales des propriétés bâties et non bâties : Propriétés foncières [1826-1914].
- Matrice cadastrale des propriétés bâties, 1883-1896 [1882-1910].
- Matrice cadastrale des propriétés bâties [1911-1977].
Matrices cadastrales des propriétés bâties, 1882-1910 et 1911-1977. -
Les ébauches françaises (les calibres français) / Documentation réunie par : Christian Johanet. - Paris : Revue française des Bijoutiers Horlogers, Pierre Johanet, s.d. [1947]. 100 p. : ill.; 21 x 27 cm.
Fiches techniques des calibres Jeambrun 23 C, 24, 28 et 217. -
Catalogue des fournitures des mouvements français de montres. 2e éd. - Paris : Centre d'Information de la Montre française, 1973. 2 classeurs, non paginés : ill. ; 32 cm. 1ère éd. en 1968, mises à jour en octobre 1970, mai 1971, juin 1972 et juillet 1973. Fiches techniques donnant pour chaque calibre (mouvement), et ses variantes, ses caractéristiques techniques et la liste des fournitures le composant.
Fiches techniques des calibres Jeambrun PS 31 et PS 32, PS 32 C, 23 D et 26 D, 26 DC. -
Papier à en-tête de la Fabrique d'horlogerie Joseph Jeambrun, 11 mars 1930.
Bibliographie
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C., T. Valdahon. Mort de la manufacture Technotime. C'est-à-dire, le journal du Haut-Doubs, n° 149, 27 novembre 2009, p. 32 : ill. Document accessible sur internet : http://www.c-a-d.fr/flip/CAD149/files/assets/downloads/page0032.pdf (consultation le 14 avril 2015)
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Chevalier, Michel. Tableau industriel de la Franche-Comté (1960-1961). Paris : les Belles lettres, 1961. 101 p. : cartes ; 24 cm. (Annales littéraires de l’Université de Besançon. Cahiers de géographie de Besançon ; 9).
P. 56. -
France Ebauches [notice de présentation de la société en 1970]. - [Besançon] : [France Ebauches], [1970]. 11 p. : ill. ; 30 cm.
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Simonin, Michel ; Choulet, Jean-Marie. Maîche hier et aujourd'hui. - Maîche : Jardins de Mémoire, 1999. 101 p. : tout en ill. ; 30 x 31 cm. Recueil de cartes postales anciennes vis-à-vis de photographies récentes.
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Simonin, Michel. L'horlogerie au fil du temps et son évolution en Franche-Montagne, sur le plateau de Maîche. - Maîche : M. Simonin, 2007. 143 p. : ill. ; 30 cm.
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Sornay, Lionel. Prosopographie des entreprises horlogères et de leurs financeurs sur le plateau de Maîche 1925-1973. - Besançon : Université de Franche-Comté, 2003. 56 p. : ill. ; 30 cm. Mém DEA : histoire industrielle : Besançon : 2003 ; 51.
P. 40. -
Vuillet, Bernard. Entre Doubs et Dessoubre. Tome II. Autour de Maîche et Belleherbe, d'après la collection de cartes postales de Georges Caille. - Les Gras : B. Vuillet, Villers-le-Lac : G. Caille, 1990. 231 p. : cartes postales ; 31 cm.
P. 105-107 : ill.
Documents figurés
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Les ouvriers de l'usine Jeambrun en 1912, photographie, s.n. Publiée dans : Vuillet, Bernard. Entre Doubs et Dessoubre en 1900. T. 2, Autour de Maîche et Belleherbe, 1990, p. 106. Aussi publiée dans : Simonin, Michel. L'horlogerie au fil du temps, 2007, p. 46, avec le titre : Les Etablissements "J. Jeambrun" rue de Saint-Hippolyte à Maîche. (Avant la guerre 1914/1918).
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501. Maîche. Usine d'horlogerie Jeambrun, carte postale, s.n., s.d. [1er quart 20e siècle], Ch. Simon éd. à Maîche. Publiée dans : Vuillet, Bernard. Entre Doubs et Dessoubre en 1900. T. 2, Autour de Maîche et Belleherbe, 1990, p. 105. Aussi publiée dans : Simonin, Michel. L'horlogerie au fil du temps, 2007, p. 46.
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Prises de vues aériennes de l'IGN (20e siècle). Consultables en ligne via le site du Géoportail (www.geoportail.gouv.fr).
Photographies des 6 août 1937, 14 juin 1951, 27 août 1958, 6 février 1967, 27 septembre 1968, 31 octobre 1975, 25 août 1980, 19 avril 1982, 20 juillet 1988, 18 juillet 1990, 20 juillet 1996, 13 mai 1998. -
[Vue aérienne du quartier des Ets Joseph Jeambrun, depuis le nord-ouest], photographie ou carte postale, s.n., s.d. [1957-1958]. Publiée dans : Simonin, Michel ; Choulet, Jean-Marie. Maîche hier et aujourd'hui, 1999, p. 16.
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[Vues extérieures et intérieures de l'ancienne usine Jeambrun], photographie imprimée, s.n., 1970. Publiées dans : France Ebauches [notice de présentation de la société en 1970]. - [Besançon] : [France Ebauches], [1970]. 11 p. : ill. ; 30 cm.
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France-Ebauches - 2000 [vue d'ensemble des bâtiments de l'ancienne usine Jeambrun côté des numéros pairs depuis le sud, en 2000], photographie imprimée, s.n. Publiée dans : Simonin, Michel. L'horlogerie au fil du temps, 2007, p. 46.
Documents multimédia
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Ferry, Bertrand. Recherches généalogiques. Accessibles en ligne sur le site de Geneanet : http://gw.geneanet.org/
Famille Jeambrun (consultation : 13 avril 2015). -
France Ebauches recherche de renseignements. - Juin 2009. Discussion sur le Forum à Montres (FAM), forum de discussions horlogères : http://forumamontres.forumactif.com/t59074-france-ebauches-recherche-de-renseignements (consultation : 15 avril 2015).
Annexes
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Fiche technique du calibre Jeambrun 23 C
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Fiches techniques des calibres Jeambrun 23 D et 26 D
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Fiche technique du calibre Jeambrun 24
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Fiche technique du calibre Jeambrun 26 DC
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Fiche technique du calibre Jeambrun 28
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Fiche technique des calibres Jeambrun PS 31 et PS 32
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Fiche technique du calibre Jeambrun PS 32 C
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Fiche technique du calibre Jeambrun 217
Poupard, Laurent. Chercheur au service Inventaire et Patrimoine de la Région Bourgogne-Franche-Comté, 1987-
Poupard, Laurent. Chercheur au service Inventaire et Patrimoine de la Région Bourgogne-Franche-Comté, 1987-