Sancey, Yves. Photographe. Direction régionale des Affaires culturelles de Franche-Comté puis Région Bourgogne-Franche-Comté, Service Inventaire et Patrimoine. 1973-2013.
- patrimoine industriel, patrimoine industriel du Doubs
- (c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
Dossier non géolocalisé
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Aire d'étude et canton
Pays horloger (le) - Maîche
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Commune
Maîche
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Adresse
7-9 rue du Mont
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Cadastre
2015
AB
234, 296, 377, 378
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Dénominationsmaison, usine d'horlogerie
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Précision dénominationusine de fournitures pour l’horlogerie, usine de montres
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Appellationsusine Rotschi, usine de la Société d'Horlogerie de Maîche, usine de la société Magister, usine de la SA Relliac
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Dossier dont ce dossier est partie constituante
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Parties constituantes non étudiéesatelier de fabrication, bureau, entrepôt industriel, logement, magasin industriel, escalier indépendant, cour
La société Rotschi
Pour profiter de l'électricité, Henri Rotschi (1862-1941) transfère dans les années 1890 son atelier d'horlogerie des Bréseux à Maîche, à l'arrière de l'actuelle pharmacie au 28 place de l'Eglise (bâtiment cadastré 2015 AI 15). Né à Charquemont, Henri est le fils d'un horloger suisse, Frédéric Rotschi (1832-1887), originaire de Rosières (ou Welschenrohr, canton de Soleure), qui s'est établi dans ce village au milieu du 19e siècle et y a fait construire une ferme abritant par la suite la fabrique de montres Jacquot puis englobée dans l'usine de cadrans et galvanoplastie Haenni.
Il acquiert vers 1894 ou 1897 la maison bâtie Sous Montjoie par Alexandre Boibessot vers 1875 (et modifiée vers 1879). Désireux de développer son affaire, il s'associe un temps avec un horloger maîchois, Victor Delavelle, qui lui apporte les capitaux nécessaires. Il fait alors construire dans la période 1899-1906 une usine d'assortiments cylindre qu'un petit atelier au nord-ouest relie à son habitation. Ces deux bâtiments en rez-de-chaussée sont presque aussitôt (en 1903 ou 1904 ?) surélevés d'un premier étage et la maison remaniée (au niveau de la toiture notamment). Rotschi fonde en 1905 ou 1906 la Société d'Horlogerie de Maîche (SA au capital de 250 000 F), avec pour marque déposée une étoile à cinq branches rayonnante. Il cherche à mécaniser la fabrication pour produire l'ensemble des pièces composant l'échappement à cylindre et garantir leur interchangeabilité. Il achète donc des machines en Suisse, améliore celles existantes ou en invente (machine à tailler les roues de cylindre, tour mécanique à pivoter, etc.), déposant des brevets : un papier à en-tête de 1920 fait état de "250 machines automatiques dont les systèmes sont brevetés". L'affaire se développe, avec une "production journalière de 800 douzaines" d'échappements, à cylindre mais aussi à ancre à partir de 1914 et Roskopf. Elle emploie 200 ouvriers sans compter ceux à domicile (une enquête de 1912 fait état d'un total de 500 personnes), dont un nombre important de Suisses. Elle fait aussi construire une deuxième usine à Villars-sous-Dampjoux, active de 1908 à 1914 puis reprise par René Amstutz, où une cinquantaine de personnes fabrique des échappements. En 1913-1914, un deuxième étage est ajouté à l'usine de Maîche.
Henri est rejoint par ses deux fils Léon (1889-1946) et Marcel (1891-1971), qui ont étudié au Technicum du Locle, mais l'entreprise connaît après la première guerre mondiale des difficultés dues aux crises horlogères, à des coûts de production trop élevés et à une fabrication trop exclusivement consacrée à l'échappement à cylindre. Rotschi tente bien une diversification, produisant d'autres types d'échappements et des forets pour horloger (forets spéciaux car leur angle de coupe est inversé, pour une rotation à gauche) sous la marque à l'Hirondelle et avec la devise "Je perce tout". L'affaire, qui bénéficie du soutien financier de la société immobilière créée en 1909 pour construire des logements pour ses ouvriers, est toutefois très endettée. Henri la laisse vers 1925 à ses fils mais Marcel s'en retire rapidement. Dans un courrier d'avril 1926 aux fabricants d'horlogeries, Léon Rotschi explique que "le programme de fabrication mécanique des échappements dont nous avons si souvent entretenu nos clients et que depuis plus de quatre années nous poursuivons sans relâche, touche à sa fin, nous sommes à la veille d'être au but, encore une série d'automates à installer qui se terminent et nous serons prêts. Nous fabriquerons à l'usine mécaniquement et en majeure partie automatiquement toutes les parties des assortiments : découpage, tournage, fraisage, taillage, finissage, meulage, toutes les parties faites jusqu'ici à la main se feront à la machine. Désormais nous serons affranchis de la tyrannie des mains d'oeuvre de l'extérieur" [...] Il prévoit de pouvoir rapidement fabriquer plus de 100 grosses d'assortiments par jour (soit une production quotidienne de plus de 14 400 échappements). Difficultés techniques, manque de temps, défiance de la clientèle ? Toujours est-il que le succès ne semble pas au rendez-vous et que Léon doit vers 1928 vendre l'entreprise à Jean Wertz (son principal créancier ?), industriel demeurant au 14 rue de Reims à Mulhouse, tandis que le département Forets est cédé à Louis Mauvais. L'affaire, qui comptait 167 ouvriers en 1926, n'en a plus que 135 en 1930 (dont 109 Français, 20 Suisses et 2 Italiens), parmi lesquels Marc Feuvrier (des Ecorces) recruté cette année-là comme chef de fabrication pour les roues de cylindre, et moins d'une centaine à sa fermeture en 1936.
Relliac et les autres
L'usine passe à l'issue de la deuxième guerre mondiale (vers 1946 ou 1948) à Charles Perrot-Audet, qui a repris l'atelier de traitement thermique des métaux et de polissage des pièces d'horlogerie créé vers 1915 par son père Léon au 18 Rue Neuve à Charquemont. Perrot-Audet renouvelle le matériel et oriente la production vers les pièces d'échappement à ancre (raquettes et fourchettes). Sans succès si bien que tout s'arrête assez vite. Une partie des bâtiments est provisoirement louée au pharmacien Robert Joriot pour y faire des travaux d'impressions sur ses produits et les conditionner.
Désaffecté, le site est en 1956 loué à la société Magister, de Villers-le-Lac. Cette dernière est issue d'une maison fondée (pour fabriquer des vis d'horlogerie) en 1919 par Camille Joriot, qui s'est ensuite associé avec Perrot-Audet. Disposant d'un capital de 4 millions de francs en 1958, la Sarl Magister emploie plus d'une centaine de personnes entre ses sites de Villers-le-Lac (fabrication), Charquemont (polissage et galvanoplastie) et Maîche (estampage et matriçage), où elle est classée dans la catégorie 11-19 salariés. Elle produit alors des pièces pour l'horlogerie (raquettes, coquerets et pitons mobiles par exemple) et, surtout, des vis destinées à l'horlogerie mais aussi aux instruments et à l'appareillage de précision et, de plus en plus, à la lunetterie. Elle se recentre cependant vers 1965 sur son site d'origine et quitte Maîche.
Lui succède en 1964-1965 la fabrique de montres Relliac (du nom de son créateur - Charles Cailler - en verlan), Sarl fondée le 9 juin 1947 et transformée en SA (au capital de 10 000 F) le 14 novembre 1959. Cette entreprise, installée à l'origine dans l'ancien atelier Spinelli au 2 rue Sainte-Anne puis dans la maison de Cailler au 12 de la même rue, est dirigée par Edmond Gentit, l'associé de Cailler (qui prend sa retraite à ce moment-là). Elle emploie près de 90 horlogers à Maîche et une vingtaine à Besançon (au montage des mouvements). Avec une production mensuelle de 35 000 montres (mécaniques, automatiques et chronographes), elle occupe le troisième rang français derrière Lip et Yema. 30 % de sa production part à l’export, le reste est destiné au circuit des horlogers-bijoutiers et aux entreprises telles Lip (sous les marques Lip et Dauphine), Yema, Lacorda, Breitling, Difor, Maty... Relliac connait cependant des difficultés, victime de l'affaire Lip (1973-1976) et de la concurrence asiatique, aggravée par l'arrivée du quartz. Elle disparaît en août 1976 et plus de 70 personnes sont licenciées à Maîche. Certaines vont fonder leur propre entreprise : Créhor par Claude Delacour, la Société coopérative horlogère maîchoise (Schom) de Michel Simonin et Pierre Barthod (qui s'établit dans l'ancien atelier Loeffler, au 13 rue du Général de Gaulle), etc.
Après avoir hébergé plusieurs entreprises modestes et qui sont restées peu de temps, les bâtiments accueillent de 1996 au 31 décembre 2012 la société IMM Développement, SA (au capital de 38 000 €) fondée le 1er octobre 1995 par Michel Haenni. Ce dernier était auparavant à la tête de la Sarl Indexor, installée dans l'ancienne usine Victorin Frésard de Charquemont, au 12 rue du Château. Chassé des lieux par un incendie le 17 mars 1995, M. Haenni décide alors de s'établir rue du Mont, site acquis vers 1990. Il agrandit l'atelier nord-ouest pour créer une entrée abritant l'escalier desservant les étages (l'accès au premier étage s'effectuait auparavant par un escalier extérieur métallique). Il redémarre son activité avec une dizaine de personnes mais choisit de supprimer la fabrication des cadrans de montre, nécessitant trop de personnel, pour se recentrer sur son métier d'origine : la mécanique d'outillage. L'outillage fabriqué est utilisé pour réaliser des produits par injection plastique ou métallique. La société fournit l'industrie horlogère et, en sous-traitance, l'électronique, l'automobile et l'électroménager. Elle n'occupe plus que deux ou trois personnes à sa fermeture fin 2012. Le site est désaffecté depuis.
Pour profiter de l'électricité, Henri Rotschi transfère dans les années 1890 son atelier d'horlogerie des Bréseux à Maîche, à l'arrière de l'actuelle pharmacie au 28 place de l'Eglise. Il acquiert vers 1894 ou 1897 la maison bâtie Sous Montjoie par Alexandre Boibessot vers 1875 (et modifiée vers 1879) et fait construire dans la période 1899-1906 une usine d'assortiments cylindre. Ces deux bâtiments en rez-de-chaussée sont presque aussitôt (en 1903 ou 1904 ?) surélevés d'un premier étage et la maison remaniée (au niveau de la toiture notamment). Rotschi fonde en 1905 ou 1906 la Société d'Horlogerie de Maîche (marque déposée : une étoile à cinq branches rayonnante), qui cherche à mécaniser la fabrication des pièces composant l'échappement à cylindre et à garantir leur interchangeabilité. L'affaire se développe : avec une "production journalière de 800 douzaines" d'échappements (à cylindre mais aussi à ancre à partir de 1914 et Roskopf), elle emploie 200 ouvriers sans compter ceux à domicile (une enquête de 1912 fait état d'un total de 500 personnes). Elle fait aussi construire à Villars-sous-Dampjoux une deuxième usine (active de 1908 à 1914) tandis qu'en 1913-1914, un deuxième étage est ajouté à celle de Maîche. La société tente après la première guerre mondiale de se diversifier en produisant d'autres types d'échappements et des forets pour horloger (sous la marque à l'Hirondelle). Bénéficiant du soutien financier de la société immobilière créée en 1909 pour construire des logements pour ses ouvriers, elle est toutefois très endettée. Henri la laisse vers 1925 à ses fils, Léon et Marcel, mais elle doit être vendue en 1928 (le département Forets est cédé à Louis Mauvais). L'affaire, qui comptait 167 ouvriers en 1926, en a moins d'une centaine à sa fermeture en 1936.
L'usine passe à l'issue de la deuxième guerre mondiale à Charles Perrot-Audet, qui a repris l'atelier de traitement thermique des métaux et de polissage des pièces d'horlogerie créé vers 1915 par son père Léon au 18 Rue Neuve à Charquemont. Perrot-Audet renouvelle le matériel et oriente la production vers les pièces d'échappement à ancre (raquettes et fourchettes). Sans succès. Le site est loué en 1956 par la société Magister, de Villers-le-Lac, qui en 1958 emploie plus d'une centaine de personnes entre ses sites de Villers-le-Lac (fabrication), Charquemont (polissage et galvanoplastie) et Maîche (estampage et matriçage). Elle produit alors des pièces pour l'horlogerie (raquettes, coquerets et pitons mobiles par exemple) et, surtout, des vis destinées à l'horlogerie mais aussi aux instruments et à l'appareillage de précision et, de plus en plus, à la lunetterie. Lorsqu'elle part vers 1965, elle est remplacée par la fabrique de montres Relliac (du nom de son créateur - Charles Cailler - en verlan), fondée le 9 juin 1947. Installée à l'origine dans l'ancien atelier Spinelli au 2 rue Sainte-Anne puis dans la maison de Cailler au 12 de la même rue, cette entreprise emploie près de 90 horlogers à Maîche et une vingtaine à Besançon (au montage des mouvements). Avec une production mensuelle de 35 000 montres (mécaniques, automatiques et chronographes), elle occupe le troisième rang français derrière Lip et Yema. Victime de l'affaire Lip (1973-1976) et de la concurrence asiatique, aggravée par l'arrivée du quartz, elle disparaît en août 1976 et plus de 70 personnes sont licenciées à Maîche, dont certaines fondent leur propre entreprise : Créhor par Claude Delacour, la Société coopérative horlogère maîchoise (Schom) de Michel Simonin et Pierre Barthod (qui s'établit dans l'ancien atelier Loeffler, au 13 rue du Général de Gaulle), etc. Les bâtiments accueillent de 1996 à 2012 la société IMM Développement, fondée le 1er octobre 1995 par Michel Haenni, auparavant à la tête de la Sarl Indexor (chassée par un incendie de l'ancienne usine Victorin Frésard, de Charquemont). Haenni agrandit l'atelier nord-ouest pour créer une entrée abritant l'escalier desservant les étages et redémarre, avec une dizaine de personnes, une activité de mécanique d'outillage pour l'industrie horlogère et, en sous-traitance, l'électronique, l'automobile et l'électroménager. Son affaire n'occupe plus que deux ou trois personnes à sa fermeture fin 2012 puis le site est désaffecté.
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Période(s)
- Principale : 4e quart 19e siècle , daté par source, daté par travaux historiques
- Principale : 1er quart 20e siècle , daté par source, daté par travaux historiques
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Auteur(s)
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Auteur :
maître d'oeuvre inconnumaître d'oeuvre inconnuCliquez pour effectuer une recherche sur cette personne.
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Auteur :
Les constructions ont des murs en moellons calcaires enduits, à l'exception du garage récent et de l'extension de l'atelier au nord-ouest (en parpaings de béton). Doté sur sa façade nord de deux tours hors-oeuvre, le bâtiment principal (usine) comporte deux étages carrés, desservis par un escalier placé dans l'atelier nord-ouest. Ce dernier a un étage de soubassement, un rez-de-chaussée surélevé, un étage carré et un étage de comble. Le logement patronal (maison d'origine au sud, très transformée) a un étage carré et un étage en surcroît ; il se prolonge au sud par une pièce en rez-de-chaussée coiffée d'une terrasse en béton (comme le garage), et à l'ouest par un corps à un étage carré protégé par un appentis en tôle plate et encadré par deux tours. Le rez-de-chaussée et le premier étage de l'usine sont éclairés par des fenêtres multiples (à encadrement en briques et voûte en arc segmentaire), que l'on retrouve également pour l'atelier ; le deuxième étage est percé de fenêtres d'atelier ; quelques fenêtres horlogères sont aussi visibles ici ou là. Les tours sont sommées de flèches à égout retroussé et couverture en ciment amiante, les autres corps ont des toits à longs pans : à croupes et en fer sur l'usine, à pignons couverts et tuiles mécaniques sur les autres. Dans l'angle sud-ouest, un escalier isolé, droit et en maçonnerie, donne accès du logement patronal à la rue du Mont.
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Murs
- calcaire moellon enduit
- béton parpaing de béton enduit
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Toitsfer en couverture, tuile mécanique, béton en couverture, ciment amiante en couverture
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Étages2 étages carrés
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Élévations extérieuresélévation à travées
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Couvertures
- toit à longs pans croupe
- pignon couvert
- noue
- flèche carrée
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Escaliers
- escalier dans-oeuvre
- escalier isolé : escalier droit en maçonnerie
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Énergies
- énergie électrique achetée
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Typologiesbaie horlogère ; baie multiple ; baie d'atelier
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État de conservationétablissement industriel désaffecté
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Statut de la propriétépropriété privée
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Référence Patriarcheprésent sur POP
- (c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
- (c) Ministère des Finances, Service du cadastre
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- (c) Charles Simon
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- (c) Charles Simon
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Haenni, Michel. Ancien dirigeant des sociétés Indexor, à Charquemont, et IMM Développement, à Maîche.
24 juin 2015 -
Joriot, Jean-Jacques. Petit-fils de Camille Léon Joriot et fils de Camille Etienne Joriot.
11 mars 2016 -
Simonin, Michel. Ancien horloger, auteur de livres sur Maîche et l'horlogerie du Haut-Doubs. Maîche.
6 juillet 2015
Documents d'archives
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Archives départementales du Doub : M 3038 Travail et main d’œuvre (1912).
SA d’horlogerie de Maîche. -
Archives départementales du Doubs : M 3044 Travail et main d’œuvre, 1926-1930.
Fabrique d'Horlogerie de Maîche (usine Rotschi). -
Archives municipales, Maîche : Cadastre de la commune de Maîche [1812-1977].
- Registre des états de sections (1812).
- Matrices cadastrales des propriétés bâties et non bâties : Propriétés foncières [1826-1914].
- Matrice cadastrale des propriétés bâties, 1883-1896 [1882-1910].
- Matrice cadastrale des propriétés bâties [1911-1977].
Matrices cadastrales des propriétés bâties et non bâties [1826-1914], et des propriétés bâties (1883-1896 [1882-1910] et 1911-1977). -
Collection particulière : Contrat de travail de Marc Feuvrier, 23 mai 1930.
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Papier à en-tête de la Société d'Horlogerie de Maîche [façade antérieure de l'usine Rotschi, dotée d'un seul étage carré], 19 mars 1907.
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Courrier de la Société d'Horlogerie de Maîche à ses clients, 26 avril 1926.
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Papier à en-tête de la Société d'Horlogerie de Maîche [façade antérieure de l'usine Rotschi, dotée de deux étages carrés], 4 mai 1932.
Bibliographie
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Belmont, Henry-Louis. L'échappement à cylindre (1720-1950) : le Haut-Doubs, centre mondial au 19e siècle. - Besançon : Technicmédia, 1984. 328 p. : ill. ; 28 cm.
P. 41, 313-314. -
Benoît, Maurice ; Gauthier, Jean [et al.]. La vie économique de Franche-Comté et du Territoire de Belfort. - Besançon : Impr. de l'Est, 1958.
Vol. 2, p. 103, 125: ill. -
Maîche au fil des siècles. - Maîche : la Ville, 1999. 116 p. : ill. ; 30 cm. Numéro spécial du Bulletin municipal (n° 21).
P. 57-63 : ill. -
Simonin, Michel ; Choulet, Jean-Marie. Maîche hier et aujourd'hui. - Maîche : Jardins de Mémoire, 1999. 101 p. : tout en ill. ; 30 x 31 cm. Recueil de cartes postales anciennes vis-à-vis de photographies récentes.
P. 36-37 : ill. -
Simonin, Michel. L'horlogerie au fil du temps et son évolution en Franche-Montagne, sur le plateau de Maîche. - Maîche : M. Simonin, 2007. 143 p. : ill. ; 30 cm.
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Sornay, Lionel. Prosopographie des entreprises horlogères et de leurs financeurs sur le plateau de Maîche 1925-1973. - Besançon : Université de Franche-Comté, 2003. 56 p. : ill. ; 30 cm. Mém DEA : histoire industrielle : Besançon : 2003 ; 51.
P. 39. -
Valzer Luc. Un village industriel au 20e siècle. L'écho des Barbèches, n°5, 2005, p. 37 et suivantes : ill.
P. 37-39 : ill. -
Vuillet, Bernard. Entre Doubs et Dessoubre. Tome II. Autour de Maîche et Belleherbe, d'après la collection de cartes postales de Georges Caille. - Les Gras : B. Vuillet, Villers-le-Lac : G. Caille, 1990. 231 p. : cartes postales ; 31 cm.
P. 96-99, 114-119 : ill.
Documents figurés
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Acquisitions, aliénations, échanges d'immeubles communaux [plan-masse et de situation de l'usine Rotschi et des bâtiments proches], dessin sur calque (plume, lavis), par le géomètre Bouvard, Maîche le 19 juillet 1899, 36,5 x 45 cm, échelle 1/500.
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Maîche. - Fabrication de l'horlogerie. - Usine électrique de MM. Rotschi et Delavelle [façade postérieure de l'usine Rotschi, en rez-de-chaussée], carte postale, par Ch. Simon, s.d. [entre 1899 et 1904], Phototypie A. Bergeret et Cie à Nancy. Publiée dans : Vuillet, Bernard. Entre Doubs et Dessoubre. Tome II. Autour de Maîche et Belleherbe. - 1990, p. 96. Egalement publiée dans : Simonin, Michel. L'horlogerie au fil du temps et son évolution en Franche-Montagne, sur le plateau de Maîche. - 2007, p. 41, et dans : Simonin, Michel ; Choulet, Jean-Marie. Maîche hier et aujourd'hui. - 1999, p. 36.
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Vue partielle de Maîche [le séminaire et l'usine Rotschi, en cours de surélévation], carte postale, s.n., [1er quart 20e siècle, avant 1916], Librairie Guiot-Renaud éd. à Maîche. Porte la date 29 août 1916. Publiée dans : Simonin, Michel ; Choulet, Jean-Marie. Maîche hier et aujourd'hui. - Maîche : Jardins de Mémoire, 1999, p. 58 (l'exemplaire publié porte la date 26 septembre 1904).
Le premier étage de l'usine est en cours de construction. -
Maîche - Sortie des usines Rotschild [sic] [façade antérieure, de trois quarts droite, de l'usine dotée d'un seul étage carré], carte postale coloriée, s.n., s.d. [1er quart 20e siècle, entre 1904 et 1909], Bauer et Marchet éd. à Dijon. Logo Bauer et Marchet (BM) utilisé de 1904 à 1909. Publiée dans : Simonin, Michel ; Choulet, Jean-Marie. Maîche hier et aujourd'hui. - 1999, p. 37. Egalement publiée dans : Vuillet, Bernard. Entre Doubs et Dessoubre. Tome II. Autour de Maîche et Belleherbe. - 1990, p. 98.
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Maîche - Sortie des usines Rotschild [sic] [façade postérieure, de trois quarts droite, de l'usine dotée d'un seul étage carré], carte postale coloriée, s.n., s.d. [1er quart 20e siècle, entre 1904 et 1909], Bauer et Marchet éd. à Dijon. Logo Bauer et Marchet (BM) utilisé de 1904 à 1909. Publiée dans : Simonin, Michel ; Choulet, Jean-Marie. Maîche hier et aujourd'hui. - 1999, p. 36.
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816. Maîche - Fabrique d'horlogerie [façade postérieure de l'usine Rotschi, dotée d'un seul étage carré], carte postale, par Ch. Simon, s.d. [1er quart 20e siècle, entre 1906 et 1914], Simon éd. à Maîche et Ornans. Publiée dans : Simonin, Michel ; Choulet, Jean-Marie. Maîche hier et aujourd'hui. - 1999, p. 36.
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1236. Maîche - Vue prise du clocher [centre du village et quartier de Montjoie], carte postale, par Ch. Simon, s.d. [2e quart 20e siècle], Ch. Simon éd. à Maîche. Publiée dans : Simonin, Michel ; Choulet, Jean-Marie. Maîche hier et aujourd'hui. - Maîche : Jardins de Mémoire, 1999, p. 34.
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201. Maîche. Les ateliers d'horlogerie, carte postale, par Ch. Simon, s.d. [entre 1914 et 1918], Ch. Simon éd. à Maîche et Ornans. Publiée dans : Vuillet, Bernard. Entre Doubs et Dessoubre. Tome II. Autour de Maîche et Belleherbe, 1990, p. 101.
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1361. Maîche - Le centre [vu depuis le clocher de l'église], carte postale, par Ch. Simon, s.d. [1ère moitié 20e siècle], Ch. Simon éd. à Maîche.
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Relliac S.A. Fabrique de montres, exportation, au service de tous [deux vues intérieures d'ateliers], photographie (sur un encart publicitaire), s.n., 1966. Publiée dans : Regards sur le Doubs. - Paris : Service de Presse, Edition, Information, 1971, p. 80. Egalement dans : Simonin, Michel. L'horlogerie au fil du temps et son évolution en Franche-Montagne, sur le plateau de Maîche. - 2007, p. 100.
Annexes
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Courrier de la Société d'Horlogerie de Maîche à ses clients, 26 avril 1926
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Les successeurs de Relliac
Poupard, Laurent. Chercheur au service Inventaire et Patrimoine de la Région Bourgogne-Franche-Comté, 1987-
Poupard, Laurent. Chercheur au service Inventaire et Patrimoine de la Région Bourgogne-Franche-Comté, 1987-