Sancey, Yves. Photographe. Direction régionale des Affaires culturelles de Franche-Comté puis Région Bourgogne-Franche-Comté, Service Inventaire et Patrimoine. 1973-2013.
- patrimoine industriel, patrimoine industriel du Doubs
- (c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
Dossier non géolocalisé
-
Aire d'étude et canton
Pays horloger (le) - Maîche
-
Commune
Maîche
-
Adresse
1 rue Guynemer
,
5 rue Sainte-Anne
-
Cadastre
2015
AC
42, 265
-
Dénominationsusine d'horlogerie, usine de petite métallurgie
-
Précision dénominationusine d’assortiments à cylindre, usine de forets pour l'horlogerie
-
Appellationsusine Mauvais Frères et Rondot, usine Louis Mauvais et ses Fils, usine de la Société coopérative horlogère maîchoise, Résidence Franche-Montagne
-
Destinationsmaison de retraite, maison
-
Parties constituantes non étudiéesatelier de fabrication, cantine, dépendance, garage, stationnement, jardin, logement
L'usine est bâtie en 1901-1902 pour Louis Mauvais (1864-1934), dont le père Lucien (1835-1883) a été distingué en 1878 à l'exposition collective du Doubs. Installé en 1890 au centre du village puis établi horloger en 1893 dans une ferme au 15 rue Saint-Michel, Louis s'associe au sein de la société Mauvais Frères et Rondot avec son frère Paul (1865-1947) et leur beau-frère Joseph Rondot, paysan horloger originaire de Charmauvillers. Le premier vient de faire bâtir au 10 rue du Mont un immeuble avec atelier d'horlogerie doté d'un moteur électrique, le second est à la tête d'un atelier créé dans une ferme au 8 rue des Combes. En 1901-1902, ils font construire rue Sainte-Anne (actuellement au 1 rue Guynemer) cette usine, électrifiée et dotée d'un étage (qui abrite dans un premier temps quelques logements). Ils y fabriquent des assortiments (échappements) à cylindre, vendus en Suisse aux sociétés Kurth, Eta, Arogno, Felsa, etc. Louis fait aussi bâtir un logement patronal (qui passera à son fils Lucien par la suite) en 1903 et une petite forge vers 1906. L'entreprise occupe en 1907 une cinquantaine d'ouvriers sur place, sans compter les personnes à domicile (évaluées l'année précédente entre 150 et 180), et une centaine en 1912. En 1914, un deuxième corps de bâtiment à deux étages carrés est ajouté au sud. Le 1er juillet 1925, les associés se séparent : Paul et Joseph ouvrent leur propre entreprise (Mauvais et Rondot) au 4 rue de la Gare et Louis conserve l'usine. Il fonde le 10 décembre 1925 la société en nom collectif Louis Mauvais et ses Fils, qu'il dirige avec ses fils Lucien (1896-1967) et Henry (1907-1981). Cette dernière achète en 1928 à la société Rotschi, en difficulté, son département Forets pour l'horlogerie (forets spéciaux car leur angle de coupe est inversé, pour une rotation à gauche) avec la marque à l'Hirondelle (et la devise "Je perce tout"). Elle compterait 35 ouvriers en 1926, 20 en 1930 (?). La fabrication des assortiments à cylindre se poursuit jusqu'en 1940, employant au maximum plus de 150 personnes tant en atelier qu'à domicile, celle des forets jusque dans les années 1970. Déclinant après la deuxième guerre et employant moins d'une dizaine de salariés en 1963, la société Louis Mauvais et ses Fils est dissoute le 31 mars 1968. Henry poursuit la production des forets qui, rencontrant un certain succès, est transférée en 1978 par Gabriel (l'un de ses fils) à Sévrier (Savoie) pour se rapprocher de sa clientèle (Gabriel y fonde avec son beau-père la Sema ou Société d'Exploitation des Ets Mauvais Accessor, Sarl installée route des Quarts et qui a disparu en 2002).
Vaste, le site héberge aussi diverses entreprises : l'imprimerie Chopard (au rez-de-chaussée) et la fabrique de briquets jetables Francispam (Société Franco-Hispano-Américaine). Sarl au 14 rue de Londres à Paris puis SA aux n° 17-19 rue Robert Joubel à Saint-Gratien (Val-d'Oise), Francispam a une autre unité dans cette dernière ville, où elle fabrique les briquets Silver-Match (marque créée par Robert Hocq pour commercialiser son briquet à gaz "Compound", via la société British Butanic Lighter C°) ; elle possède aussi la marque Interflamme (exploitée par la SA éponyme, placé en liquidation en août 1981). A Maîche, elle oriente la production vers le laquage de briquets de luxe à la fin d'octobre 1977 et occupe 30 personnes en juin de l'année suivante.
En 1978, les bâtiments accueillent également la Société coopérative horlogère maîchoise (Schom), organisée en 1977 autour de Michel Simonin et de Pierre Barthod. Cette coopérative ouvrière de production a été créée par une petite dizaine des 70 salariés de la fabrique de montres Relliac licenciés à Maîche suite à sa liquidation en 1976. Relliac, qui fut l'un des fleurons de l'horlogerie du Haut-Doubs (occupant au milieu des années 1960 le troisième rang français, derrière Lip et Yema), a été fondée le 9 juin 1947 par Charles Cailler (dont elle reprend le nom en verlan). L'entreprise a connu plusieurs localisations : l'ancien atelier Spinelli au 2 rue Sainte-Anne, l'usine bâtie en 1949 au 12 de la même rue puis pour finir l'usine Rotschi au 9 rue du Mont. La Schom achète la marque Relliac, et une partie du matériel et des fournitures de la société disparue. Elle s'installe tout d'abord dans l'ancien atelier de mécanique de la société Loeffler, au 13 rue du Général de Gaulle, puis investit l'usine du 1 rue Guynemer. Elle vend sa production par le biais de circuits coopératifs - tels la Camif de 1977 à 1985, la centrale d'achat des magasins Coop de Boulogne-Billancourt (vente par correspondance), la Mutuelle générale des Impôts, la coopérative de la Douane et de la Marine à La Rochelle, etc. - mais aussi des comités d'entreprises (Peugeot, Renault, Berliet, etc.). Les commandes de la Camif, coopérative d'achats (fondée en 1947) des adhérents à la Mutuelle des Instituteurs de France, sont décisives pour lancer la société : elles sont à chaque fois de 2 à 3 000 montres, livrées par fractions et réglées de manière régulière ; pour honorer la première commande, portant sur 2 500 montres automatiques pour femme, la Schom bénéficie de l'aide d'ouvriers de Lip. Elle pratique aussi le rhabillage (réparations) via le circuit traditionnel de l'horlogerie bijouterie, pour lequel elle dépose la marque Presthor. Fabrique de montres mécaniques, la Schom disparaît en juin 1985 victime du succès des montres à quartz.
Lui succède dans l'atelier la petite entreprise de décolletage de Pierre Zwahlen qui, occupant 3 ou 4 personnes, partira en retraite en 1993 (l'atelier de son père André, rue de la Batheuse, a été absorbé par l'entreprise Coeurdor). Après quelques occupations temporaires, le site est désaffecté à l'exception des deux étages du bâtiment de 1914 qui abritent toujours des logements.
Il est acquis par la Mutualité française du Doubs (domiciliée au 67 rue des Cras, à Besançon) qui projette d'y construire une unité Alzheimer, extension de la maison de retraite voisine (Ehpad intitulé Résidence Franche-Montagne). Ce projet est confié au cabinet d'architecture Laffly (Eurl Joël Laffly Architecture Design, 24 rue Bersot à Besançon), associé pour l'occasion au cabinet bisontin Milani-Beaudoin (SCP Milani-Beaudoin Architectes, 9 rue de l'Ecole). Le bâtiment de 1914 est rasé en 2007 et remplacé par une construction neuve, achevée en décembre 2008 ; celui de 1901 est conservé pour les locaux de service et du personnel. L'ensemble, comptant 18 lits, est opérationnel en 2009.
L'usine est bâtie en 1901-1902 pour Louis Mauvais qui, horloger dans une ferme au 15 rue Saint-Michel, s'associe au sein de la société Mauvais Frères et Rondot avec son frère Paul et leur beau-frère Joseph Rondot, chacun à la tête de son atelier, le premier au 10 rue du Mont et le second au 8 rue des Combes. En 1901-1902, ils font construire rue Sainte-Anne (actuellement au 1 rue Guynemer) cette usine, électrifiée et dotée d'un étage, dans laquelle ils fabriquent des assortiments (échappements) à cylindre. Louis fait aussi bâtir un logement patronal (qui passera à son fils Lucien par la suite) en 1903 et une petite forge vers 1906. L'entreprise occupe en 1907 une cinquantaine d'ouvriers sur place, sans compter les personnes à domicile (évaluées l'année précédente entre 150 et 180), et une centaine en 1912. En 1914, un deuxième corps de bâtiment à deux étages carrés est ajouté au sud. Le 1er juillet 1925, les associés se séparent : Paul et Joseph ouvrent leur propre entreprise (Mauvais et Rondot) au 4 rue de la Gare et Louis conserve l'usine. Il fonde le 10 décembre 1925 la société en nom collectif Louis Mauvais et ses Fils, qu'il dirige avec ses fils Lucien et Henry. Cette dernière achète en 1928 à la société Rotschi, en difficulté, son département Forets pour l'horlogerie (marque à l'Hirondelle). La fabrication des assortiments à cylindre se poursuit jusqu'en 1940, employant au maximum plus de 150 personnes tant en atelier qu'à domicile, celle des forets jusque dans les années 1970. Déclinant après la deuxième guerre, la société Louis Mauvais et ses Fils est dissoute le 31 mars 1968. Henry poursuit la production des forets, transférée en 1978 par Gabriel (l'un de ses fils) à Sévrier (Savoie).
Vaste, le site héberge aussi diverses entreprises : l'imprimerie Chopard (au rez-de-chaussée) et la fabrique de briquets jetables Francispam (Société Franco-Hispano-Américaine). Sarl au 14 rue de Londres à Paris puis SA aux n° 17-19 rue Robert Joubel à Saint-Gratien (Val-d'Oise), Francispam a une autre unité dans cette dernière ville, où elle fabrique les briquets Silver-Match ; elle possède aussi la marque Interflamme (exploitée par la SA éponyme, placé en liquidation en août 1981). A Maîche, elle oriente la production vers le laquage de briquets de luxe à la fin d'octobre 1977 et occupe 30 personnes en juin de l'année suivante. En 1978, les bâtiments accueillent également la Société coopérative horlogère maîchoise (Schom), organisée en 1977 autour de Michel Simonin et de Pierre Barthod. Cette coopérative ouvrière de production a été créée par une petite dizaine des 70 salariés de la fabrique de montres Relliac licenciés à Maîche suite à sa liquidation en 1976. Relliac, fondée en 1947 par Charles Cailler (dont elle reprend le nom en verlan), connut plusieurs localisations : l'ancien atelier Spinelli au 2 rue Sainte-Anne, l'usine bâtie en 1949 au 12 de la même rue puis pour finir l'usine Rotschi au 9 rue du Mont. La Schom achète la marque Relliac, et une partie du matériel et des fournitures de la société disparue. Elle s'installe tout d'abord dans l'ancien atelier de mécanique de la société Loeffler, au 13 rue du Général de Gaulle, puis investit l'usine du 1 rue Guynemer. Fabrique de montres mécaniques, la Schom disparaît en juin 1985 victime du succès des montres à quartz. Lui succède dans l'atelier la petite entreprise de décolletage de Pierre Zwahlen qui, occupant 3 ou 4 personnes, partira en retraite en 1993.
Après quelques occupations temporaires, le site est désaffecté à l'exception des deux étages du bâtiment de 1914 qui abritent toujours des logements. Il est acquis par la Mutualité française du Doubs, qui y fait construire une unité Alzheimer, extension de la maison de retraite voisine (Ehpad intitulé Résidence Franche-Montagne), suivant le projet du cabinet d'architecture bisontin de Joël Laffly. Le bâtiment de 1914 est rasé en 2007 et remplacé par une construction neuve, achevée en décembre 2008 ; celui de 1901 est conservé pour les locaux de service et du personnel. L'ensemble, comptant 18 lits, est opérationnel en 2009.
-
Dates
- 1901, daté par source, daté par travaux historiques
- 1914, daté par source, daté par travaux historiques
- 2008, daté par source
-
Auteur(s)
-
Auteur :
Laffly Joëlarchitecte attribution par sourceLaffly Joël
Laffly, Joël (né en 1949). Architecte. Inscrit le 25 juillet 1989 au Tableau des architectes de Franche-Comté. Cabinet Laffly Architecture Design établi au 24 rue Bersot, à Besançon.
-
Auteur :
Sur le site industriel, le bâtiment ancien (parallèle à la rue Sainte-Anne) a des murs en moellons calcaires enduits ; les autres font appel au béton armé, avec enduit ou essentage de tôles. Le premier comporte trois niveaux (rez-de-chaussée, étage carré et comble à surcroît) largement percés de fenêtres multiples, à arc segmentaire et encadrement en briques. Il est coiffé d'un toit à longs pans et pignons couverts, à couverture de tuiles mécaniques. Les corps récents sont en rez-de-chaussée, avec charpente en bois apparente (lamellé-collé) supportant un toit à un pan protégé par des tôles d'acier ; celui à l'est et le porche sont sommés d'une terrasse en béton. Le logement patronal a des murs en moellons calcaires enduits et une toiture à croupe, demi-croupes, égout retroussé et couverture d'ardoises. Il compte un sous-sol, un rez-de-chaussée surélevé, un étage carré et un étage en surcroît, desservis par un escalier tournant dans-oeuvre.
-
Murs
- calcaire moellon enduit
- béton béton armé enduit
- essentage de tôle
-
Toitstuile mécanique, béton en couverture, acier en couverture, ardoise
-
Étages1 étage carré, comble à surcroît
-
Couvrements
- charpente en bois apparente
-
Élévations extérieuresélévation à travées
-
Couvertures
- toit à longs pans pignon couvert
- croupe
- demi-croupe
- noue
- toit à un pan
- terrasse
- appentis
-
Escaliers
- escalier dans-oeuvre : escalier tournant à retours avec jour en charpente
-
Énergies
- énergie électrique achetée
-
Typologiesbaie multiple
-
État de conservationétablissement industriel désaffecté
-
Statut de la propriétépropriété privée
-
Référence Patriarcheprésent sur POP
- (c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
- (c) Ministère des Finances, Service du cadastre
- (c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
- (c) Francis Grux
- (c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
- (c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
- (c) Charles Simon
- (c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
- (c) Charles Simon
- (c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
- (c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
- (c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
- (c) Compagnie des Arts phot0mécaniques
- (c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
- (c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
- (c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
- (c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
- (c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
- (c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
- (c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
- (c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
- (c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
- (c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
- (c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
- (c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
- (c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
- (c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
- (c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
- (c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
- (c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
- (c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
- (c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
- (c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
- (c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
- (c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
- (c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
-
Simonin, Michel. Ancien horloger, auteur de livres sur Maîche et l'horlogerie du Haut-Doubs. Maîche.
6 juillet, 5 août et 8 décembre 2015.
Documents d'archives
-
Archives départementales du Doub : M 3038 Travail et main d’œuvre (1912).
Société Mauvais Frères et Rondot. -
Archives départementales du Doubs : M 3044 Travail et main d’œuvre, 1926-1930.
Fabrique d'horlogerie Louis Mauvais (pièces détachées). -
Archives départementales du Doubs : 1132 W 56 Établissements classés (2e moitié 20e siècle).
Dossier de la société Francispam, à Maîche (1978). -
Archives municipales, Maîche : Cadastre de la commune de Maîche [1812-1977].
- Registre des états de sections (1812).
- Matrices cadastrales des propriétés bâties et non bâties : Propriétés foncières [1826-1914].
- Matrice cadastrale des propriétés bâties, 1883-1896 [1882-1910].
- Matrice cadastrale des propriétés bâties [1911-1977].
Matrices cadastrales des propriétés bâties, 1883-1896 [1882-1910] et [1911-1977]. -
Archives municipales, Maîche : Dossier de permis de démolir l'usine au 1 rue Guynemer, 2006-2007.
Contient les plans et élévations du bâtiment à démolir. -
Archives municipales, Maîche : Dossier de permis de construire une "Extension résidence Franche-Montagne. Unité d'hébergement spécialisé « personnes désorientées », 1 rue Guynemer - Maîche (25)", 2006-2008.
Contient les plans, coupes et élévations du bâtiment à construire. -
Fabrique d'assortiments cylindres par procédés mécaniques Mauvais & Rondot [l'usine agrandie], carte à en-tête, [décennie 1920, avant 1925], impr. M. Pattegay à Luxeuil. Porte la date 192. au verso.
-
Fabrique d'assortiments cylindres par procédés mécaniques Mauvais Louis et ses Fils [l'usine agrandie et la villa], carte à en-tête, [entre le 1er juillet 1925 et le 17 juin 1927].
-
Mauvais Louis et ses Fils. Fabrique d'assortiments cylindres, forets d'horlogerie et petite mécanique, carte publicitaire, s.d. [1932]. Publiée dans : Simonin, Michel. L'horlogerie au fil du temps et son évolution en Franche-Montagne, sur le plateau de Maîche, 2007, p. 43.
-
S.C.H.O.M. Montres Relliac. Tarif au 1er juillet 1980, 1 f. imprimée.
Voir en annexe.
Bibliographie
-
Belmont, Henry-Louis. L'échappement à cylindre (1720-1950) : le Haut-Doubs, centre mondial au 19e siècle. - Besançon : Technicmédia, 1984. 328 p. : ill. ; 28 cm.
P. 149, 297-298 : ill. -
Simonin, Michel. L'horlogerie au fil du temps et son évolution en Franche-Montagne, sur le plateau de Maîche. - Maîche : M. Simonin, 2007. 143 p. : ill. ; 30 cm.
-
Sornay, Lionel. Prosopographie des entreprises horlogères et de leurs financeurs sur le plateau de Maîche 1925-1973. - Besançon : Université de Franche-Comté, 2003. 56 p. : ill. ; 30 cm. Mém DEA : histoire industrielle : Besançon : 2003 ; 51.
P. 39, 40. -
Vuillet, Bernard. Entre Doubs et Dessoubre. Tome II. Autour de Maîche et Belleherbe, d'après la collection de cartes postales de Georges Caille. - Les Gras : B. Vuillet, Villers-le-Lac : G. Caille, 1990. 231 p. : cartes postales ; 31 cm.
P. 99-101, 114-119 : ill.
Documents figurés
-
Fabrique d'assortiments cylindres par procédés mécaniques Mauvais et Rondot [l'usine et la villa], papier à en-tête, s.d. [1er quart 20e siècle, avant 1914]. Publié dans : Vuillet, Bernard. Entre Doubs et Dessoubre. Tome II. Autour de Maîche et Belleherbe, 1990, p. 99.
-
Maîche - Vue panoramique, vue prise de la gare, carte postale coloriée, s.n., s.d. [entre 1904 et 1909], Bauer Marchet et Cie éd. à Dijon. Le monogramme BM figurant au recto a été utilisé par l'éditeur de 1904 à 1909, puis remplacé de 1909 à 1916 par le tampon rond Bauer Marchet et Cie Dijon.
-
Maîche - Sortie de l'usine Rondeau Mauvais [sic], carte postale, s.n., s.d. [1er quart 20e siècle, entre 1904 et 1907], Bauer et Marchet éd. à Dijon. Porte la date 1907 (tampon), logo Bauer et Marchet (BM) utilisé de 1904 à 1909. Publiée dans : Vuillet, Bernard. Entre Doubs et Dessoubre. Tome II. Autour de Maîche et Belleherbe, 1990, p. 100. Egalement publiée dans : Simonin, Michel ; Choulet, Jean-Marie. Maîche hier et aujourd'hui, 1999, p. 58.
-
Grève des ouvriers horlogers de Maîche. Les grévistes manifestent aux abords de l'usine Mauvais Frères et Rondot, carte postale, par Francis Grux, s.d. [1906], coll. Francis Grux peintre-photographe à Maîche. Publiée dans : Vuillet, Bernard. Entre Doubs et Dessoubre. Tome II. Autour de Maîche et Belleherbe, 1990, p. 114. Egalement publiée dans : Simonin, Michel. L'horlogerie au fil du temps et son évolution en Franche-Montagne, sur le plateau de Maîche, 2007, p. 99.
-
526. Maîche - Fabrique d'horlogerie, carte postale, par Ch. Simon, s.d. [1er quart 20e siècle, avant 1914], Ch. Simon éd. à Maîche. Publiée dans : Simonin, Michel ; Choulet, Jean-Marie. Maîche hier et aujourd'hui. - 1999, p. 36.
-
201. Maîche. Les ateliers d'horlogerie, carte postale, par Ch. Simon, s.d. [entre 1914 et 1918], Ch. Simon éd. à Maîche et Ornans. Publiée dans : Vuillet, Bernard. Entre Doubs et Dessoubre. Tome II. Autour de Maîche et Belleherbe, 1990, p. 101.
-
38 Maîche. Vue générale vers la gare et la ville, carte postale, s.n., s.d. [1ère moitié 20e siècle, décennies 1920-1930], Cie des Arts photomécaniques (CAP) éd. à Strasbourg - Schiltigheim.
Façade postérieure. -
Mauvais Louis et ses Fils à Maîche (Doubs). Forêts Rotschi [sic], dessin en couleur, s.n., s.d. [milieu 20e siècle], dessin imprimé sur une boîte d'emballage.
-
Unité d’hébergement spécialisé, rue Guynemer - Maîche (25). Dossier Permis de démolir [plans et élévations], dessin, (tirage), par l'architecte Joël Laffly, 31 octobre 2006, échelle 1/100, 84 x 83 cm.
- Plan de masse / Toiture existant.
- Plan de RDC et sous-sol - existant.
- Plan d'étages et comble - existant.
- Façades sud-est et nord-ouest.
- Façades sud-ouest et nord-est.
-
Unité d'hébergement spécialisé, rue Guynemer - Maîche (25). Dossier Permis de démolir. [Extrait du plan cadastral et] Photos du site, montage : dessin et deux photographies (tirage), par l'architecte Joël Laffly, 28 décembre 2006, échelle 1/500, 30 x 42 cm.
Documents multimédia
-
Cellie, Aurélien. La saga Quercia. - 2006-2009. Document accessible en ligne (http://acellie.free.fr/lasagaquercia.html) sur le site d'Aurélien Cellie, collectionneur de briquets anciens (consultation : 26 juillet 2013).
-
Cellie, Aurélien. Silvermatch. - 2015. Document accessible en ligne (http://acellie.free.fr/silvermatch.html) sur le site d'Aurélien Cellie, collectionneur de briquets anciens (consultation : 7 juillet 2015).
-
Prost, André. Recherches généalogiques. Accessibles en ligne sur le site de Geneanet : http://gw.geneanet.org
Famille Mauvais, à Maîche (consultation : 25 juin 2015).
Poupard, Laurent. Chercheur au service Inventaire et Patrimoine de la Région Bourgogne-Franche-Comté, 1987-
Poupard, Laurent. Chercheur au service Inventaire et Patrimoine de la Région Bourgogne-Franche-Comté, 1987-