Fromaget, Brigitte. Chercheur au service Inventaire et Patrimoine de la Région Bourgogne-Franche-Comté.
Fabien Dufoulon, chercheur. Région Bourgogne-Franche-Comté, Service Inventaire et Patrimoine, 2018-
- enquête thématique régionale, thermalisme en Bourgogne-Franche-Comté (le)
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Barbe-Richaud Pierre-MarieBarbe-Richaud Pierre-Marie
Pierre-Marie Barbe-Richaud, photographe. Région Bourgogne-Franche-Comté, Service Inventaire et Patrimoine, 2008-
- (c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
Dossier non géolocalisé
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Aire d'étude et canton
Bourgogne-Franche-Comté
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Commune
Pougues-les-Eaux
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Adresse
23-25 avenue de Conti
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Cadastre
2020
ZD
215
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Dénominationsfontaine
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Dossier dont ce dossier est partie constituante
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Parties constituantes non étudiéesboutique, portique de jardin
Création d'une première buvette (vers 1900)
Vers 1900, la Compagnie des Eaux minérales de Pougues prend la décision de déplacer la buvette Saint-Léger qui se situait jusqu'alors au-dessus de la source, devant la façade du casino-théâtre. Cette décision doit être motivée par la volonté de mettre en valeur la source plus loin à l'intérieur du parc, au milieu d'un espace arboré, dans l'axe de la façade du Splendid-Hôtel. C'est aussi l'occasion de joindre aux eaux de la source Saint-Léger, connue depuis la Renaissance, celles de la source Saint-Léon, découverte plus récemment. La source Saint-Léon est née en effet à la suite d'un forage pratiqué jusqu'au niveau des couches de marne sous le banc de calcaire dur à 70 mètres de profondeur, sur un terrain situé à la limite extérieure du périmètre de protection des eaux de la source Saint-Léger en 1890. Propriété de Guérin, elle reçoit une autorisation d'exploitation le 19 juin 1893. Elle est acquise par la Compagnie des Eaux minérales pour un montant de 48 000 francs en 1896. L'eau est d'abord exploitée sur place, dans un petit chalet d'embouteillage (en activité jusque dans les années 1920). Vers 1900, la construction d'une conduite d'environ 300 mètres de longueur permet de la faire venir jusque dans le parc thermal, à l'emplacement choisi pour la nouvelle buvette Saint-Léon et Saint-Léger.
Le kiosque métallique érigé quelques années plus tôt au-dessus de l'ancienne source Saint-Léger doit dès lors être démonté, puis remonté à l'emplacement choisi pour la nouvelle buvette. L'édifice est adapté en modifiant sa toiture pour créer une marquise périphérique. Il est complété rapidement par la construction de trois promenoirs en bois en direction du nord, de l'est et de l'ouest. L'un d'entre eux permet de rejoindre le Splendid-Hôtel à l'est. Une grille métallique de mise à distance et deux vasques en pierre sont disposées à l'intérieur du kiosque. Ces vasques sont aujourd'hui les seuls vestiges encore en place datant de cette campagne de travaux : le système d'alimentation des vasques semble simplement avoir été modifié (dessin de Mauchamp daté du 5 juillet 1904). Le kiosque et les promenoirs en bois sont démontés en 1906. Le premier est une nouvelle fois réutilisé, puisqu'on le retrouve sur le site du Ponteau au-dessus de la source Alice dès les années suivantes, après avoir servi temporairement d'abri pour les dîners en plein air au pied de la terrasse nord du Splendid-Hôtel. Quant aux promenoirs en bois, une partie d'entre eux a été remontée sur la terrasse du site de Pougues-Bellevue, d'après des photographies anciennes.
Définition du projet d'un nouvel établissement thermal (1903-1904)
Dans les premières années du 20e siècle, la Compagnie a de grandes ambitions. En août 1903, elle commande à l'architecte Charles Arnaud de Clermont-Ferrand une enquête sur les stations thermales concurrentes. Les rapports des visites des établissements thermaux de dix villes (Contrexéville, Martigny, Vittel, Gérardmer, Bussang, Divonne-les-Bains, Champel-Genève, Évian-les-Bains, Thonon-les-Bains et Vichy) sont l'objet d'une synthèse en mars 1904. D'autres stations thermales sont également l'objet d'une étude ; celle consacrée par l'agent Perrin à celle de Bourbon-Lancy est conservée.
Dès janvier 1904, l'ingénieur Victor Weyer rédige le programme d'un nouvel établissement thermal à construire dans le parc thermal. Weyer prévoit l'implantation de deux bâtiments ("nouvel établissement" et "établissement annexe" reliés par une galerie couverte vitrée) à l'emplacement du kiosque près du lac. Trois autres galeries relient les nouvelles constructions au Splendid-Hôtel, à l'ancien établissement thermal et à l'ancienne source Saint-Léger qui auraient été conservés. Ce programme est relativement modeste, puisque le bâtiment consacré à l'hydrothérapie comprend deux salles de douche, douze cabines de bain, quatre cabines de bain de siège et dix cabines d'entéroclyse. Il s'agit alors moins d'augmenter les capacités d'accueil que de proposer aux curistes des locaux modernes et propres. Comme dans l'ancien établissement thermal, la division des espaces entre hommes et femmes reste la règle.
Le programme de Weyer est rapidement transmis à Charles Arnaud, qui envoie à l'administrateur-délégué de la Compagnie Édouard Jéramec dix esquisses correspondant à huit projets le 8 mars 1904. Weyer analyse les projets et préconise, d'une part, l'adoption d'un plan elliptique afin d'obtenir "une forme aimable, gaie et humaine" et, d'autre part, la disposition d'un "ordonnancement général devant concourir à l'ornementation du parc sans pour cela trop masquer le lointain aux clients du Splendid-Hôtel" (4 avril 1904). Tout en précisant que le budget alloué à la construction du nouvel établissement ne doit pas dépasser 300 000 francs auxquels pourront s'ajouter les honoraires de l'architecte, soit 7 % du montant des travaux, la Compagnie passe commande à Charles Arnaud d'un avant-projet dont le plan (conservé) est daté du 20 mai 1904. L'établissement est repoussé vers le nord et précédé d'une grande terrasse encadrée par deux ailes vitrées. L'aile orientale rejoint un "palais des sources" à bâtir dans l'axe de la façade du Splendid-Hôtel. La composition est équilibrée à l'ouest par la création d'un kiosque à musique. Le bâtiment principal ouvre au sud par un grand hall. Au-delà de celui-ci, un axe nord-sud divise le bâtiment en deux parties identiques, l'une réservée aux femmes, l'autre aux hommes. Dans chaque partie, on trouve une salle d'attente, une salle de consultation, une lingerie et des toilettes (en façade sud), l'hydrothérapie (H) avec cabines, piscine, salles de massage et de sudation, et enfin des cabinets de bain (B), de bain de siège (S) et d'entéroclyse (E) précédés chacun d'une petite antichambre. Dans un second bâtiment au nord, relié au premier par une galerie, sont rassemblés les salles d'électricité, d'acide carbonique, de mécanothérapie, d'aérothérapie, la salle d'escrime et le gymnase, et enfin la bibliothèque. On ne conserve pas d'élévation du projet.
Dans les mois qui suivent la présentation du projet de Charles Arnaud, la compagnie réalise peu à peu les conséquences qu'aurait la construction d'un nouvel établissement thermal sur l'organisation générale du site et le fonctionnement de ses autres activités. Dans une lettre du 6 juillet, elle envisage ainsi la construction d'un nouveau casino à l'emplacement de l'usine d'embouteillage, et la transformation de l'espace situé entre l'ancien établissement et l'ancien casino en une "cour de manutention" interdite au public. L'accès au nouvel établissement thermal devrait dès lors se faire par le nord, face à la terrasse du Splendid-Hôtel, et non par le portail sud-est du côté du Parc Chevalier. Dans sa réponse du 17 juillet, l'architecte, sceptique, émet quelques réserves sur cette nouvelle idée. La Compagnie, soucieuse d'engager très progressivement les dépenses de construction du nouvel établissement, se décide finalement à faire édifier uniquement, dans un premier temps, ce que Charles Arnaud a qualifié de "palais des sources" et qui est prudemment requalifié de "pavillon" dans une lettre du 4 août pour "ne pas voir prendre les proportions que sous-entend généralement le sens du mot palais".
Le pavillon doit servir avant tout de nouvelle buvette pour les sources Saint-Léon et Saint-Léger. Dans le plan du 20 mai 1904, l'architecte indique également l'arrivée dans l'édifice d'une troisième et d'une quatrième source, ce qui laisse penser que la Compagnie avait déjà à cette époque l'intention d'acheter, à plus ou moins longs termes, la Grande Source (propriété d'Émile Serrus, achetée par la Compagnie dès 1905) et la source Jeanne d'Arc ou source Saint-Bruno (propriété de Trochereau de La Berlière, achetée seulement en 1909) situées non loin de la source Saint-Léon. Lieu de consommation des eaux minérales, le pavillon doit aussi être un lieu de vente. Dans les documents relatifs à sa construction, la partie sud comprend en effet une "boutique" (au fond de la salle d'attente) et un "magasin" (à droite de la salle d'attente) où devaient être vendues des gobelets, des bouteilles et des boîtes de pastilles. Certains auteurs ont également indiqué que le pavillon abritait un salon de lecture et un salon de correspondance. Il pourrait s'agir d'un changement de destination du pavillon dans les années qui suivent l'achèvement de sa construction.
Construction du pavillon des sources (1905-1907)
Dans son devis estimatif en date du 5 mars 1905, l'architecte évalue le coût de la construction du pavillon à 34 968 francs. Environ un quart des dépenses (9 422 francs) doit être consacré à la maçonnerie, un autre quart (8 560 francs) à la serrurerie. Dès la commande, l'architecte doit faire face à une première difficulté. Comme la Compagnie souhaite conserver, au moins dans un premier temps, la structure de la première buvette, il doit en effet procéder par agrandissements successifs.
Le marché pour la première tranche est signé le 15 mars 1905. Il ne concerne que la partie sud du pavillon, comprenant une salle d'attente dotée d'une façade en pierre de taille (aujourd'hui, façade portant l'inscription "source Saint-Léger"), d'un magasin sur son flanc sud et d'une boutique sur son flanc est. Le magasin est lui-même divisé en trois pièces à l'aide de cloisons. Plusieurs dessins relatifs à cette partie sud sont datés des mois de mars et d'avril 1905. Les travaux sont conduits par Jean Perrier, entrepreneur en maçonnerie à Coulanges-lès-Nevers, avec lequel l'architecte entretient des relations difficiles. Lui-même, absent, est représenté sur le chantier par Mauchamp, agent technique de la Compagnie. On sait également que certaines pièces sont commandées à l'entreprise de construction métallique Follereau de Nevers, à qui l'architecte reproche d'ailleurs d'avoir confondu "poitrails" et "linteaux" puisque seuls les poitrails supportant le lanterneau auraient dû recevoir des fourrures en fonte. Les noms d'autres intervenants sont connus : Darton pour la couverture et Duverger pour la plâtrerie, la peinture et la plâtrerie. Lors de la réception provisoire des travaux du 17 novembre 1905, Charles Arnaud émet de nombreuses réserves. La réception définitive n'a lieu que le 17 décembre 1906. L'écoulement défectueux des eaux sur la toiture est constaté dès 1907 et la Compagnie envisage d'engager un procès contre Jean Perrier.
L'histoire de la construction de la partie nord du pavillon est moins bien documentée, mais il est vraisemblable que cette deuxième tranche se situe immédiatement à la suite de la première, et avant la construction du hall central. Le 28 octobre 1905, Jean Perrier envoie à l'architecte ses nouvelles conditions relatives aux travaux, et dans une lettre du 27 mars 1906, Charles Arnaud envisage la pose du carrelage. La deuxième tranche peut donc être datée de l'hiver 1905-1906. La façade en pierre de taille de la partie nord (aujourd'hui, façade portant l'inscription "source Saint-Léon") fait pendant à celle de la partie sud. En plan, les deux parties ne sont toutefois pas symétriques. L'absence de "magasin" du côté nord confirme qu'un raccordement est prévu avec la future galerie couverte vitrée conduisant à l'établissement thermal qu'il reste à construire. À cette date, le pavillon n'est donc bien qu'une partie d'un ensemble projeté beaucoup plus vaste.
La troisième tranche concerne la partie centrale du pavillon, et donc le remplacement de la précédente buvette. Le 13 janvier 1906, un marché est signé avec Taillandier et Boyer, entrepreneurs de serrurerie et de charpentes métalliques (Paris, rue Damrémont). D'un montant de 12 900 francs, il prévoit l'exécution de la charpente et de toutes les menuiseries métalliques du hall des sources. Pour la couverture, on fait appel à Léon Foucauld, entrepreneur à Nevers, qui utilise autour de la verrière centrale une couverture en ciment volcanique, matériau inventé par Carl Samuel Haeusler dont le brevet est alors détenu par l'entreprise Seurat et Deschamps (Paris). Le recours à un toit-terrasse (non accessible, en l'absence d'escalier) évite la surélévation du pavillon et préserve ainsi la vue depuis le Splendid-Hôtel. On peut supposer que les travaux sont lancés rapidement. Fin mars 1906, il est question de supprimer les "piliers de raccord" entre le pavillon des sources et la galerie conduisant au Splendid-Hôtel. L'ensemble du pavillon doit être achevé l'année suivante. De mai 1907 date en effet un dessin de Seurat et Deschamps relatif à sa couverture.
Abandon du projet de construction d'un nouvel établissement thermal
Le grand projet de Charles Arnaud (20 mai 1904) ne semble pas avoir été beaucoup retravaillé dans les mois qui suivent sa présentation. Sa réalisation semble avoir été très tôt compromise, sans doute dès l'achèvement du pavillon des sources (1907). Le manque de moyens financiers de la Compagnie, et peut-être aussi les difficultés rencontrées lors de la construction du pavillon des sources, ont fait reculer Édouard Jéramec qui renonce à son nouvel établissement thermal. Le manque d'espace disponible pourrait également l'avoir conforté dans cette décision. Dans une pétition (non datée) qui lui est adressée, "d'anciens habitués de la station" résidant alors au Splendid-Hôtel s'alarment de l'atteinte qu'aurait porté au parc thermal le projet et s'expriment en faveur de la construction d'un nouvel établissement à l'emplacement de l'ancien, ou à celui du casino-théâtre.
Le pavillon des sources Saint-Léon et Saint-Léger doit bien être aujourd'hui considéré comme le témoignage d'un grand dessein non réalisé. En 1906, la Compagnie des Eaux minérales de Pougues se retrouve exactement dans la même situation que la Société des Eaux thermales de Saint-Honoré-les-Bains. Cette dernière, elle aussi, avait sans doute envisagé la reconstruction totale de l'ancien établissement thermal. Ce projet trop ambitieux est abandonné après l'inauguration du pavillon des sources en 1906.
Le pavillon est construit par la Compagnie des Eaux minérales de Pougues en 1905-1907. Il fait partie d'un projet de construction d'un nouvel établissement thermal élaboré par l'architecte Charles Arnaud en 1903-1904. Le pavillon se situe à l'emplacement d'une première buvette (vers 1900) proposant aux curistes les eaux des sources Saint-Léger et Saint-Léon. Il est construit entre 1905 et 1907. Il devient la propriété du Département de la Nièvre, comme l'ensemble du parc, en 1976.
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Période(s)
- Principale : 1er quart 20e siècle , daté par source
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Dates
- 1905, daté par source
- 1907, daté par source
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Auteur(s)
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Auteur :
Arnaud Charlesarchitecte attribution par sourceArnaud Charles
Architecte à Clermont-Ferrand.
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Auteur :
Le devis estimatif du 5 mars 1905 permet de connaître assez précisément les matériaux employés dans la partie sud, et par extrapolation, dans la partie nord. Le soubassement est en moellon recouvert d'un parement en pierre de Verger à l'extérieur, à l’exception des quatre piédroits qui délimitent à l'intérieur les salles d'attente latérales, qui sont entièrement en pierre de taille. À partir de la première assise, les murs sont en pierre de taille extraite de la carrière de Malvaux. La structure associe également du chêne, de la fonte et de la brique creuse. Le hall central, quant à lui, présente une architecture métallique. Il est couvert d'une verrière de plan ovale dans sa partie centrale et de ciment volcanique (brevet Haeusler) dans sa périphérie. L'architecte Charles Arnaud a donné des indications assez précises concernant le décor du pavillon. Il prévoit que les menuiseries soient peintes en gris très clair, celles à l'intérieur un ton au-dessous de celles à l'extérieur. Le décorateur Léon Rudnicki, qui est intervenu quelques années plus tôt à Vichy, exécute les peintures représentant des médaillons et des guirlandes au-dessus des baies vitrées, et sur les auvents surmontant les portes de la façade ouest. Ce décor, qui a entièrement disparu, est connu par les photographies anciennes. Le mur-bahut, aujourd'hui en moellon nu, est à l'origine décoré d'un treillage en liteaux de plâtrier peint en vert, qui est bien visible sur les photographies anciennes. Le sol du hall et des deux salles d'attente de part et d'autre est principalement recouvert de grands carreaux de ciment de Portland. La partie centrale est entourée d'une bordure en petits carreaux bleus qui souligne au sol le plan de l'édifice. Pour le sol de la boutique et du magasin de la partie sud, des carreaux sont commandés à la Société anonyme des Carrelages céramiques de Paray-le-Monial. Le décor consiste en bordures et semis d'étoiles et de rosettes. Le même décor est mis en place dans un second temps dans la partie nord.
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Murs
- calcaire moellon parement
- calcaire pierre de taille
- brique creuse
- bois
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Toitsciment en couverture, verre en couverture
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Plansplan régulier
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Étagesrez-de-chaussée
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Couvrements
- charpente métallique apparente
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Élévations extérieuresélévation à travées
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Couvertures
- verrière
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Typologiesbaie rectangulaire
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État de conservationbon état, restauré
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Techniques
- céramique
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Précision représentations
Décor au sol de carreaux de la Société anonyme des Carrelages céramiques de Paray-le-Monial.
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Statut de la propriétépropriété du département
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Intérêt de l'œuvreà signaler
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Protectionsinscrit MH, 2012/04/18
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Référence PatriarchePOP : versé le 05/09/2024
- (c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
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Documents d'archives
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Archives départementales de la Nièvre. Cadastre de la commune de Pougues-les-Eaux. [1812-1953].
- Atlas parcellaire (1812) : 3 PP 214
- État de sections (1812) : 3 P 214/1
- Matrices cadastrales des propriétés bâties et non bâties : 3 P 214/2 (folio 1 à 352 et folio 1 à 175)
- Matrices cadastrales des propriétés bâties et non bâties : 3 P 214/3 (folio 1 à 220), 3 P 214/4 (folio 221 à 354) 3 P 214/5 (folio 355 à 750), 3 P 214/6 (folio 751 à 1482)
- Matrice cadastrale des propriétés bâties (1883-1891) : 3 P 214/7
- Matrice cadastrale dite "matrice noire" des propriétés bâties : 3 P 214/8
Section E, parcelle 369. -
Archives départementales de la Nièvre. 32 J 225. Fonds de l’établissement thermal de Pougues-les-Eaux. Constructions et réparations des bâtiments dépendant de l’établissement thermal : bains-douches, gymnase, écurie, institut d’hydrothérapie, pavillon des sources, chambres d’embouteillage (1878-1939).
-
Archives départementales de la Nièvre. 32 J 226. Fonds de l’établissement thermal de Pougues-les-Eaux. Inventaire du mobilier (1889-1966). Reconstruction, dommages de guerre (1945-1947).
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Archives départementales de la Nièvre. 32 J 395. Fonds de l'établissement thermal de Pougues-les-Eaux. Hôtel du Parc : travaux et ventes (1924-1933) ; Splendid Hôtel : travaux (1906, 1929-1935) ; Pavillon des sources : construction (1905-1911) ; Buvette Alice (1904, 1907, 1933) ; Chalet Saint-Léger : désaffectation et réutilisation des bâtiments Saint-Léger, réparations (1930-1933) et remise en état pour le docteur Baillet (1938-1939).
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Archives départementales de la Nièvre. 32 J 397. Fonds de l’établissement thermal de Pougues-les-Eaux. Construction d'un institut moderne d'hydrothérapie (1904-1905).
Bibliographie
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Gonzalez, Julien. En Bourgogne, les villes d’eaux oubliées : Pougues-les-Eaux, Fourchambault-Garchizy, Saint-Parize-le-Châtel, Decize-Saint-Aré, Maizières, Saint-Christophe-en-Brionnais. Nevers : Éditions Loire et Nièvre, 2005. 157 p. ISBN 2-9524476-0-8.
P. 41. -
CAUE de Saône-et-Loire. Guide d'architecture en Bourgogne, 1893-2007. Paris : Picard, 2008. 399 p. : ill. ; 25 cm.
P. 372. -
Dufoulon, Fabien. Pougues-les-Eaux. Pavillon des sources Saint-Léon et Saint-Léger. In : Caisse départementale des monuments et des sites de la Nièvre. Monumental. 1971-2021 : 50 ans de protection du patrimoine nivernais. Nevers : CAMOSINE, 2022. Les Annales des Pays Nivernais, ISSN 0153-7121 ; 185. p. 34.
Documents figurés
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[Plan de masse et de situation associé au programme de nouvel établissement thermal dans le parc thermal de Pougues-les-Eaux] / V. Weyer. 19 janvier 1904. Croquis au crayon et à l'encre sur : Vue perspective [et plan] de l'établissement thermal / [auteur inconnu]. [Vers 1895-1896]. Imprimeur A. Gentil, Paris. Imprimé. 38 x 24 cm (plan tiré par planche de quatre exemplaires). Échelle 1/1 000.
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[Plan de masse et de situation du projet de nouvel établissement thermal] / [Charles Arnaud]. 21 juin 1904. Croquis au crayon et à l'encre sur : Vue perspective [et plan] de l'établissement thermal / [auteur inconnu]. [Vers 1895-1896]. Imprimeur A. Gentil, Paris. Imprimé. 38 x 24 cm (plan tiré par planche de quatre exemplaires). Échelle 1/1 000.
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Avant-projet pour la construction d'un nouvel établissement thermal à Pougues-les-Eaux / [Charles Arnaud]. 20 mai 1904. Dessin. 63 x 85 cm. Échelle 1/400.
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Pougues-les-Eaux. Sources Saint-Léger et Saint-Léon / [auteur inconnu]. Pougues-les-Eaux : J.L., [avant 1905]. Carte postale.
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Pougues-les-Eaux. Les Sources / [auteur inconnu]. [S.l.] : [s.n.], [avant 1905]. Carte postale.
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Pougues-les-Eaux. Les donneuses d'eau / [auteur inconnu]. Pougues-les-Eaux : J.L., [avant 1905]. Carte postale.
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Plan actuel du terrain avec l'emplantement [sic] de l'Institut moderne hydrothérapique / V. Weyer. 5 mars 1905. Dessin. 139 x 70 cm. Échelle 1/200.
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Pavillon des sources. Détail. Coupe sur le mur des galeries bureaux boutiques / [Charles Arnaud]. [1905]. Dessin. 52,5 x 39 cm. Échelle 1/20. Contresigné par V. Weyer le 16 avril 1905.
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Coupe et élévation de la face des boutiques suivant [la] coupe longitudinale AB du plan d'ensemble du pavillon des sources. Élévation postérieure et coupe sur la boutique / [Charles Arnaud]. 26 avril 1905. Dessin. 61 x 43 cm. Échelle 1/20.
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Pougues-les-Eaux. [Pavillon des sources, boutique] / [Charles Arnaud]. [1905]. Dessin. 24,5 x 31,5 cm.
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Boutique. [Plan avec indications relatives au décor du sol] / [Charles Arnaud]. [1905]. Dessin. 22 x 25 cm. Échelle 1/20.
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Promenoir allant des buvettes au Spendid-Hôtel. Plan du promenoir. Coupe transversale / Mauchamp [?]. 13 septembre 1905. Dessin. 57,5 x 41 cm. Échelles 1/100 et 1/20.
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Pougues-les-Eaux. Intérieur du Pavillon des Sources / [auteur inconnu]. [S.l.] : [s.n.], [vers 1905]. Carte postale.
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Pougues-les-Eaux (Nièvre). Pavillon des Sources Saint-Léger et Saint-Léon / [auteur inconnu]. [S.l.], Thibault, [vers 1905]. Carte postale.
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Pougues-les-Eaux. Pavillon des sources (côté est) / [auteur inconnu]. [S.l.] : [s.n.], [vers 1905]. Carte postale.
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Pougues-les-Eaux. Pavillon des sources Saint-Léger et Saint-Léon dans le parc de l'établissement thermal / [auteur inconnu]. [Pougues-les-Eaux] : F.H., [vers 1905]. Carte postale.
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Pougues-les-Eaux. Pavillon des Sources Saint-Léger-Saint-Léon / [auteur inconnu]. [s.l.] : [s.n.], [vers 1905]. Carte postale.
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Pougues-les-Eaux. Pavillon des Sources Saint-Léon et Saint-Léger / [auteur inconnu]. [S.l.] : [s.n.], [vers 1905]. Carte postale.
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Pougues-les-Eaux. Établissement thermal. Donneuse d'eau / [auteur inconnu]. Pougues-les-Eaux : F.H., [années 1910]. Carte postale.
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Pougues-les-Eaux. Intérieur du pavillon des sources Saint-Léger et Saint-Léon / [auteur inconnu]. Pougues-les-Eaux : F.H., [années 1910]. Carte postale.
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Pougues-les-Eaux. Les donneuses d'eau / [auteur inconnu]. [S.l.] : [s.n.], [années 1910]. Carte postale.
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Pougues-les-Eaux. Les donneuses d'eau / [auteur inconnu]. Pougues-les-Eaux : F.H., [années 1910]. Carte postale.
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Pougues-les-Eaux. Les donneuses d'eau et le garde / [auteur inconnu]. [Pougues-les-Eaux] : J.L., [années 1910]. Carte postale.
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Pougues-les-Eaux. Les Sources. Les donneuses d'eau / [auteur inconnu]. Nevers : Th. Ropiteau, [années 1910]. Carte postale.
Hugonnet-Berger, Claudine. Chercheur au service de l'Inventaire de Bourgogne.
Fromaget, Brigitte. Chercheur au service Inventaire et Patrimoine de la Région Bourgogne-Franche-Comté.
Fabien Dufoulon, chercheur. Région Bourgogne-Franche-Comté, Service Inventaire et Patrimoine, 2018-
Hugonnet-Berger, Claudine. Chercheur au service de l'Inventaire de Bourgogne.